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Christophe Willem - Panorama (16/09)


Messages recommandés

Ils ont essayé d'envoyer "Fantômes" en radio?

 

Si non, j'espère que ce sera un single de l'album. J'aime beaucoup ce titre et c'est typiquement le genre de morceau qui s'installe facilement sur les radios variétés et qui est repris dans les émissions de télé-crochet. Je pense vraiment qu'il y a jolie carte à jouer avec ce titre.

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L'album est disponible en Océanie.

 

Mon avis après écoute :

 

#PutainDeFuckingTube

Je tourne en rond (Elia d'Eurovision France a bien bossé)

 

#Tubesque

Solitude

J'vais exploser

 

#LaBaladeAExploiterParceQuIlYEnAToujoursUne

Dans le regard de l'autre

 

Quand je vois que c'est "J'tomberai pas" qui est envisagé comme prochain single par la maison de disques :

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il y a 19 minutes, Kamiyu a dit :

Quelqu'un a l'article en entier ? :)


 

⬇️

 

Révélation

Christophe Willem, un 6e album et un come-back au festival Paris Paradis : «J’ai envisagé de changer de métier»

Christophe Willem sort ce vendredi «Panorama», un 6e album dans lequel il se dévoile comme jamais... L’échec de son précédent disque, sa profonde remise en cause, sa thérapie... Confidences à domicile avant son grand retour ce samedi 17 septembre au festival Paris Paradis.

 

Par Eric Bureau 

Le 15 septembre 2022 à 13h26

Nouvelle maison pour nouvelle vie. Christophe Willem réside toujours à Deuil-la-Barre (Val-d’Oise), près de chez ses parents, mais il nous reçoit dans une nouvelle demeure, lumineuse et accueillante, entourée de verdure et riche d’un magnifique panorama. « Panorama », comme le nom de son sixième album, qui marque un tournant dans sa carrière, lancée il y a seize ans par sa victoire dans le télécrochet « Nouvelle Star ».

Après l’échec commercial de son précédent disque, « Rio », il y a cinq ans, le chanteur, auteur et compositeur de 39 ans s’est posé sérieusement la question de continuer. Mais il a trouvé dans une nouvelle équipe et de nouveaux auteurs-compositeurs, dont le tandem Laurent Lamarca et Jean-Étienne Maillard, la force de revenir et de réaliser son album le plus intime et touchant. Retrouvailles sur le fil de l’émotion, avant son grand retour sur scène, ce samedi, au festival Paris Paradis organisé par Le Parisien à la Villette (Paris XIXe).

Ce sont vos parents en photo dans l’album ?

CHRISTOPHE WILLEM. Bien sûr ! Ils sont aussi à la fin du clip de « PS Je T’aime ». C’était marrant de les inclure dans cet album, qui s’appelle « Panorama », car c’est une rétrospective de ce qui s’est passé dans ma vie, d’homme et de chanteur. C’est aussi un clin d’œil à la rue du Panorama, près d’où j’ai grandi et à côté d’où je vis aujourd’hui. C’est dans cette rue que j’allais enfant me réfugier quand c’était compliqué à l’école.

 

Comment est né ce disque ?

Le processus a commencé pendant le confinement, en 2020. Cette maison étant en travaux, je suis retourné chez mes parents, dans ma chambre d’ado. J’ai commencé à réfléchir à mon métier, à ma vie, j’écrivais dans un cahier ce qui me passait par la tête. Je sortais de l’album « Rio », qui avait été un échec commercial… Même si la tournée a été très cool, j’ai vécu cet échec comme un rejet de ce que j’étais. Je me suis senti comme le vilain petit canard qui a vendu trois disques. Je me suis retrouvé dans ma cour de collège, stigmatisé, montré du doigt. Et je me suis demandé si cela valait le coup de faire un énième album…

 

Cela a eu un effet thérapeutique ?

(Il rit) Cet album a même marqué la fin d’une thérapie réelle ! Je l’ai commencée après « Rio » et je l’ai finie avant cet été. Les ventes de « Rio » n’étaient en fait pas si dramatiques, autour de 35 000 - 40 000, mais j’ai été totalement abandonné par le label. Une semaine après sa sortie, ils m’ont dit « l’album est plié ». Après deux ans de travail, c’était très violent ! Pour d’autres raisons, mon manager a changé de métier. Je me suis senti très seul…

Vous avez envisagé d’arrêter la musique ?

Oui. C’est pour cela que j’ai vu une psy, pour faire le point sur ma vie. Cela a réveillé tout un tas de blessures de l’adolescence que je pensais guéries, la sensation d’abandon et de rejet que j’avais vécue ado, quand on me collait une étiquette sur une sexualité que je n’avais pas. Je ne comprenais pas pourquoi j’étais rejeté. D’autant que, plus tard, dans « Nouvelle Star », on m’aimait pour exactement les mêmes choses. Après je me suis enfermé dans une dépendance malsaine au regard des autres, à la notoriété, et je pensais que cela avait compensé mon absence d’amour-propre. Mais avec l’échec de « Rio », j’ai eu l’impression qu’on m’enlevait tout ce qu’on m’avait donné. J’ai même envisagé de ne pas revenir aux Enfoirés. Je les aime mais j’avais peur qu’on me montre du doigt : « Regarde, c’est le gros naze qui a vendu trois disques, sa carrière est finie. » Je vivais avec la honte d’être un artiste fini.

Finalement, vous êtes allé aux Enfoirés…

Et cela m’a fait énormément de bien. J’ai beaucoup discuté en particulier avec Slimane, je lui ai parlé de changer de métier, pourquoi pas devenir architecte… Il m’a dit que je lui avais donné envie de devenir chanteur, il a trouvé très violent qu’on ait encore un problème de confiance après autant d’années. De là, il m’a écrit « PS Je t’aime », qui est un message adressé au public, comme « Je tourne en rond » et « Au Temps pour nous ».

Vous n’avez ni écrit les textes, ni composé les musiques. Pourquoi ?

Pour que ce soit mon album le plus personnel. Quand j’ai commencé à écrire, je me suis très vite aperçu que je retombais dans mes travers, à édulcorer, à adoucir… J’ai toujours eu la sensation qu’il y avait un décalage entre ce que je suis, assez rock’n’roll, et l’image lisse que je renvoie. Alors j’ai cherché partout de nouveaux artistes avec qui travailler et j’ai trouvé Chien Noir, Elia, Laurent Lamarca qui a écrit huit des quatorze textes et a été déterminant. Je l’ai poussé à être le plus direct possible. La première chanson qu’il m’a apportée, « J’tomberai pas », était exactement ce que j’avais envie de dire, une colère saine, libératrice.

 

Dans « J’avance », vous chantez « J’ai vu des gens, des quantités, me juger, me cataloguer, me traiter de pédé ».

Combien de fois j’ai entendu ça depuis mon enfance ! Au début, Laurent avait écrit « efféminé », mais j’ai voulu le mot juste. C’est ce que je dis aussi dans « Ni reine ni roi ». Pour moi, la sexualité, l’amour, est une question de personne. Je l’ai toujours expliqué, mais les gens voulaient absolument que je tranche. À une époque, c’était la grande mode des coming out gay. J’ai toujours soutenu ces combats, mais je ne pouvais pas être porte-parole à 100 % de quelque chose qui ne me définit pas totalement. Beaucoup de gens comme moi ont souffert de cette définition très binaire, dictatoriale. Heureusement, la nouvelle génération est beaucoup plus open.

Votre chant est différent, moins démonstratif…

J’avais la sensation d’être devenu un peu une caricature de moi-même, à toujours vouloir chanter de plus en plus aigu, à essayer de trouver la magie de quelque chose qui avait existé… Dans cet album, j’ai voulu qu’on écoute plus l’homme que le chanteur. Aujourd’hui, je trouve qu’être dans la démonstration, cela met une distance avec le public. Et c’est ringard.

C’est l’album de la dernière chance ?

Pas du tout. C’est une ode à la résilience. Évidemment que j’ai envie d’être entendu et que je suis heureux que « PS Je T’aime » marche bien. Mais je ne suis pas dans un esprit de revanche de ce que j’ai pris dans la gueule. Cet album a déjà été utile pour moi. Maintenant, j’espère qu’il sera utile à d’autres.

 

La note de la rédaction :

4/5
« Panorama », Christophe Willem, RCA/Sony Music, le CD, le vinyle ; en concert ce samedi au festival Paris Paradis, puis en tournée en 2023, dont le 18 mars à la salle Pleyel.
 

 

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Euh j'écoute l'album, j'espère que c'est pas Je Tomberai Pas le prochain single parce que euh... oui c'est radiophonique mais c'est du déjà entendu et sa voix n'est pas du tout mise en valeur... J'en suis à Tiens Bon et sa prod bossa, j'avoue que ça me fait un peu peur cet album, on sent vraiment que c'est un album fait "sur catalogue" quand même avec des chansons super courtes et où la voix n'est pas vraiment la priorité première (mis à part Fantômes peut être)... On dirait du Amir ou tout autre chanteur francophone qui "marchote" dernièrement... Bon je continue en espérant une deuxième moitié meilleure. 

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Je lance la 1ere écoute des titres non connus

 

J'avance l'instru est mortelle, j'aime bien le titre.

 

Ni reine ni roi : Mouai

 

J'tomberai pas : J'aime beaucoup également l'instru. Le titre est bon et assez radiophonique.

 

Un peu comme toi et moi : J'aime pas trop le flow des couplets à la première écoutes. Le refrain est sympa mais c'est tout 

 

Tiens bon : Mouais, je n'ai pas fini l'écoute.

 

Dans le regard de l'autre : Comme je pensais, PÉPITE. Je pense que ça sera top en concert.  Single évident je l'espère.

 

Je tourne en rond : Next single ??, ça lui va vraiment très bien l'electro pop disco. Pas de chichi vocal

 

Noir : Sans plus pour le moment.

 

Solitude : L'instru me fait penser à un autre tire. Je ne sais pas quoi penser 

 

J'vais exploser : Ça aurait pu être du Zazie. Piste sympa 

 

Au temps pour nous : La manière de chanter est surprenante. Trop dérouté pour me prononcer pour l'instant.

 

La fin des choses : Très jolie.

 

J'affinerais après plusieurs écoutes et avec les paroles.

 

Le titre "J'tomberai pas" est poussé dans la playlist Spotify New Music Friday France en 13eme place. Également dans Fraîche pop en 11ème place.

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LES +++

Solitude - LE tube de cet album pour moi ! J'adore ! ? Ça aurait dû être le lead.

J'Vais Exploser - Encore une fois un petit coup de cœur !

Je Tourne En Rond - Un petit coup de cœur ce titre ! J'aurai aimé un refrain un peu plus poussé mais c'est très satisfaisant comme ça !

 

LES MOYENS

Ni Reine Ni Roi - Pour le coup j'aime beaucoup ce genre de titre tout en retenu. Et il nous offre un joli final.

J'Tomberai Pas - Le single évident pour moi, alors oui c'est basique, mais très efficace.

Noir - Un titre sympa ! À voir au fil des écoutes.

La Fin Des Choses - Un titre très Nolwennien je trouve. J'aime plutôt la mélodie du refrain, mais le reste est un peu monotone.

Un Peu Comme Toi Et Moi - Je n'aime pas les couplets, mais les refrains sont très sympas.

Moi J'Avance - Un peu basique je trouve. Mais ça s'écoute.

 

LES ---

Au Temps Pour Nous - Pas fan du titre. Un peu plombant je trouve.

Dans Le Regard De L'Autre - C'est très léger, pas convaincu à la première écoute.

Tiens Bon - Bof.

 

Globalement, je trouve que le début de l'album est la partie la plus faible, et plus on avance plus les titres s'améliore. Mais je me surprends à aimer autant de titre, moi qui ne me suis jamais vraiment intéressé à ces albums.

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je retiens

la 6 un peu comme toi et comme moi 

la 13 au temps pour nous (dam c'est la 1 ère fois que j'entends de l"émotion qui semble sincère dans sa voix )

 

le reste c'est de la prod sans mélodies marquantes > surtout les trucs électro bateau, les titres plus "acoustiques"  sont plus intéressant (plus d'émotion et de chaleur).

 

Les textes sont au-dessus de tous ses derniers albums. 

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Il y a 2 heures, Scampi a dit :

 

Les textes sont au-dessus de tous ses derniers albums. 

 

Tu trouves ?

J'ai souvent saigné des oreilles au cours de l'écoute, pourtant.

A mes yeux, le réel progrès est vocal. Il a cessé ses simagrées et ses mmmmmmm à rallonge, et ça fait bien plaisir.

 

Concernant l'album, bon... On est clairement sur le Nouvelle Page de Willem. Je lui souhaite de reconquérir le public avec, car du point de vue strictement artistique, on est trois marches en-dessous des derniers albums.

Cet esprit de reconquête du grand public se traduit par quelques énormes  bouzasses qui seront probablement les singles : Je tomberai pas, Ni reine ni roi (si putassier dans son titre !), Solitude (entre le Je danse encore de Shym et du Weenknd Lidl). Paroles stupides, voix lissée jusqu'à atteindre le point Amir de l'insipidité...

Et dire qu'il y a Je tourne en rond, qui ne demande qu'à être exploitée !

 

Je trouve que les mid pseudo acoustiques sont trop nombreux et se ressemblent tous un peu.

 

J'allais dire que la tracklist n'a aucun sens, mais je viens de me rendre compte que Spotify m'a joué l'album en aléatoire. 

 

Bon, je suis un peu déçue. Mais je lui souhaite de renouer avec le succès car j'aime beaucoup ce monsieur. 

Mes singles à moi : Je tourne en rond, Un peu comme toi et moi. 

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