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Alors que le public se passionne pour les nouveaux élèves de "Star Academy" saison 11, dont l'un d'entre eux sera éliminé à l'issue du prime de ce vendredi, les candidats de la précédente édition débutent tous leurs carrières. La grande gagnante Anisha Jo a récemment publié son premier album "Lumière" tandis que Léa, très populaire sur les réseaux sociaux, dévoilera ce vendredi son nouveau single "Qui je suis", peu de temps après avoir quitté son label Indifference Prod. Mais le premier à s'être véritablement lancé dans l'aventure est Louis Albi. Finaliste de la saison 10, le jeune chanteur clame haut et fort sa différence sur son premier album "Pleurer de joie". « J'ai cette fierté de me dire que je n'ai pas eu à me censurer pour cet album. Tout ce que je voulais a été écouté, autant dans les sonorités que dans l'esthétique. Je savais déjà ce que je désirais avant. J'ai présenté lors de la signature mon projet et je n'étais pas prêt à faire des concessions. Le résultat correspond exactement à ce que j'avais en tête. Le but, c'est de transformer l'essai et de faire comprendre au public qui m'a suivi à la ''Star Academy'' que je suis un artiste avant tout » indique-t-il dans une interview à paraître bientôt sur Purecharts.

"Mon hypersensibilité a toujours fait partie de moi"

Présenté à travers le single "Que tu te mentes", l'album n'a séduit qu'un peu plus d'un millier de curieux en un mois, un score quelque peu timide pour l'artiste. Mais Louis Albi espère bien inverser la tendance en dévoilant le clip du morceau-titre "Pleurer de joie". A travers cette chanson qu'il a interprétée sur le plateau de la "Star Academy", le chanteur ose mettre en avant ses émotions, sans avoir besoin de se cacher : « Mon hypersensibilité a toujours fait partie de moi. Ça a été très compliqué tout au long de ma vie de ressentir les choses d'une manière décuplée mais j'ai réussi à en faire une grande force, et une qualité au quotidien. J'ai transformé cette souffrance en petites perles de beauté, pour voir l'espoir et la lumière au bout du tunnel ».



C'est donc ce qu'il met en avant dans le clip de "Pleurer de joie", réalisé par Martin Schrepel, où il multiplie les saynètes dans un grand cube transparent. Que celui-ci soit rempli de mouchoirs, de confettis ou de neige, Louis Albi danse pour exorciser sa peine : « Quand j'ai du mal à te dire ce que j'ai à l'intérieur, je pleure / Comme ça je pleure, d'amour je pleure / Pas de douleur cette fois je pleure ».