Crédits photo : Capture France 2
Il y a un mois, Patricia Kaas acceptait l'invitation de Laurent Ruquier dans "On n'est pas couché" sur France 2. La chanteuse assurait alors la promotion de son nouvel album "Patricia Kaas", défendu par "Le jour et l'heure" ainsi que "Madame tout le monde". Et tout de suite, l'artiste avait été vivement attaquée par Yann Moix. « Je suis très embêté car Patricia Kaas a beaucoup de talent (...) Il y a deux sortes d'artistes : il y a ceux qui ont le talent de vous donner envie de vivre. Il y a ceux qui ont le talent de vous donner envie de mourir. Pour moi vous êtes dans la deuxième catégorie » lui avait-il lancé, créant un certain malaise chez Patricia Kaas. « J'ai envie de me pendre quand je vous entends (...) Vous distribuez du cafard » avait même renchéri le chroniqueur. « Ça dépend dans quel état d'esprit on est quand on écoute » avait répliqué la chanteuse, avant que la presse ne s'empare de cet échange un peu tendu.

"J'ai une limite, c'est le respect"

Invitée de l'émission "Dans le rétro" sur France Bleu, Patricia Kaas a été interrogée sur cette séquence, qui ne lui a pas vraiment plu : « Il y a un moment où ça atteint un peu la méchanceté gratuite, je trouve que c'est un peu facile. Qu'est-ce que tu veux faire ? Moi, j'ai 30 ans de carrière, c’est ça qui est important et j'ai confiance en mon album, j'avais pas ce problème sur le plateau ». C'est l'après qui a aussi affecté Patricia Kaas. « Tout le buzz que ça a fait, c'est sur que ça fait pas plaisir de voir "le nouvel album donne envie de se pendre". C'est pas top. Après, c'est pas trop le style de la maison de faire des excuses, mais c'est pas sympa » a regretté l'interprète de "Il me dit que je suis belle".

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Elle a d'ailleurs été particulièrement blessée par la violence des attaques de Yann Moix : « Je peux entendre qu'on n'aime pas, là ou j'ai une limite, c'est le respect. Franchement, là il a mis les pieds dans un truc, où je me dis si c'est tout ce qu'il a à critiquer. Voilà... Les jours qui ont suivi ça m'a un peu attristé mais bon, voilà on passe à autre chose ».