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Ce Que Shiva* Et Vous Avez Acheté/vu...


Gabee

Messages recommandés

 

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Une grosse claque.

 

Le mystère était complet autour de ce film, ce qui était plutôt osé comme promotion. Le résultat est très bon, on avance en aveugle dans cette intrigue oppressante qui finit en apothéose.

 

Sans être une suite directe a "Cloverfield" mais plutôt un cousin (pour ma part je pense que ça se passe au même moment que Cloverfield), c'est un thriller/science-fiction qui n'emploie pas la profusion d'effets spéciaux pour nous en mettre plein la vue, mais utilise le huis clos psychologique pour nous foutre la pression, nous angoisser... Et ça marche carrément bien: c'est efficace, intriguant,stressant, étouffant... Le tout bien ficelé par des jeux d'acteurs maîtrisés et un scénario très correct, voila comment un passe un parfait bon moment !

 

Et puis, quel plaisir de retrouver Mary Elizabeth Winstead !!! Toujours au top !

 

4,5/5 ! foncez !

 

+1000

Je l'ai vu ce soir au ciné avec mon copain et ma sœur et j'ai adoré (eux également) et a 4 euros la place au lieu de 10.80 autant en profiter. ^^

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C'est clair qu'à ce prix là... Pour moi, le printemps du cinéma aura été Midnight Special, Avé César et 10 Cloverfield Lane. J'ai aimé les trois (Avé César un peu en deça mais je suis assez exigeant vu que c'est du Coen).

 

Bon pour Cloverfield, il profite un peu avantageusement du nom du premier et du coup c'est un peu malsain de le vendre de la sorte. Ceci étant dit, c'est un excellent huis clos, la fin est très différente mais très bonne, et Mary Elizabeth et moi, c'était déjà une histoire d'amour avant alors...

Je m'étonne même à apprécier un film que Rainman a aimé (pareil pour Midnight Special que Durendal avec qui je suis quasiment toujours opposé niveaux goûts). Comme quoi.

 

Midnight Special fait plaisir. Enfin je me dis que l'on peut encore faire des bons films de SF en 2016, avec des esprits frais (regardez Take Shelter avec Queen Chastain de lui, merci). Pas évident de parler de ces deux films sans spoiler mais je les recommande et l'année commence bien. Tellement bien que je vais de ce pas continuer à remplir ma fiche UGC Illimité. Histoire d'être prêt pour les awards de l'an prochain sur CIF... !

 

Pour le coup, Brooklyn était sympa mais pas fou non plus (pas d'enjeu, dommage). Enfin pour moi c'est Saoirse qui relève le film.

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Je sens qu'il va être difficile pour ce film de faire carrière vu le bashing organisé (la Warner n'étant pas innocente avec sa stratégie foireuse d'embargo juste avant la sortie. Forcément les journalistes passent leurs nerfs sur un film qu'ils n'ont pas pu voir gratuitement.)

 

Malgré ses latences et ses manques (en scènes qui coincent par coupes inconsidérées) il arrive à résoudre le plus grand défis super-héroïque de ces trois dernières décennies : réunir les deux plus iconique super-héros jamais crées et réussi son pari après l'épisode "Affleck is Batman, shame on U" ou sa redite avec Eisenberg en Luthor (on peut ajouter Gal Gadot aussi).

 

Pourtant le film parvient à nous propulser en avant trois grandes interprétations cinématographiques avec un triple sans fautes pour les trois acteurs. Le nouveau Batman enterre Christian Bâle qui n'a jamais paru aussi dépassé physiquement dans ses films (il restera encore un film solo pour totalement le faire oublier) et semble être le tout premier super héros à pouvoir se gargariser d'être directement sorti d'une page de comics sans additifs cinématographiques.

 

Il est le BATMAN tout droit sorti de The Animated Serie : brutal, vif, graphique (au sens anglais du terme) et un Bruce Wayne de haute volée comme aux meilleures heures (Val Kilmer, Keaton en smoking).

 

Superman est plus iconique que jamais, surpassant Reeves ! Henry Cavill est définitivement Superman !

 

Et Wonder Woman nous montre une héroïne plus badass que jamais au delà des interprétations féminines dans le genre. Comme le dit la plupart des reviews, elle vole carrément la vedette aux autres.

 

Batman v Superman est surement, malgré ses grosses faiblesses (surement compensées dans la version longue) le meilleur film de super-héros de l'année. Le bashing envers ce film, sur son absence d'humour est juste ridicule et sans fondements. A croire que les gogos lui reprochant ça, s'attendait à voir une séquelle de Friends ! Le DC Universe ce n'est pas Smallville ou Supergirl !

 

Il fera toujours mieux qu'un Marvel type Age Of Ultron ou Thor 2, un Marvel Disney de seconde zone (pléonasme) réalisé par un réal de série tv aux ordres de la production. Zack Snyder essaye, transcende des plans, tente des choses pour notre plus grand plaisir et parfois se rate. Malheureusement il est pas aidé par la Warner qui lui impose des coupes malvenues qui se sentent totalement dans le déroulé de l'intrigue.

 

Mais peu importe Batman v Superman était un must-to-see et sa version Blu-ray s'annonce comme un must-to-have ! Il faut le voir pour en être sûr. Loin de l'uniformité Marvelesque, ce film divise, questionne, interroge et enfin remue nos cervelles pour des avis qui vont du lynchage à l'adoration. En soit c'est ainsi qu'on peut considérer le cinéma, comme une œuvre de réflexion collective qui outrepasse l'abrutissement des masses anesthésiées. DC n'est pas parfait, il ne l'a jamais été mais il arrive à nous "entertainer" avec une once de mythologie philosophique qui transcende le simple visionnage sur pellicule. N.B. Je descends volontairement Marvel Disney, pour son œuvre formatée qui encore 1 an après me dégoûte avec son "Age Of Ultron" et surtout sa promo ubuesque sur "Captain America: Civil War" avec des commentaires comme "Ça sera le parrain 2", "une histoire d'amour", "Un John Ford en mieux"... HAHA ! Leurs chevilles ne vont plus, il faut les aider à revenir sur terre et à se remettre en question avec leur formule périmée. On y gagnera tous pour l'enrichissement du genre.

 

En conclusion:

Le film une vraie réussite. Il est possible qu'il ne soit pas aussi grand public que The Avengers, de par sa noirceur, ici poussée un cran plus loin, et de son désir d’aller au centre des choses. Les acteurs assurent, ils sont investis, ils ont à cœur de faire un bon film, tout comme Snyder, Terrio et Goyer, que j’applaudie. Inévitablement, ils souffrent de la comparaison avec la concurrence, Marvel, mais leur désir de faire quelque chose de différent a atteint son but : Batman v Superman est un grand film, plein de références, qui s’assume, et qui cherche à nous jeter dans un monde noir, sombre, cruel, où les héros ne sont pas si héroïques que ça, et où les méchants ne sont pas tant des salauds, comparés à la moyenne nationale. (Suicide Squad (3 août), on compte sur toi !)

 

" THE BEST SUPER-HEROES MOVIE EVER MADE." - Rainman

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Mon année 2016 cinématographique démarre vraiment bien. Je n'ai pas vu énormément de films (bien que plus que d'habitude) mais je n'ai pas eu beaucoup de déceptions.

Star Wars : The Force Awakens est un excellent divertissement, Carol m'a presque ému aux larmes, les actrices sont formidables, The Revenant m'a bluffé tant au niveau image que prestation d'acteurs, Spotlight est très bien réalisé mais j'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire, Midnight Special m'a surpris car je ne pensais pas du tout adhérer au délire SF, sauf qu'il y a bien plus que de la SF, les personnes sont réellement attachants, et Rosalie Blum est une très jolie surprise émouvante et pleine de poésie, la fin est magnifique.

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Dramatique, lumineux, étouffant, innocent, subtil, ébouriffant. Parvenir à faire du film d'un enlèvement et d'une séquestration un conte sur le pouvoir de l'esprit relève de l'exploit, du pari impossible. Et pourtant le film est là, il existe, avec sa réalisation impressionniste qui mise tout sur la recherche de la lumière. Quiconque ayant déjà humanisé des objets où un cadre restreint de vie aura ressenti la même émotion que Jack à la fin du film, cette nostalgie tenace qui réconforte et qu'il faut pourtant savoir quitter. Jacob Tremblay est magnifique.

 

A

 

 

 

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Habitués du vaste thème qu'est l'adolescence, Téchiné et Sciamma en proposent une nouvelle observation avec ce film sensible et réussi malgré ses maladresses.
Des maladresses qu'on retrouve principalement dans l'exposition du film, entre l'opposition simpliste de ses personnages masculins venant de milieux radicalement opposés et le rejet viril des sentiments par la violence pas loin du cliché. Mais une fois le cadre posé le film gagne autant en densité que le trouble gagne ses personnages, et on est surpris par la façon dont Techiné (73 ans quand même) peut encore chroniquer de manière si précise le tourbillon qu'est l’adolescence. Le désir et la frustration sont bien sûr au cœur du film, mais il a également le bon goût de ne pas jouer la partition d'une adolescence insouciante : Damien et Tom ont une vision excessivement sérieuse et grave de la vie, parce que tout est grave quand on a 17 ans. Et le personnage de Sandrine Kiberlain qui fait le lien entre les garçons est à l'image de ce qui fonctionne dans le film, sensible et bienveillante, présente et en retrait. La mère de Damien est un appui, un équilibre bienvenu pour son fils comme pour le film, et un personnage formidable.
B+
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Ce film retient mon attention en ce moment, je découvre un peu la filmographie de Zack Snyder et c'est un plaisir de le faire. Quand on regarde la BA on pense aussitôt à un film pour ado ou un délire de Geek.

Alors oui il y a un délire de Geek mais dans une histoire vraiment originale avec un degré de profondeur pertinent. Au final, on se demande bien si c'est réel, si le film n'est pas une manière de fuir dans ses rêves, de s'imaginer un autre monde pour combattre nos peurs, notre souffrance.

Il n'est définitivement pas fait pour chaque personne de ce monde, c'est systématique un film de Snyder divise toujours mais on peut pas nier sa passion, son talent dans son projet.

Une belle surprise pour ma part même si j'ai quelques déceptions au niveau technique, je vois bien Guillermo del toro dans ce style de travail, avec lui je pense que visuellement ça peut être encore meilleur.

Mais l'idée de base est de Zack Snyder, j'aime son style, il est lui aussi un petit génie du cinéma d'aujourd'hui, il fait son job avec passion sans se soucier des délires des fans.

C'est comme ça qu'on doit faire un film, on fait un truc et on regrette rien, si on aime tant mieux, si ce n'est pas le cas tant pis.

 

Ma prochaine étape est Watchmen mais j'ai besoin de temps pour comprendre cette œuvre à sa juste valeur. En tous cas, la BO claque, la scène d'introduction est énorme, le générique est le plus beau au monde.

Et la bande annonce est iconique, elle est parfaite :

 

 

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Voilà encore une perle de DC Comics :

 

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C'est un film à la hauteur de sa bonne réputation, tiré de l'œuvre de Alan Moore (qui a également fait une autre perle de dc comics Watchmen). Le scénario est vraiment intéressant et ce terroriste/gentil est charismatique avec ses dialogues cultes.

 

Le film est une œuvre qui diffère un peu des comics, il met plus en avant les conséquences d'une dictature totalitaire.

L'homme au masque dérange, il est donc un terroriste pour le gouvernement mais au final qui sont les plus odieux ?

La plus grande force vient du peuple et ce film représente un coup d'état, un affrontement contre la domination, l'opression, les exécutions du peuple.

Il y a une grande influence de l'Allemagne Nazi.

 

Le message de V For Vendetta c'est de vivre en paix entre homo, hétéro, musulman ect. Je crois qu'il est encore d'actualité ce film.

Il dérange certaines mentalités notamment la Chine.

C'est le meilleur rôle de Nathalie Portman. FILM CULTE. DC COMICS c'est la vie malgré quelques échecs (catwoman de 2004, green lantern de 2011, batman et robin de 1997, batman forever de 1995).

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Vu aujourd'hui. ^_^

 

C'est mignon en effet.

Les acteurs sont tous attachants.

 

(Je regrette juste un tout petit coté mièvre à la fin).

 

Tout est assez attendu donc oui c'est mièvre et pas très original.

 

 

Mais j'ai vraiment aimé la scène finale qui pour le coup était inattendue et assez émouvante pour ma part.

 

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On retrouve la présence si familière d'Isabelle Huppert dans le personnage de Nathalie, prof de philo en fin de carrière et mariée depuis 25 ans qui va devoir se confronter à une série de pertes et une nouvelle liberté qu'il va falloir vivre. Et cet avenir porte mieux son titre que cette chanson de Louane. Le film repose sur des contrastes et en joue habilement : la mise en scène légère (et ce n'est pas péjoratif) sert la gravité du sujet, la philosophie est confrontée à la vie quotidienne, le deuil se fait au soleil et ces contrastes élèvent un film qui parait un poil inconséquent de prime abord.
Quant à Huppert, sa présence habite tellement le film qu'on se demande qui nourrit qui. Et Mia Hansen Love là aussi a parfaitement su utiliser les contrastes de son jeu, son énergie volontaire (Nathalie marche en permanence) et ses silences. Et plus qu'un portrait de femmes L'Avenir est un beau film, intelligent et optimiste, sur la résilience. Une chouette surprise.
B+
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Une grosse claque.

 

Le mystère était complet autour de ce film, ce qui était plutôt osé comme promotion. Le résultat est très bon, on avance en aveugle dans cette intrigue oppressante qui finit en apothéose.

 

Sans être une suite directe a "Cloverfield" mais plutôt un cousin (pour ma part je pense que ça se passe au même moment que Cloverfield), c'est un thriller/science-fiction qui n'emploie pas la profusion d'effets spéciaux pour nous en mettre plein la vue, mais utilise le huis clos psychologique pour nous foutre la pression, nous angoisser... Et ça marche carrément bien: c'est efficace, intriguant,stressant, étouffant... Le tout bien ficelé par des jeux d'acteurs maîtrisés et un scénario très correct, voila comment un passe un parfait bon moment !

 

Et puis, quel plaisir de retrouver Mary Elizabeth Winstead !!! Toujours au top !

 

4,5/5 ! foncez !

 

Je l'ai vu hier. Je suis totalement d'accord avec toi.

 

Je n'avais pas vu ni entendu parler du premier "Cloverfield", je n'ai pas capté qui était derrière la production jusqu'à ce matin. Et je n'avais vu aucune des bandes-annonces (un peut trop?) explicites sur l'issue et la vraie nature du film. En fait à part le court synopsis sur la porte d'entrée du ciné je ne savais pas du tout à quoi m'attendre. Je ne m'étais même pas informé sur le casting.

Bref, le grand flou en entrant dans la salle et je dois dire que pour voir ce genre de film, c'est la meilleure chose possible. Rien ne me laissait présager le dénouement de ce thriller en huit clos glaçant... je ne savais pas si je revivais le délire psychopathe de "Room" sorti sur nos écrans il y a peu, une manipulation machiavélique pour tromper l'héroïne du film, ou s'il au-delà de la parano du personnage brillamment joué par John Goodman il se passait vraiment des choses bizarres en dehors du bunker... La réalisation de ce point de vue là torture magnifiquement nos esprits en nous laissant alternativement l'idée, voire l'espoir, que ces trois situations sont toutes à fait possibles. A un moment on se surprend à devenir presque persuadé que Goodman dit vrai... puis à un autre que non, c'est juste un taré. Et la balance continue à pencher d'un côté puis de l'autre, sans cesse, et on doute jusqu'à la toute fin, avant de tout comprendre. Et ça c'est fort.

Ainsi donc, les dernières minutes du film ont été particulièrement jouissive. C'était en effet bien au delà de toutes mes espérances, une vraie claque !

Moralité de l'histoire : il vaut toujours mieux être totalement ignorant sur le contenu d'un film et se laisser surprendre en salle pour en profiter au mieux. Parce que si j'avais su tout ce que je lis sur internet (hélas trop précis sur le contenu du film), la seule évocation du producteur aurait été pire qu'un spoil en m'enlevant tout effet de surprise et ma réaction aurait été totalement différente.

Je vous conseille donc d'aller le voir dans ces mêmes conditions ! C'est mon gros coup de cœur de l'année pour le moment.(10/10 sans hésiter !)

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Invité Querelle

 

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On retrouve la présence si familière d'Isabelle Huppert dans le personnage de Nathalie, prof de philo en fin de carrière et mariée depuis 25 ans qui va devoir se confronter à une série de pertes et une nouvelle liberté qu'il va falloir vivre. Et cet avenir porte mieux son titre que cette chanson de Louane. Le film repose sur des contrastes et en joue habilement : la mise en scène légère (et ce n'est pas péjoratif) sert la gravité du sujet, la philosophie est confrontée à la vie quotidienne, le deuil se fait au soleil et ces contrastes élèvent un film qui parait un poil inconséquent de prime abord.
Quant à Huppert, sa présence habite tellement le film qu'on se demande qui nourrit qui. Et Mia Hansen Love là aussi a parfaitement su utiliser les contrastes de son jeu, son énergie volontaire (Nathalie marche en permanence) et ses silences. Et plus qu'un portrait de femmes L'Avenir est un beau film, intelligent et optimiste, sur la résilience. Une chouette surprise.
B+

 

Tu m'as donné envie, étant un amoureux transi d'Isabelle Huppert, j'aime beaucoup sa façon de parler du film, notamment l'idée qu'on dépend moins des gens qu'on aime qu'on ne croit. La solitude étant peut-être la seule liberté réelle.

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Les sœurs fâchées d'Alexandre Leclère (2004)..


Ouai.. Quelque chose m'a dérangé dans ce film. Cette histoire n'est pas très réaliste à vrai dire. La froideur hystérique d'Isabelle Huppert est trop caricaturale, trop appuyée pour être crédible, comme si elle cherchait à se débarrasser de ce rôle le plus rapidement possible.

Elle démarre sur des chapeaux de roues, son personnage n'évolue absolument pas. Niveau interprétation son jeu est très moyen pour ne pas dire H.S par moment, contrairement à Catherine Frot qui est toujours d'une justesse remarquable. Notamment durant cette scène du repas entre amis ou sa sensibilité envahit littéralement l'espace. Elle est formidable cette fille.

Les seconds rôles sont assez vulgaires, et tout à fait dispensables dans le cadre de cette histoire. On sent le besoin de rajouter un peu de cul pour alimenter un scenario tenant sur un ticket de tromé.


A voir pour Catherine ^^


6/10

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Par contre je me suis toujours demandé ce que ça aurait donné s'ils avaient inversé les rôles parce que chacune est dans sa zone de confort.

 

C'est vrai, il aurait été intéressant effectivement de permuter les rôles, mais à priori la beauté froide de Huppert correspond mieux au cliché parisien nécessaire pour les besoins de cette histoire. J'ai aussi cette impression que le public la reconnait mieux dans ce genre de position ^^

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