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Personne n'a oublié Tina Arena. Il faut dire que la chanteuse australienne a fait vibrer le coeur des Français dès la fin des années 90 avec ses tubes "Aller plus haut", "I Want to Spend My Lifetime Loving You" avec Marc Anthony, "Les 3 cloches" ou encore "Aimer jusqu'à l'impossible" et "Je m'appelle Bagdad". « Je ne comprenais pas du tout ce que je disais ! J'ai appris à chanter les chansons à l'oreille, phonétiquement. Mais je savais quand même de quoi les chansons parlaient. On me traduisait les paroles quand même. C'était obligatoire » expliquait Tina Arena en interview à Purecharts il y a quelques années, tentant un retour en France avec le single "Tant que tu es là", issu de l'album "Quand tout recommence", sorti en 2018.

"Combien de temps pour ça casse ?"

Depuis, Tina Arena a poursuivi sa carrière en Australie, s'éloignant ainsi de la France. « J'avais besoin de rentrer chez moi. De passer à autre chose. Je suis quelqu'un qui a besoin d'évoluer, en permanence. J'ai besoin de prendre des risques » confiait-elle dans l'émission "Ça commence aujourd'hui" sur France 2 le mois dernier : « Je comprends absolument la nostalgie que les Français ont avec moi et j'ai énormément de gratitude pour ça ». Bonne nouvelle : l'artiste de 55 ans, qui était la Plante Carnivore dans "Mask Singer", est de retour ! Avant son concert à la Salle Pleyel le 16 novembre prochain, Tina Arena dévoile son nouveau single "Danser sur la glace", extrait de son prochain album "Love Saves", qui sortira le 14 juillet et contiendra trois titres en français. « Mais je danse encore sur la glace / Avec tes yeux en face en face / Combien de temps pour ça casse ? / La vie nous dépasse / Je craque à la surface et je danse encore sur la glace » chante-t-elle, pleine d'espoir face au pire, sur ce titre classique mais intense écrit par François Welgryn (Amel Bent, Céline Dion, Kendji).




"Danser sur la glace" s'accompagne aussi d'un autre morceau, "House", sur les plateformes. « Elles ont été écrites à la fin de l'année 2020, au milieu de la pandémie du Covid, et elles parlent de l'importance de la maison au sens propre, et de ce que l'on construit au sens métaphorique. Elles parlent aussi de ce que représente la maison : la sécurité, l'endroit où on est suffisamment à l'aise pour être soi-même et vivre toutes ses émotions, où l'on peut crier, rire et pleurer. Depuis trois ans, on danse tous un petit peu sur la glace. Le sol est très fin, la vie est périlleuse, il suffit d'un rien pour que la glace ne se casse » révèle Tina Arena à nos confrères de Télé 7 Jours.