Ce Que Shiva* Et Vous Avez Acheté/vu...

[Free Xone]

J'ai vu Three Billboards Outside Ebbing, Missouri (ou Three Billboards : Les panneaux de la vengeance en vf) et je n'ai pas été déçu. Le scénario est très simple mais beaucoup d'actions, beaucoup de fond et Frances McDormand est exceptionnelle. J'avais d'ailleurs peur que tout le film repose sur elle mais il n'en est rien, les personnages secondaires sont très présents et le tout fonctionne grâce à un bon dosage entre chaque situation et atmosphère. Ce serait difficile de le classer dans un genre, entre polar, drame social et comédie à l'humour grinçant et cynique. C'est sans prétention et c'est efficace de bout en bout.

[Ahlem]

J'ai vu Coco, je crois que c'est l'un des premiers Disney où je me suis dit que c'est un film d'animation pour adulte mais pas trop adapté pour les enfants.

Il est très bien réalisé, les images sont magnifiques, c'est assez bluffant.

J'ai lâché une petite larme évidemment.

[Ahlem]

Jusqu'à la garde :

 

Très bonne surprise, le film est prenant, je dirais même angoissant, il se déroule de manière subtile jusqu'à la presque fin.

Un peu comme Polisse je dirais que c'est un film d'intérêt général..

[FESTIVAL]

Wonder Wheel.

 

Allen mineur pour Winslet majeur.

 

J'ai toujours été fan de Kate mais l'ai toujours trouvée sous exploitée. Reconnue par la profession (5 nominations aux Oscars!) mais faut dire que dans certains de ses films, elle a toujours peu de scènes et de dialogues.

 

Je rêvais qu'elle ait un rôle à la Blue Jasmine et elle a eu! Elle porte le film à elle-seule, elle est pratiquement de toutes les scènes et on assiste vraiment à sa chute.

 

La lumière du film m'a parfois dérangé. Un peu fake.

 

Je trouve que Winslet n'a commercialement aucune chance depuis Titanic! Elle collabore avec des grands réalisateurs (Parker, Soderbergh, Boyle) et c'est des fours...

Elle fait une trilogie ado je sais pas quoi.. et le 3ieme volet est annulé.

Elle fait un Woody Allen et ..ce dernier est "censuré"...

Sans oublier ces derniers choix catastrophiques...

[Pablo]

Jusqu'à la garde :

Film choc, je n'en dirais pas beaucoup plus. À voir absolument, mais sûrement pas à revoir.

 

The Shape of Water :

Étant assez sensible au cinéma de Del Toro, j'attendais le film avec un peu de crainte aux vues des critiques dithyrambiques.

Au final, je n'ai pas du tout été déçu. Le film prend son temps, n'en fait pas trop. C'est gothique et poétique à la fois. Et le propos est beaucoup moins anodin qu'il laisse le penser au premier abord. Le rôle d'Octavia Spencer .

J'espère que Guillermo aura son Oscar de meilleur réalisateur.

[Cortana]

J'ai vu Suburbicon, c'est un mauvais Cohen, c'est réalisé par Clooney et écrit par les frères Cohen mais la réalisation manque de punch, la musique de Desplat est juste insupportable. Les acteurs Matt Damon et Julianne Moore porte le film mais l'histoire est décevant, un sous Fargo.

[Cortana]

J'ai enfin vu Jusqu'à la garde, c'est un film puissant par la force de sa réalisation, jeu d'acteur, mise en scène, il est vraiment bien exécuté, un film court mais qui n'a pas vraiment besoin de plus. Par contre je suis vraiment déçu du scénario sans spoiler je m'attendais quelque chose de bien plus surprenant. Et du coup j'ai du mal à comprendre les éloges vu que j'ai compris la fin après 10mn du film et j'aurais vraiment voulu me tromper.

[Mysterious Mickey]

[Roméo]

 

 

 

Moi qui avait trouvé certains épisodes assez osés et acides, je me suis profondément ennuyé.

Quelle drôle d'idée d'avoir planté le décor de ce film au Royaume Uni, c'est fatalement moins drôle dans la mesure ou elle communique avec des gens qui ne la comprennent quasiment pas. On ne retrouve pas cette connexion naturelle, cet échange spontané qui fait rire, et les situations sont si prévisibles qu'au final bah on s’emmerde.. Tout le concept original de Connasse disparaît presque par moment. Elle passe d'avantage pour une hystérique, c'est vraiment dommage.

3,5/10

[Ahlem]

The shape of water :

 

C'est un beau film, bien réalisé et assez poétique.. Néanmoins je suis resté sur ma faim, il ne se passe pas beaucoup de choses durant tout le film alors qu'ils auraient pu se permettre de développer le scénario un peu plus.. La créature est magnifique et presque aussi réelle que chacun des personnages. Bien sûr le message que Del Toro a voulu faire passer l'a été mais de manière assez expéditive je trouve; d'ailleurs, j'ai trouvé l'une des scènes du film de trop tellement elle manquait de subtilité quant à la portée du message.

Un film à voir au ciné mais je ne le regarderais pas à la TV..

[JuL!En]

Je suis devant le Bonhomme de Neige, euh c'est quoi ce navet ?

 

J'ai déjà eu du mal avec le livre que je n'ai pas fini, mais le film on dirait un(e) téléfilm / série B.

 

Je suis choqué.

[FESTIVAL]

Everybody knows.

 

Un scandale de proposer encore un scénario comme celui-ci. Surtout par le réalisateur de "Une séparation" et "Le passé".

 

Il n'y a AUCUNE idée originale , l'histoire d'une fille qui disparaît.

[Shiva*]

 

Le cinéma de Christophe Honoré ne ma jamais parlé, parce que je ne my suis jamais senti inclus. Pas tant à cause de ses envolées littéraires et verbeuses que de ses personnages figés, peu incarnés, presque décharnés. Les chansons damour par exemple était censé me renverser, il ma juste laissé de marbre.

 

Pour ce film là, Honoré explique que la violence des réactions face au mariage pour tous lui a fait réaliser quil avait « merdé » en tant que cinéaste, et quil se devait de participer à une reconstruction de limaginaire collectif sur lhomosexualité, en collant au plus près de la vie de ses personnages.

 

Et cette prise de conscience évidente sert grandement le film qui semble enfin ouvrir la porte de son univers. Un univers toujours verbeux mais bien vivant, avec des personnages qui respirent, qui baisent et qui courent effectivement après le temps. Une course quHonoré a choisi de raconter en prenant son temps justement à contrario de son aîné 120 BPM au rythme plus ramassé. Un choix judicieux, car le film infuse, invite le spectateur dans lintimité de ses personnages et ça change tout. Autre choix judicieux les jeux de contraste entre son couple de personnages, et les changements de tons bienvenus, le film oscillant sans cesse entre la la gravité et la lumière, la comédie et le drame. Pierre Deladonchamps et Vincent Lacoste sont parfaits pour illustrer ça, avec mention spéciale au second qui est parfait de nonchalance et démotion.

 

Le film laisse une sensation de charme tenace et des souvenirs déjà vivaces. Lair de rien, un film important.

[Cézette]

J'ai vu le fameux Don Quichotte de Terry Gilliam. C'est foufou, un peu long mais au final c'est difficile de ne pas trouver le film attachant. J'avais peur que le film soit un peu plat (allez savoir pourquoi), mais il y a une véritable spirale infernale qui rend impossible de décrocher. J'aurais bien aimé voir la tronche du film avec Rochefort et Depp quand même

[Raindrops]

J'ai vu I don't feel at home in this world anymore, enfin un super bon petit film sur Netflix ! Drôle, décalé, Melanie Lynskey et Elijah Wood sont excellents et la musique aussi, j'ai passé un bon moment !