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Beyoncé - Formation Tour 2016


Nonos

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WOW BAH J'EN REVIENS TOUJOURS PAS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

J'y étais en pelouse or, front row à la B stage, expérience incroyable ET inoubliable.

J'étais déjà allé au On The Run Tour en 2014, c'était donc mon deuxième concert de queen B.

 

LES +

L'ambiance dans la file d'attente >>> j'y étais dès 6h et même si la journée fût longue l'ambiance était au top. Bon jusqu'au mouvement de foule à 15h30 qui a vraiment tout gâché.

La scène est immense, les écrans (le cube) est vraiment énorme ! Enfin un vrai spectacle POUR LES STADES !

L'intro mais O - M - G. C'est clairement à vivre une fois dans sa vie ptdrrrrr j'en pouvais plus, je tremblais comme une feuille et je hurlais comme un animal (oui c'est moi que vous entendiez pour ceux en fosse or).

Tout était parfait en fait ! Les effets spéciaux, la setlist, TOUT. Rien à dire mdr queen of the world tbh. Elle est trop belle, elle chante trop bien, elle danse trop bien, elle est parfaite.

 

PUIS J'AI ETE ECLABOUYONCE PENDANT FREEDOM DONC JE PEUX MOURIR EN PAIX.

 

LES -

bah rien, si ce n'est les bouffons qui ont sauté les barrières dans l'aprem et les premières parties ??????? youssoupha et black m ??? not here for dat ptdr

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LES -

bah rien, si ce n'est les bouffons qui ont sauté les barrières dans l'aprem et les premières parties ??????? youssoupha et black m ??? not here for dat ptdr

 

Oauis c'était la même chose en 2014 du coup j'ai décidé de venir à 20h en pelouse or et j'étais bien placé.

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Je voudrais écrire tellement de chose sur ce tsunami que j'ai vécu mais voilà quelques impressions du concert :

 

 

Enfin de retour de Paris après ce concert de la vie.

 

Pelouse OR donc file d'attente à partir de 16h30, bonne ambiance mais rien d'exceptionnel mais un de ces mondes autour du stade...Ce n'était pas aussi fou pour le On The Run Tour.

 

Ouverture des portes vers 18h et bien placé en pelouse, superbe vue. Les premières parties étaient sympas (Chloe X Halle) et même Dj Magnum avec tous les super guests (!) c'était sympa, ça a mis une bonne ambiance.

 

Je tiens d'abord à dire que je suis tombé amoureux du personnage de Bee il y a 8 ans pour le I AM TOUR, puis le concert d'Amnéville m'avait plu mais n'était pas exceptionnel, le OTR était excellent même si effectivement, Bee était effacée par rapport à Jay-z et beaucoup trop de cinématiques qui ont un peu plombé l'ambiance et donc je l'attendais au tournant et j'avais assez peur car la setlist avait l'air basique et que le cube faisait joli mais sans plus pour le peu de vidéo que je m'étais autorisé à voir pour ne pas me gâcher les surprises du concert...

 

20h55, le tremblement de terre dans la gueule débute. Le logo THX apparait avec des basses de tarés (un mec a fait 5 mètres de recul tellement c'était puissant et qu'il s'est senti mal).

 

Et ensuite un slayage non stop pendant 2 heures. D'abord Formation, où l'ambiance était démente, une énergie incroyable puis Sorry pour ne pas calmer le truc. Irrepleacable que je n'ai pas vu venir avec l'enchainement de Bow Down...

Non mais la setlist c'était la perfection. Plein de réorchestration ou de nouveau pas de danse. Puis les combos de 7 chansons sans sourciller, les effets visuels incroyables, je ne savais même pas que le cube pouvait s'ouvrir, toutes les chansons s'enchainaient bien.

 

Puis vient le moment le moins fort : Me Myself And I que ne connait pas bien le public français, puis All Night qui aurait pu être un peu mieux gérer avec le public (seul moment inférieur au reste du concert, mais qui était bien supérieur à n'importe quel concert de qui que ce soit)

 

Et là j'ai failli mourir sur DOn't Hurt Yourself, Ring The Alarm, c'était la perfection devant mes yeux...Cette meuf n'est pas croyable, elle t'enchaine la choré avec une rapidité, une aisance et le visuel si incroyable.

 

L'hommage à Prince tout en simplicité, Love On Top tous en chur (moment inoubliable). Le final entre Freedom, Survivor, End Of Time/Grown Woman et Halo.

 

Le cube a été une super idée sur toute la ligne. Dans la vidéo postée par rebelheart, je me rends compte que j'ai raté un paquet de trucs et que pour les gens en gradins, ça devait être sympa (préparez vous pour Rihanna, ça va vous faire bizarre)

 

Et pour finir le public qui a été incroyable, l'ambiance de malade, je n'avais jamais vu ça. Un stade qui reprend tous en chur LOT ou Formation, ou Sorry, ou Yoncé, alors que toutes les chansons ont soit floppées ou ne sont pas sorties, ça montre quand même le pouvoir de fascination iconique de Beyoncé et avec ce concert elle devient définitivement la Queen du monde. Je crois que tous mes futurs concerts me paraitront insignifiants à partir de maintenant.

 

Mon seul regret finalement sera d'avoir été en pelouse OR car il y avait bien trop de basses...et mon deuxième, c'est que le concert et cette ambiance du Stade De France, cette communion entre fans ne soit pas éternels...

 

Merci Beyoncé.

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La spécificité de cette tournée c'est que tout s'enchaine tellement bien, des tableaux aux chansons en passant par les chorés.

et ses tenues bien que maintes fois critiquées rélèvent le tout.La scène est phénoménale.

 

Aussi ça fait du bien de la voir au top de sa forme niveau voix et choré, les parties acapella et piano sont un pur plaisir.

 

 

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Je ne vais pas revenir sur le slayage que nous avons vécu ce soir là.

C'est la troisième fois pour moi (Mrs Carter / On the Run, et donc Formation), et surement pas la dernière !

Les écrans géants ont été super bien utilisés, c'était vraiment intelligent.

Je regrette l'absence de XO qui est pour moi un hymne taillé pour les stades, donc j'aurai aimé la voir la chanter.

 

Et j'avais tenu à garder toute la surprise avant d'assister au show, je n'avais rien regardé, ni photos, ni vidéos, je ne connaissais même pas le setlist, du coup je découvrais tout en direct, c'était encore mieux ! J'ai fait pareil pour Rihanna que je vais voir samedi au Stade de France !

 

Le meilleur moment de la soirée a été pour moi la communion sur "Love on top" c'était grandiose, j'étais aux anges, entendre tout le stade reprendre ce titre en choeur, et chanter avec elle comme ça, c'était vraiment un très très beau moment !!!! C'est pour ce genre de moments que j'aime autant faire des concerts.

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2 autres reviews, Olivier Cachin pour le Nouvel Obs et Paris Match.

 

Beyoncé au Stade de France : un show à l'américaine, magnifique de puissance et d'émotion
Avec le Formation World Tour de Beyoncé, Miss Carter à la ville, on savait qu’on allait avoir droit à un show de haute volée, jeudi 21 juillet au Stade de France. Mais rien ne nous avait préparé à la surenchère de visuels, de costumes, de pas de danse acrobatiques, de cheveux au vent et de hits massifs que fut ce passage français d’une tournée qui est de loin la plus spectaculaire que l’on ait vue dans le domaine de la musique en stade depuis… Allez, osons la comparaison qui va déclencher des coms approbateurs ou scandalisés, depuis le HIStory Tour de Michael Jackson.
Dans l'intimité d'un stade
Car Bey a mis le paquet : avant même qu’elle n’entre sur scène à 20h50 face à une foule compacte, féminine et hystérique, on contemple ce CUBE géant blanc comme un œuf qui surplombe la pelouse de ses trente mètres de haut. "France, do you slay ? If you slay, say I SLAY !", lance la diva R&B après la première salve de vidéos balancée sur le fronton du cube d’images. Elle se présente en body black avec un immense chapeau noir qui lui couvre le visage, entourée des danseuses également chapeautées.
C’est parti pour plus de deux heures de musique, avec une alternance bien dosée entre moment intimes (bon, l’intimité d’un stade rempli de 60.000 fans en transe reste toute relative, mais quand même) et flamboyances Las Végassiennes, la star étant entourée la majeure partie du temps par une armée de danseuses clonant leurs pas sur le pas de leur Mère pop en des chorés synchronisées très spectaculaires. Le terme d’armée n’est pas choisi au hasard : le beat militaire des breaks évoque à plusieurs moments le fameux spectacle de Janet Jackson au début des années 1990, à la sortie de son album "Rhythm Nation".
Défilé de tubes
Les enchainements de figures brutales comme des prises de kung-fu sont comme autant d’hommages à la sœur du King Of Pop, dont le spectre rôde lors de ce concert extraordinaire. Ça n’est pourtant pas Michael qui sera honoré en musique ce soir, mais Prince. Alors que Mariah Carey avait évoqué la mémoire de son ami avant de lui dédier "One Sweet Day" en avril dernier à l’AccorHotel Arena, Beyoncé Knowles a choisi de diffuser la version single de "Purple Rain" avec un cube illuminé de pourpre. Sobre et efficace, une pause qui permet au public d’allumer son portable, remplaçant ainsi les briquets des années 1970-80-90 qui brûlèrent tant de doigts de fans fumeurs.
Tandis que défilent les tubes ("Hold Up", "Flawless", "Drunk In Love" avec des extraits du "Swimming Pools (Drank)" de Kendrick Lamar, "Run The World (Girls)"), on mesure le puzzle géant qu’est le répertoire de Beyoncé. Au fil des tracks, on entend des bribes de reggae : "Bam Bam" de Sister Nancy (également utilisé par Kanye West sur son dernier album "The Life Of Pablo"), "Ring The Alarm" de Tenor Saw.
On assiste à des changements de costumes ébouriffants, la majorité de la garde-robe de la Reine du B étant constitué de culottes tanga en cuir, latex rouge ou dentelles. Difficile de ne pas remarquer la plastique quasi flawless de la star, qui reste sexy sans jamais sombrer dans la vulgarité.
Tout au plus aura-t-on droit, vers la fin de "Crazy In Love", à un mouvement de fessier twerké repris en gros plan sur le cube géant. Un hit doublé, puisqu’après une première version "quiet storm" d’une grande finesse, Bey enchaine avec une version uptempo, couplée en mash up à un extrait de "Bootylicious". Le groupe entièrement féminin (et presque entièrement invisible durant les 2h20 du spectacle) a droit à quelques secondes de lumière lors d’un solo de batterie un peu forcé et d’un solo de guitare testostéroné absolument dispensable. Pas très grave. Le son THX est puissant mais garde une relative finesse, en tout cas pour un stade.
Les mille visages de Queen B
On a droit à des attaques vicieuses sur les maîtresses de son mari Jay Z, qui seront bien sûr relativisées à la fin du spectacle par un diaporama des jours heureux, avec le mariage, la grand-mère fêtant ses 90 ans et leur fille chérie Blue Ivy qui, comme tous les enfants de stars, de Booba à Kanye via Eminem, les rend gaga googoo. Les tableaux se succèdent à un rythme effréné : Bey en pharaonne, Bey avec une cape au visuel de cobra, Bey en strip-teaseuse du red light district dans une vitrine en forme de boite, Bey aux yeux crachant du feu (sur l’écran du cube géant), Bey qui se tape une séquence Flashdance arquée sur un fauteuil avec le bonda bonbé, Bey avançant sur le catwalk en tapis roulant… Et puis, alors qu’on croyait avoir tout vu, un "Freedom" spectaculaire avec une Beyoncé en Jésus féminin qui marche sur l’eau.
Vous avez bien lu… Imaginez la seconde scène située au milieu de la pelouse avec dix centimètres d’eau, et Bey plus toutes ses danseuses tapant le sol en projetant des éclaboussures partout, tandis qu'elle hurle "Freedom, freedom ! FREEDOM !" pour finir en sueur, trempée, les cheveux dégoulinants, mais toujours au contrôle de son look et de sa musique. "Control", comme l’album de Janet Jackson en 1986…
Un petit "Survivor" pour ranimer la flamme Destiny’s Child, "Halo" en final, et la diva quitte la scène après une prestation généreuse et spectaculaire. Dans la tribune des invités, on croise Virginie Despentes (logique que la romancière ait répondu présent pour la Queen Kong de la pop R&B), Maitre Gims, Passi, Karole Rocher, qui sortent de l’arène avec la même sensation que les anonymes de la pelouse : celle d’avoir assisté à une leçon magistrale de professionnalisme à l’américaine, c’est à dire un mélange roublard et magnifique de puissance et d’émotion. On verra la semaine prochaine ce que Rihanna rep à ça.
Hier soir à Paris… Beyoncé
Beyoncé était au Stade de France jeudi soir pour un concert très attendu.
Un Stade de France transformé en Fort Knox, des files d’attente délirantes… Depuis les attentats du Bataclan puis de Nice, la sécurité autour de l’arène de Saint Denis est devenue la priorité du gouvernement. Conséquence il fallait patienter de longues heures pour accéder au stade hier soir. Les voitures étaient intégralement fouillées, les spectateurs soumis à trois palpations et la présence policière impressionnante. Il est donc 20h55 quand nous pénétrons dans l’endroit où jouaient les Bleus le 10 juillet dernier, pile le moment où l’immense cube blanc qui trône sur scène s’allume. Tournoyant sur lui-même, il se transforme en écran géant, créant aussitôt une proximité avec les spectateurs.
Beyoncé fait son entrée à pas de chats sur «Formation» et rend les 80 000 spectateurs hystériques. Contrairement à Londres où nous étions le 3 juillet dernier, l’ambiance cette fois est délirante. Paris attendait visiblement la Queen B. de pied ferme. Cette fois la reine est seule dans l’arène (elle y était venue en 2014 pour un concert avec Jay Z) et va remettre sa couronne en jeu. Point positif : la dame chante merveilleusement bien. Elle s’appliquera à le démontrer toute la soirée. Point négatif : elle n’interprète ses tubes qu’en partie, une minute ici, un extrait là. Le spectacle conçu en six tableaux différents, est une vraie machine de guerre. Beyoncé mène les chorégraphies avec une folie douce, reléguant Madonna au rang de souvenir.
Sexy mais jamais vulgaire
Entourée de 20 danseuses, 4 musiciennes et 4 choristes, elle mène une véritable armée, courant sur l’avant-scène, histoire d’affoler Paris. Les caméras exhibent ses longues jambes, sa crinière impressionnante et son sourire permanent. A chaque acte sa tenue, toujours sexy, jamais vulgaire. Beyoncé mène son affaire à un rythme effréné à tel point que l’on a parfois l’impression d’assister à la diffusion d’un clip, mais peu importe. L’affaire ici n’est pas musicale, seul le show compte. Les chansons de «Lemonade», son excellent dernier album, expédiées ici comme les affaires courantes auraient néanmoins méritées un peu plus de finesse. Madame B. confie son plaisir d’être à Paris, son admiration pour ses fans «vous qui me suivez depuis l ‘époque des Destiny Childs». Elle est rayonnante et va achever de convaincre les sceptiques avec une version a-cappella de son tube «Love on top».
Seule au milieu du stade, Beyoncé va enfin émouvoir, accompagnée de 80 000 choristes et prouve ainsi qu’il y a quelque chose de Barbra Streisand en elle. Une même puissance vocale, une même aisance, une même froideur de diva. On est à peine remis de ce coup de massue, que la chanteuse s’attaque à «Crazy in love» son premier tube. Par un subtil jeu d’écrans et de caméras la voilà dans une cage d’ascenseur sur plusieurs étages. Visuellement impressionnant. «Naughty Girl» arrive dans la foulée, soulignant qu’il est déjà temps de conclure. Dans un dernier coup de génie, l’avant-scène est soudainement envahie par de l’eau. Pieds nus, Beyoncé et ses girls s’y ruent pour danser, créant ainsi des images magiques. Tout cela manque un peu de spontanéité, on aimerait que quelque chose dérape, qu’un grain de sable vienne faire dérailler la machine. Mais non. La Reine remercie ses troupes et les renvoie au vestiaire. Et c’est seule face à la foule qu’elle termine sa soirée majestueuse sur un «Halo» éclatant. Beyoncé peut repartir souverainement : personne n’arrivera à lui ôter sa couronne.
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Rumeur :

November 1 - Johannesburg, South Africa: First National Bank Stadium
November 4 - Cape Town, South Africa: Cape Town Stadium
November 7 - Durban, South Africa: Moses Mabhida Stadium
November 15 - Tunis, Tunisia: Stade El Menzah
November 17 - Marrakech, Morocco: Stade de Marrakech
October 26/27- Tel Aviv, Israel: Yarkon Park
October 20 - Abu Dhabi, United Arab Emirates: du Arena
November 24 - Sydney, Australia: ANZ Stadium
November 26 - Melbourne, Australia: Melbourne Cricket Ground
November 28 - Auckland, New Zealand: Eden Park
December 1 - Bangkok, Thailand: Rajamangala Stadium
December 4 - Singapore: National Stadium
December 7 - Tokyo, Japan: Tokyo Dome
January 10 - Lisbon, Portugal: Bela Vista Park
January 12 - Amsterdam, Netherlands: Amsterdam Arena
January 15 - Vienna, Austria: Ernst-Happel-Stadion
January 17 - Budapest, Hungary: Hidegkuti Nándor Stadium
January 20 - Prague, Czech Republic: Eden Arena
January 22 - Athens, Greece: Olympic Stadium
January 25 - Berlin, Germany: Olympiastadion
January 27 - Bruges, Belgium: Jan Breydel Stadium
January 31 - Lille, France: Stade Pierre Mauroy
February 2 - Arnhem, Netherlands: GelreDome
February 6 - Rome, Italy: Stadio Olimpico

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