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Vanessa Paradis - Vague à l'âme sœur 27/09/19


Messages recommandés

Il y a 3 heures, Jabu a dit :

Rappelez-vous les pochettes d'albums hideuses réalisées par Depp

 

Le pluriel me paraît de trop.

Autant celle de BLISS est un crime à l'encontre à la fois du bon goût et du contenu du disque, autant je trouve celle de DIVINIDYLLE efficace (surtout en collector).

 

Divinidylle-Coffret-collector-tirage-lim

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  • 1 mois après...
  • 5 semaines après...

Réédition de l'album Vanessa Paradis en cd et vinyle, mais aucune mention d'une remasterisation...

 

Il est indiqué qu'un tirage à 50 exemplaires du vinyle est dédicacé, aléatoirement (???).

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Commande du vinyle dédicacé

Le vinyle est une édition limitée numérotée contenant un tirage d’art de la cover de l’album (grand format 30x30cm) réalisée par le photographe Jean-Baptiste Mondino. Certains tirages disponibles sur le site VinylCollector sont dédicacés.

https://vinylcollector.store/products/vanessa-paradis-vanessa-paradis-vinyle?utm_source=dotmailer&utm_medium=email&utm_campaign=304656_Vanessa Paradis 30 ans_340977_FR&mi_ecmp=campaign.id &mi_u= contact.data.email md5 &dm_i=7B3L%2C6J2O%2C2CDU4M%2CWQP3%2C1

 

Autres liens cd et vinyle :

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  • 1 mois après...

➙ Elle sera à 20h dans C à vous pour la pièce Maman :

 

 

➙ Egalement en interview pour Madame Figaro

Révélation

Son premier rôle au théâtre dans Maman, son bonheur de jouer face à son mari, ses 50 ans, sa bonne étoile, son rapport à la beauté, sa fille qu'elle admire tant… Une artiste heureuse, sans filtre et sans filet.

On est quelque part en banlieue parisienne, dans un grand studio photo. Vanessa Paradis pose pour Madame Figaro, épaules nues et nœud pap' d'homme autour du cou. Elle rit, s'amuse, connaît par cœur la science des ombres et de la lumière. De loin, on remarque ses yeux clairs, sa musculature fine, on entend un petit rire joyeux qui semble celui d'une petite fille.

Ses premiers pas au théâtre ont été couronnés de succès. Maman, la pièce écrite sur mesure pour elle par son mari, Samuel Benchetrit, revient à Paris après une tournée à guichets fermés. La revoilà donc au Théâtre Édouard-VII avec une distribution différente : cette fois-ci, Samuel Benchetrit lui donne la réplique en remplacement d'Éric Elmosnino, retenu ailleurs. Il est le mari de Jeanne, ce personnage un peu mystérieux qu'elle endosse avec grâce, une femme hypersensible, en manque d'enfant, plongée dans un univers poético-absurde qui va révéler ses grandeurs et ses fêlures. Vanessa Paradis y est comme un poisson dans l'eau. Elle a eu 50 ans en décembre dernier – ce qui paraît incroyable, tant l'adolescence s'attarde dans ce corps gracieux, souple et sec, un corps de ballerine. Elle irradie. C'est l'âge heureux.

 

Madame Figaro . – Dans quel état d'esprit retournez-vous au Théâtre Édouard-VII après cette longue tournée ?
Vanessa Paradis. – Nous avons arpenté la France, la Suisse et la Belgique pendant quatre mois. La distribution a changé. Éric Elmosnino et Félix Moati avaient d'autres engagements, Samuel Benchetrit et Simon Thomas les remplacent. Gabor Rassov est toujours avec nous. Rétrospectivement, tout a été extraordinaire. C'est une chose de jouer chaque soir à Paris dans le même théâtre avec des repères similaires, c'en est une autre de s'engager sur de nouvelles scènes dans de nouvelles villes, avec des jauges et des acoustiques différentes. C'est un exercice un peu compliqué, un défi à relever à chaque représentation…

Vous appréhendiez beaucoup ce baptême de théâtre. Le trac s'est-il dissipé avec la pratique ?
Au début, c'est vrai, je ressentais un trac immense à l'idée d'accomplir cette mission : faire entrer les gens dans notre histoire, les convaincre, les émouvoir, les emporter. Le public a été au rendez-vous, la pièce a eu du succès à un moment où le théâtre ne se portait pas le mieux du monde. Nous avons joué devant des salles pleines, c'était un soulagement. Et puis est venue la deuxième étape : jouer en tournée avec une distribution différente, jouer face à mon mari dans la vie… jouant mon mari dans la pièce. Et là, c'est devenu compliqué pour nous, un couple, de se dire que nous allions être sur scène ensemble tous les soirs…

Cela fait peur ?
Oui, bien sûr ! Nous redoutions d'être en désaccord parfois, de nous engueuler, de ne pas nous donner d'espace, d'être ensemble la journée puis sur scène le soir. L'expérience du couple et de la vie commune, nous l'avons, car nous sommes rarement longtemps séparés. Mais l'expérience de la scène ? Puis, nous nous sommes mis à jouer, et nous nous sommes rendu compte à quel point c'était agréable et ludique. Je n'aurais pas imaginé à quel point je pouvais facilement jouer la comédie face à lui. Les acteurs sont des enfants, et nous sommes redevenus des enfants. Nous étions désinhibés, nous nous sommes oubliés : nous interprétions. Finalement, jouer avec son amoureux, ça pimente la vie. C'est d'autant plus facile que nous jouons un couple qui s'aime et se soutient.

Vous, femme de concerts, qu'avez-vous appris au théâtre ?
J'avais peur de la répétition, peur des silences, peur d'être moins libre que dans un concert, où il est toujours possible d'improviser. Mais, contrairement à mes craintes, le public de théâtre participe énormément, même si ce n'est évidemment pas la même énergie. En fait, le public de théâtre est le personnage en plus, il est sage ou expansif selon les soirs et les lieux. Parfois, c'est l'inquiétude : les gens ne rient pas ou restent silencieux, on pense qu'ils s'ennuient, on s'inquiète, puis la pièce se termine et ils sont debout ! Ne pas être expressifs ne veut pas dire ne pas être attentifs. Cela arrive aussi parfois pendant les concerts, il y a des soirs où il faut aller chercher les spectateurs. Il n'y a pas de méthode, ça prend parfois du temps, il faut les faire participer, aller les voir, leur parler, les interpeller, se déplacer davantage, y mettre toute son énergie. Au théâtre, c'est évidemment différent : on ne joue pas vers eux, on n'attend pas de réponse, on ne leur parle pas, sauf moment de monologue. On s'accroche à autre chose, à ses partenaires, à l'histoire.

Pour un acteur, le théâtre est-il le plus noble des arts ?
Je ne sais pas s'il s'agit de noblesse. Mais on ne triche pas, il n'y a pas de rafistolage, c'est sans filtre, sans filet. On n'est pas aidé par des micros, des gros plans ou de la musique d'accompagnement. C'est notre corps et notre voix. Et puis j'ai découvert le plaisir de jouer toute l'histoire en un seul souffle, contrairement à un film. Ça a l'air banal, mais c'est vraiment quelque chose. C'est le bonheur de jouer sans être coupée. On joue, on joue vraiment, et on apprend chaque soir quelque chose. Enfin, au théâtre le texte est sacré. Et celui de Maman a une résonance particulière. La pièce parle des femmes, elle est féministe à sa façon.

Êtes-vous féministe?
Le mot me semble un peu galvaudé aujourd'hui, mais oui, même si je ne me sens pas militante, je soutiens le féminisme en général. Bien sûr, il a eu des exagérations, mais dans toute révolution, il faut taper fort pour se faire entendre. La pièce défend la cause des femmes. Jeanne, mon personnage, parle au nom de toutes les femmes qui ont vécu l'irrespect, le malheur, le traumatisme. Par moments, je sors presque du rôle : je parle en leur nom, je me sens une autre responsabilité, au-delà du respect dû au public. Parfois, le silence est total et les mots résonnent vraiment. Le théâtre prend alors tout son sens. Des choses importantes sont dites, entendues, répétées.

Vous avez fait votre chemin dans un monde d'hommes. Avez-vous eu à souffrir du machisme ou avez-vous été épargnée ?
Épargnée, non. Mais je dois être née sous une bonne étoile : j'ai eu beaucoup de chance dès le début, car j'ai travaillé avec des hommes extraordinaires, des hommes qui me donnaient la parole, me donnaient le choix et m'élevaient. Franck Langolff et Étienne Roda-Gil m'ont écoutée, m'ont parlé, m'ont appris. Par ailleurs, la misogynie, le machisme s'expriment de mille façons, je l'ai expérimenté – on croise en permanence des gens qui veulent vous imposer leur puissance ou leurs idées -, mais je n'ai jamais vécu ces drames que beaucoup de femmes ont subis. Ce n'est pas ma célébrité qui m'a protégée : on voit bien que la manipulation s'opère partout.

Comment on résiste ? Je réponds avec précaution : beaucoup de femmes n'ont pas eu la chance que j'ai eue. J'étais libre. Je l'ai dit : je choisissais les gens, les projets, comment les présenter. J'étais vraiment moi. Au début, par exemple, j'étais beaucoup trop maquillée pour une adolescente, mais on ne m'imposait rien. J'ai pu faire ce que je voulais, dire ce que je voulais, dans le temps que je voulais. J'ai eu le luxe de choisir, j'appartiens à une toute petite minorité. Bien sûr, j'ai beaucoup travaillé pour ça, mais je ne peux pas me comparer à des femmes qui sont rincées par la vie, qui rentrent chez elles épuisées et qui n'ont pas pu choisir.

Votre parcours est très intéressant. Vous avez su vous réinventer aux bons moments. Était-ce pensé ?
Il n'y a jamais eu de plan de carrière, de l'instinct tout au plus. Un disque, ça prend énormément de temps : trois ou quatre ans de sa vie. Au cinéma, en revanche, je n'ai pas été proactive, je n'ai pas été à l'initiative des projets même s'il m'est arrivé de choisir sciemment des films alternatifs, comme Café de Flore ou Un couteau dans le cœur. Mais au cinéma, on est tributaires du désir des autres. J'ai accepté certains films que j'aime moins que d'autres, mais je les ai faits parce que j'avais envie et besoin de travailler et de jouer.

Vous avez eu 50 ans. Une étape facile ?
Un sacré chiffre quand même ! C'est un anniversaire qu'il faut prendre avec le sourire : a-t-on la possibilité de faire machine arrière ? L'âge n'a jamais été une obsession chez moi, mais forcément j'y pense : je suis invariablement placée face à mon image, et il m'arrive de me voir en gros plan et de remarquer des choses qui ne me ravissent pas…

Catherine Deneuve a dit : “Au cinéma, il faut choisir des rôles qui accompagnent son âge”…
Accompagner son âge, c'est une philosophie, un travail. Moi, j'essaie de me faire du bien : je fais du sport, de la méditation, j'essaie de bien me nourrir, de bien dormir, même si je ne suis pas toujours raisonnable et qu'il m'arrive de faire des entorses à cette discipline. Et c'est tant mieux : je n'aimerais pas non plus l'idée d'être prisonnière de mon corps et de mon image. Il faut savoir s'amuser, s'affranchir des règles, ne pas être draconiennement saine tout le temps.

Cate Blanchett a dit : «À 50 ans, une femme sait ce qu'elle a accompli et compte le temps qui reste»
Ça vaut aussi pour les hommes, non ? Croyez-moi, il y a aussi beaucoup d'hommes obnubilés par leur âge. Déjà, il faut distinguer les femmes des actrices. Vieillir n'est facile pour personne, mais c'est pire pour celles dont on commente impitoyablement l'image. On entend : «Elle a pris un coup de vieux» ou «Elle a fait de la chirurgie esthétique». Bref, on ne peut jamais gagner… Pour le reste, oui, à 50 ans, il reste moins de temps, forcément.

Mais je suis comblée par la vie que j'ai pu mener jusque-là, par tout ce que j'ai vécu. Oui, il reste moins de temps, et ce sera moins facile. Je m'entends dire de plus en plus souvent : «Ça passe vite.» Mais c'est comme ça. La Terre a quelques milliards d'années, et notre passage y est bref. J'ai découvert Marceline Loridan-Ivens sur le tard, je la lis, j'écoute ses interviews, elle est totalement inspirante. Elle a vécu une grande tragédie, elle a été déportée, mais le reste de sa vie elle s'est entourée de jeunesses à qui elle répétait : «Il faut continuer de vivre, continuer d'y croire, avoir envie jusqu'au bout.» Donc, voilà : le malheur est partout, on ne peut pas toujours l'esquiver, mais il faut vouloir vivre, il faut aimer vivre.

Vous avez gardé une silhouette fine d'adolescente…
Et pourtant, je bouffe comme quatre, mais je ne grossis pas. J'ai le métabolisme de mon père, un bon vivant qui est resté sec comme ça toute sa vie. Bon, je fais aussi beaucoup de sport et un métier qui me garde en forme. C'est très sportif de chanter, athlétique même.

Vous êtes aussi une icône de beauté. On se souvient de vous en oiseau de paradis pour un parfum Chanel, la maison dont vous êtes une des fidèles ambassadrices…
Mon entourage me trouve plus jolie que je ne me trouve jolie. Disons que… ça dépend des matins, du nombre d'heures de sommeil…

À quel moment avez-vous pris conscience que la beauté constituait un pouvoir ?
J'ai commencé ce métier à 14 ans, ce n'est pas l'âge où on se plaît. Je crois qu'on commence à se trouver un peu plus jolie le jour où on tombe amoureuse de quelqu'un qui vous trouve belle, d'un homme qui vous aime. Mais à l'adolescence, on se pose les mêmes questions que toutes les autres filles, et moi d'autres encore, car j'étais scrutée à la loupe. Je ne me détestais pas spécialement, mais mon idéal féminin était aux antipodes de ce que j'étais et de ce que je suis : c'était Béatrice Dalle, son physique, sa personnalité. Je l'adorais et je l'adore toujours. Les femmes que j'aime ? Que je trouve belles ? Ma maman. Ma fille. Sa beauté m'impressionne, et pourtant je suis sa mère. Elle prend son visage de femme, elle n'en finit pas d'être belle, mais belle aussi parce que belle de l'intérieur, une jolie personne, une gentille personne, drôle, intelligente. J'adore la morphologie de son visage. Sinon, les physiques qui me fascinent sont les mêmes depuis mes 14 ans : Béatrice Dalle, Marilyn Monroe et Romy Schneider.

Vous êtes une idole. Pourtant, vous mentionnez souvent les débuts conflictuels…
Oui, ça reste un traumatisme, c'est comme ça. Je me souviens de ces moments où je marchais dans les rues et ou des gens que je ne connaissais pas m'insultaient et même me crachaient dessus. C'est arrivé après Joe le taxi, c'est arrivé souvent, et ça a duré au moins deux ans. Je ne peux pas l'oublier, j'ai grandi avec ça. Bien sûr, il y avait aussi beaucoup d'amour, mais à cet âge on est surtout sensible aux critiques.

Guérit-on un jour de ses traumatismes d'enfance ?
Je ne l'ai pas oublié, cela fait partie de moi. Cela a été fondateur. Aujourd'hui, je vois surtout la sympathie et l'amour à mon égard, à tel point que je me demande si j'en mérite autant. Mais je ne suis pas dupe, je sais que tout n'est pas lié à mon art, à ma musique ou à mes films, mais aussi au fait que je fais partie du quotidien des Français. J'ai grandi sous leurs yeux, je leur suis très familière, il y a sûrement un côté très rassurant pour eux dans le fait de me voir vieillir, heureuse, malheureuse… bref, être un être humain.

Une polémique américaine a visé, entre autres, votre fille, Lily-Rose Depp, la polémique des «nepo babies» (contraction de nepotism babies, bébés du népotisme), attaquant les fils et les filles de…
Aujourd'hui, tout le monde a un avis à donner, les réseaux sociaux, la presse à scandale. «Nepo babies», rien que l'expression est affreuse. Un enfant dont les parents sont célèbres a déjà une part de sa personnalité qui lui est soustraite : on s'intéresse à lui pour atteindre ses parents. Les gens se trompent. Des portes s'ouvrent pour ces «enfants de», mais ce ne sont pas toujours les bonnes portes. Bien sûr, la tentation est probablement grande de suggérer un «enfant de» dans un casting, mais s'il fait mal son boulot, il ne va pas rester longtemps en place. Et puis, surtout, il sera embarqué dans de mauvais projets. Ma fille, je la vois travailler depuis huit ans. Elle est une bosseuse comme on en voit peu. Elle travaille énormément ses rôles et ses auditions. Elle a fait beaucoup de castings où elle n'était pas choisie, et elle en était malheureuse, comme les autres. Je pense vraiment que ceux qui réussissent sont ceux qui travaillent dur et qui ont du talent, quel que soit leur nom. Ma fille en fait partie.

Vous vivez souvent à Los Angeles. Que faites-vous lorsque vous êtes là-bas ?
Je fais des allers-retours, je ne me suis jamais expatriée, je n'ai jamais vécu là-bas une année entière. Mon travail, ma vie, c'est ici, en France, ma famille, mes amis. Lorsque je suis à Los Angeles, je fais de la musique, de la danse, mais surtout je passe du temps avec mes enfants. J'y vais pour eux.

 

https://madame.lefigaro.fr/celebrites/cinema/vanessa-paradis-c-etait-complique-pour-notre-couple-de-se-dire-que-nous-allions-etre-sur-scene-ensemble-tous-les-soirs-20230406

 

 

 

➙ Les photos dans Madame Figaro  :

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➙ Enfin, elle sera demain en couverture de Elle :

 

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➙ L'article dans ELLE :

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Côté musique on n'apprend rien, si ce n'est "qu'elle compose de chansons, aimerait beaucoup refaire un disque" lol. "J'essaie d'écrire des textes mais ça m'est difficile, laborieux, contrairement aux mélodies qui me viennent assez facilement au piano ou à la guitare." still lol

 

 

➙ Concernant son passage dans C à vous avec Benchetrit, RAS, sauf cette redif du passage à un JT de TF1 lorsqu'elle avait 18 ans et de sa répartie savoureuse :

 

 

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Il y a 4 heures, Diskonoïr a dit :

Côté musique on n'apprend rien, si ce n'est "qu'elle compose de chansons, aimerait beaucoup refaire un disque" lol. "J'essaie d'écrire des textes mais ça m'est difficile, laborieux, contrairement aux mélodies qui me viennent assez facilement au piano ou à la guitare." still lol

 

:clown: :crybaby:

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Le 13/04/2023 à 05:43, Diskonoïr a dit :

➙ L'article dans ELLE :

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Côté musique on n'apprend rien, si ce n'est "qu'elle compose de chansons, aimerait beaucoup refaire un disque" lol. "J'essaie d'écrire des textes mais ça m'est difficile, laborieux, contrairement aux mélodies qui me viennent assez facilement au piano ou à la guitare." still lol

 

 

➙ Concernant son passage dans C à vous avec Benchetrit, RAS, sauf cette redif du passage à un JT de TF1 lorsqu'elle avait 18 ans et de sa répartie savoureuse :

 

 

 

Elle était déjà si élégante à l’époque. ?

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il y a 4 minutes, chonchon a dit :

Nouvel album en 2024 avec M, annonce à 18h dans RTL soir avec interview de M à l"occasion de l'ouverture du Printemps de Bourges.

 

OUI ! ❤️

(même si bon, on tourne en rond sur les mêmes et que cela fait environ 175 ans que je n'ai pas aimé un disque du monsieur.)

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Ça m’excite autant que ça m’effraie. Avec -M- je suis assez sévère dernièrement et il est capable de quelque chose de (tout juste) sympa comme quelque chose de terriblement nul ces derniers temps. En espérant que Vanessa ait un petit peu d’ambition et qu’elle ne se laisse pas trop guider par Matthieu au niveau des mélodies et des textes. Si c’est pour avoir des La Seine ou des Nombril non merci. Mais Vanessa est moins proche de l’enfantillage que -M- donc j’espère que ça y fera quelque chose.

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