Crédits photo : Abaca
Le torchon brûle autour des "Dix Commandements". La comédie musicale d'Elie Chouraqui reviendra sur scène les 17, 18 et 19 novembre 2016 à l'AccorHôtels Arena de Paris, avant une grande tournée partout en France. Mais le projet est décrié, notamment par Pascal Obispo, auteur et compositeur des chansons du spectacle. « Je ne suis aucunement impliqué et solidaire du spectacle qui se présente comme le retour des "10 commandements" » a-t-il indiqué sur les réseaux sociaux, suivi par les producteurs Dove Attia et Albert Cohen. Même Daniel Lévi a tenu à réagir devant l'engouement du public pour ce comeback événement. « Je confirme n'avoir jamais été ni informé, ni sollicité pour cette intention de reprise. Il va de soit que je ne reprendrai pas le rôle de Moïse dans cette douteuse production..si retour il y a » a indiqué l'interprète culte de "L'envie d'aimer", se disant « choqué ».

"Daniel Lévi est influençable"

« J'ai voulu privi­lé­gier la jeunesse. "Les Dix Comman­de­ments", c'est une histoire de jeunes gens, pas l'histoire de quinqua­gé­naires » se défend aujourd'hui Elie Chouraqui, qui a préféré faire appel à Joshaï, Merwan Rim, Anne Warin, qui reprendra le rôle de la mère de Moïse, Jocelyn Durvel et de talents issus de télé-crochets comme "The Voice". C'est donc pour cette raison qu'il n'a pas eu envie de contacter Daniel Lévi. « Je ne l'ai pas appelé. C'est un autre siècle, une autre vie, d'autres chan­teurs, il faut une autre jeunesse. Ce sont des gens d'une autre géné­ra­tion » a expliqué Elie Chouraqui, déçu de la tournure des événements, au Point Pop. « J'aurais aimé que Daniel soit une sorte de parrain. Je voulais l'appeler plus tard pour qu'il fasse la surprise » a-t-il regretté.

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Elie Chouraqui a ensuite dressé un portrait doux-amer de Daniel Lévi : « J'aime beaucoup Daniel. Il est influençable, mais c'est un type avec qui j'ai eu des relations extraordinaires et des fous rires. Je suis sûr qu'on se reverra et qu'on tombera dans les bras l'un de l'autre. C'était une réaction épidermique et désolante ».

Souvenez-vous de "L'envie d'aimer" :