Nolwenn Leroy | Discographie

[Kinderfeld]

Mon classement : 

 

1. Histoires naturelles : Ce style british, un peu pop, ça lui va trop bien. C'est un album d'une cohérence sans faille comme un livre ouvert. Voulzy/Eulry c'est les experts pour faire rêver. Imaginons un peu l'alliance de la Nolwenn d'aujourd'hui plus mature avec cette même équipe ? 

 

2. O Filles de l'eau : Je trouve que ce disque représente bien Nolwenn, elle a appris beaucoup avec l'ère bretonne, et encore c'est un album créer en tournée, j'imagine pas la qualité si elle était en repos. 

On a des bonnes ballades surtout Ophélia, des morceaux pop au top comme limitless ou Homeland, des douceurs à la d'émeraude. Il est un peu inégal par moment mais très cohérent. 

J'ai volé le lit de la mer ou Juste pour me souvenir sont un peu vieillots mais j'adore cet aspect d'elle. 

Les points faibles sont la chanson titre qui décolle pas, Tout à une fin et 6ème continent. 

Mais l'album me transporte dans son monde et c'est un pari réussi chez elle. 

 

3. Le cheshire cat : C'est pas l'album qui représente le style de Nolwenn mais il était bon de bout en bout, là on a aucune mauvaise piste. Minimaliste, envoûtant, le seul défaut c'est qu'on l'entend à peine chanter (et ça pardonne pas quand on a une voix aussi riche). Mais c'est beau, cauchemar, parfaitement insaisissable, you get me, faut il faut il pas sont mes pépites. 

C'est l'album qui prouve qu'elle est une artiste complète et pas seulement une voix. 

 

4. Gemmes : Une bouffée d'air frais dans sa disco avec des bombes comme run it down, stephen, l'ankou, pourtant. Mais d'un autre côté ça manque de cohérence car on retrouve de la variété, un titre à la grégoire (trace ton chemin) et a dream est d'une telle niaiserie. 

J'ai appris à aimer The Lake avec le temps, c'est beau. L'album est comme une mini démonstration de son univers, il y a tout de Nolwenn là dedans avec une belle performance vocale, c'est le contraire du cheshire cat. 

Mais il manque un grand concept, un univers plus abouti. Les paroles sont toujours sur le cœur, l'amour ect, on voit que c'est la grossesse qui était au centre du disque. 

Je préfère quand elle chante autour d'un thème précis (HN, cheshire cat, o fille de l'eau)

Super album quand même que j'écoute souvent. 

 

A partir de là c'est plus facile pour départager : 

 

5. Bretonne : J'aime toujours, c'est un album très variés et sa voix est top dessus. Elle a pu mettre du sien dans les interprétations, on a l'impression d'entendre un disque personnel car ce sont des chansons d'enfances. Même pour un disque de reprise, il y a une bonne variété de style dedans (pop celtic, variété française, chanson bretonne, chanson traditionnelle). Cet album a fait naître la Nolwenn pop celtic et c'est grâce à ce disque qu'elle a encore autant de succès. Respect. 

 

6. Premier album : Aujourd'hui, suivre une étoile me correspond le mieux, le reste j'ai pas honte d'apprécier encore mais en bonus de sa carrière. Ce n'est pas NOL. J'écoute peu les premiers albums des stars académiciens. Mais c'est pas dégueulasse pour un album fait en 3 semaines (tout comme celui d'élodie frégé). L'album montre bien les capacités vocales de Nolwenn, il y a beaucoup de puissances. 

 

6. Folk : I don't know this album. Sérieusement vu son évolution, je vois pas l'intérêt de faire ce disque. 

 

Niveau style j'aime autant la nol de voulzy car ce monsieur est un roi des mélodies et il adore la pop celtic (son lys & love est une bombe) que la Nolwenn très british avec jon kelly. 

On voit qu'elle s'influence pas mal de l'album The Sensual world de Kate Bush à la couleur pop celtic british, j'aime cette direction. Elle doit pas avoir honte de cet univers, on peut faire des supers trucs, il faut pas réduire cette musique à tri martolod et la jument de michao (que j'aime aussi). 

J'attend un grand concept pour le prochain disque, j'aime quand elle se différencie des autres chanteuses. 

 

Je trouve que sa discographie est sous estimé par une partie du public très bobo intello (qui boude les artistes variétés), c'est incroyable de voir certaines caricatures autour d'elle. Et dommage qu'on l'apprécie pas plus aux victoires de la musique (pour les mêmes raisons étiquette variétoche, les autocollants pour citer Jenifer). 

Ça reste une discographie grand public mais sérieuse et avec de bonnes influences. 

Je suis ravi de son parcours. 

 

[Kinderfeld]

 

J'étais tellement fan de la promo de Histoires naturelles. Là devant jenifer, grégory et élodie frégé, trop drôle. 

[Novembre]

Allez, je me lance dans le classement des albums de Nolwenn la reine.

Comme je me refais sa discographie suite au revival star ac, le moment me semble opportun.

 

Pour cette réécoute attentive et assidue, je mets dans l'ordre:

 

 

Ô filles de l'eau

 

 

 

 

Un bon lead, Juste pour me souvenir, servi par un phrasé qui rappelle la nonchalance brute d'un Renaud. Le ton est donné avec ce single. Ce sera un album au goût d'embrun, d'écailles de sirènes, d'algues enchanteresses. 

Il y a un concept, un fil conducteur, un visuel fort (même si je m'étais bien marrée en découvrant la photo de couverture avec notre iconique bretonne grimée en fille de l'eau).

L'album appâte le chaland en s'offrant à nos oreilles comme la suite de Bretonne, mais avec des chansons inédites. Folklore, légendes, amours contrariés, mélodies épiques, biniou à gogo avec Homeland, Ahès, Davy Jones, Sixième Continent. Mais il ravira les amateurs de variété pure avec J'ai volé le lit de la mer, rappellera l'intimité minimaliste du Chat avec À la vie à la mort où la voix de Nolwenn se casse, fredonne avec malice. 

 

Et puis on aura ce morceau sensuel, à double sens, tourmenté, et forcément enivrant; Sur mes lèvres.

Le tube sacrifié sur l'autel d'une mauvaise gestion propre à la Nolwennie: Ophelia.

L' ovni délicieux, mais trop court, que dis-je la bombe de toute la discographie de Nolwenn; Limitless. 

 

Je me rends compte que je ne jette rien. J'ai appris à aimer Tout à une fin, Sixième continent (pourtant très irritant) et D'émeraude. 

 

Chaque morceau est fort, et s'imbrique solidement dans les récifs tumultueux dessinés par Nolwenn. 

 

 

 

Histoires Naturelles

 

 

 

 

 

Un visuel exquis, hypnotique, toujours aussi captivant après toutes ces années. Une Nolwenn au sommet de sa beauté. On laisse de côté la Nolwenn tragédienne du premier opus et on se concentre sur la lumière. Elle devient elfe espiègle, adulescente qui se découvre avec le sourire. Romantique, libérée, une soif de vivre dans chaque parole qu'elle prononce. 

Nolwenn Owho! ouvre cet état de fait: Nolwenn vacille entre le clair et l'obscure, ça lui plait. Elle rit, elle danse, elle s'interroge, elle se trompe, elle trébuche. (Mademoiselle de la gamelle n'est pas très loin).

Un album scindé en deux, c'est vrai. Un univers ouvertement féérique, digne d'une exposition où l'étrange se mêle à un romantisme suranné , avec Nolwenn en specimen majeur, curiosité ravissante, qui séduira les entomologistes de France et de Navarre. Mais aussi quelques morceaux variétoches pour faire le pont avec le premier album, mais en toute sobriété. Finis les poussées à la Lara Fabian, on nuance sa voix, on l'adoucit. Mon Ange emporte, L' enfant cerf-volant nous tire quelques larmes à la fois d'espoir et de tristesse. Mais c'est dans l'onirisme, les touches arthuriennes/médiévales, mais aussi baroques (avec J'aimais tant l'aimer) que l'album prend une vrai épaisseur, creuse son identité. Et c'est pour ça qu'il est aussi populaire auprès des fans.

Voulzy taillera le personnage de Nolwenn pour en faire une créature mythologique, qui séduit, qui pleure, qui se perd, et Nolwenn s'évertuera de son côté à sortir de sa gangue imposée par l'imaginaire de Voulzy.

L'album de la rencontre, certes. Mais l'album ou deux versions du personnage de Nolwenn s'entrechoquent, s'emmêlent pour mystérieusement former un tout harmonieux.

Parmi mes morceaux préférés: Nolwenn Owho ! L' enfant Cerf-volant, J'aimais tant l'aimer, Le rêve des filles, Mystère. 

Mais aussi, Rien de mieux au monde.

J'avais totalement oublié ce titre. Il claque trop, je trouve. Surproduit à mort, un côté rock qui s'installe. Ça lui va bien.

 

Mais il est vrai aussi que tous les titres ont leur place, je n'en jette pas un seul.

Bref au coude à coude avec Ô filles de l'eau. Je préfère ce dernier probablement à cause des mélodies plus accrocheuses, plus tubesques si vous voulez. Son côté bourrin et facile, je dirais. Là où Histoires Naturelles se distingue par son élégance, sa discrétion.

 

 

 

Bretonne

 

 

 

 

J'avais joliment chié dessus à sa sortie. Du celtique de supermarché, un chant aseptisé, des arrangements faciles pour ne pas trop choquer la ménagère perfusée à TF1 et qui achète ses CD dans les rayons Carrefour, pour autant que le dit album s'affiche en tête de gondole.

J'avais tout de suite aimé Suite sud armoricaine, la voix de Nolwenn franche, coupante, aiguisée comme un couteau. Mais le reste m'avait laissé de marbre. (Ses reprises To France et Moonlight Shadow en tête).

Grosse surprise en plein confinement, mon avis a totalement changé. Retournement de veste à 180°. 

 

Évidemment, l'album est conçu pour fédérer un large public, unir les générations par des airs intemporels. 

Ce qui sauve le projet selon moi, c'est sa cohérence avec l'univers de Nolwenn qu'on retrouve déjà dans le premier album avec Suivre une étoile. Sa voix tentent plusieurs choses et c'est délicieux.

Surtout, l'album est validé par les pontes de la musique celtique, du coup, il y a une crédibilité artistique qui en ressort. Donc oui, album facile, album mainstream, mais album honnête. Fait avec amour et respect. Opportuniste, forcément… mais intelligemment opportuniste. Nolwenn y a mis les formes. Ce projet de reprises, c'est l'opération sauvetage après la débâcle du Chat. 

Mais le projet s'articulera avec douceur et sincérité. Avec un inédit à la clef; Je ne serai jamais ta parisienne, très joli morceau.

Coup de coeur pour Suite sud Armoricaine, pour le phrasé de Nolwenn, Je ne serai jamais ta parisienne, Rentrer en Bretagne, Dirty Old Town (quand Nolwenn s'encanaille, ça vaut le détour!)

 

Gemmes

 

 

 

 

Nous ne reviendrons pas sur l'exploitation catastrophique de cette pépite venue des fin fonds des entrailles de la terre. Un fil rouge; l'environnement. 

Et dans ce contexte très Ushuaia Nature, Nolwenn associe notre globe terrestre à une pierre précieuse qui s'érode entre les mains de l'homme. Elle s'effrite, perd de son éclat, et c'est cet éclat qu'il faut sauver au risque de migrer vers un ailleurs sans même apprendre de nos erreurs.

 

Je ne vais pas vous ressortir l'interprétation chanson par chanson, mais je pense que vous pouvez la trouver dans le topic critique approprié. (Enfin je crois).  C'est pour moi sa galette la plus conceptuelle d'un point de vu purement narratif.

 

Très bon album au niveau production, mais pas assez de mélodies fortes, et surtout des paroles pataudes. Sur le plan littéraire, Nolwenn m'a franchement déçu. Qu'on ne me sorte pas cette histoire de métaphores. C'est mal écrit point barre. Alors certes, sa voix et l'accompagnement musicale embellissent ce fatras de mots hasardeux, mais en dépit de rimes sympathiques, le phrasé ne nous empoigne pas par le col, il ne nous entaille pas les côtes. Et n'est-ce pas ce qu'elle veut ? Mettre en musique un signal d'alarme qu'on retrouve d'ailleurs très littéralement dans L' ankou ?

Ce signal d'alarme se noie dans un lyrisme suranné. Bof bof.

Néanmoins, l'album se laisse écouter, prend de son ampleur quand on lui donne une réelle chance, n'est pas aussi immédiat que ses prédécesseurs, mais enfin, il fait son bonhomme de chemin, il arrive à convaincre sur la longueur, sans totalement entamer une percée dans le peloton de tête.

Morceaux que je retiens: Bien plus précieux, l'ankou, Stephen, Run it down.

À écouter quand vous traversez les highlands (ce que j'ai fait pas plus tard qu'en Mars), effet garanti ! 

 

 

 

Nolwenn Leroy  La Reine

 

 

 

 

 

On va pas se raconter d' histoires, l'album a mal vieilli. Je le sauve essentiellement pour Suivre une étoile et pour la bouffée de Nostalgie qu'il insuffle automatiquement lorsque les premières notes dramatiques de Cassé résonnent.

Album fourre-tout, taillé pour sa voix, mais clairement pas en fonction de sa personnalité. L' impression d'un vêtement trop court au niveau des manches et trop longs au niveau des pieds. 

Nolwenn se démène comme elle peut avec ce bout de tissu, feint pouvoir marcher sur le podium sans s'empêtrer  dans les pans de cette drôle d'étoffe, mais ne cachera pas son soulagement (et nous aussi) quand elle sera enfin autorisée à changer de costume avec Histoires Naturelles.

 

Je retiens donc Suivre une étoile, Vu d'en haut, Jure moi, Inévitablement et le très guimauve Qui mieux que moi. 

Peux pas écouter Cassé, en revanche.

J 'ai limite mal pour elle. Cette chanson est nulle, sérieux. Tu m'étonne qu'on l'ai charriée longtemps sur le titre. 

Bref, un album fait pour les Nostalgiques et pour assister à la genèse de Nolwenn, la breuh-tonne. 

 

 

 

Le Chat

 

 

 

 

Je ne nie pas ses qualités, tant au niveau de la production, des visuels, du concepts et des paroles. Un bijoux, un gemme emprunté à l'univers de Lewis Carroll. Mais dieu que je m'ennuie. Les mélodies sont plates. Je n'arrive jamais à l'écouter en entier. Pardon Nolwenn. Pardon pour cette hérésie.

Pour le coup, c'est de ma faute, pas celle de Nolwenn qui a fourni un projet impeccable et audacieux. C'est juste moi qui ai des goûts de chiottes. 

Cela dit j'écoute volontiers Faut-il, faut-il pas, Parfaitement insaisissable (bijoux de haut vol, on est sur du 18 carats!) et Textile schizophrénie. 

 

Je ne lâche pas l'affaire. Un jour peut-être serais-je conquise par le Cat et son sourire Nolwennien. 

Bref, Nolwenn, je le sais, je ne te mérite pas. 

 

 

 

Folk

 

 

Jésus, Marie, Joseph, je n'y arrive pas! 

Je ne retiens rien. Sinon de très belles photos promo, cet air Adjani plus évident que jamais. Elle a un physique d'actrice, elle est renversante, belle, charismatique. Un personnage Shakespearien à elle toute seule.

L' idée ne m'avait pas emballée à son annonce, et en écoutant l'album j'ai tout de suite compris que ce n'était pas pour moi. Nolwenn s'efface, ses couleurs se ternissent, on dirait une aquarelle triste. Un dessin qu'on retrouve dans une flaque d'eau, boursoufflé, sur le point de se déchirer.

Ça sent la camomille, le gingembre, la verveine. 

Tant mieux si certains y trouvent leur compte… 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[Kinderfeld]

Je suis très curieux de voir un concert du cheshire cat tour, il y a rien sur you tube ? 

 

En revival de cet album, c'est une perle qui est comme un bon vin, indescriptible, loin de ce qu'on attend d'elle. 

Enfin, j'ai pris habitude de la voix toute douce, j'ai mis du temps pour tomber sous le charme (même si à la sortie j'ai aimé le disque). 

 

Je rêve d'un anti tour chez elle avec des chansons rares (cauchemar, parfaitement insaisissable, you get me, cassé, mystère, limitless, run it down, l'ankou, l'enfant cerf volant, stephen). 

[Wilhelmina]

Je n'ai jamais aimé cet album. Je n'y arrive pas. Paradoxalement Faut il ? Fait il pas est son meilleur clip et meilleur lead. Cette chanson est ultra efficace.

[Matangi]

Par contre je n'ai pas l'impression que tout le milieu de la musique celtique ait validé l'album "Bretonne", loin de là ! Fallait voir les commentaires haineux quand elle a été annoncée dans la prog du Festival Interceltique !  

[Novembre]

il y a une heure, Matangi a dit :

Par contre je n'ai pas l'impression que tout le milieu de la musique celtique ait validé l'album "Bretonne", loin de là ! Fallait voir les commentaires haineux quand elle a été annoncée dans la prog du Festival Interceltique !  

 

Je pensais à Alan Stivell et d'autres noms en particulier qui ont collaboré avec elle et soutenu le projet. Évidemment pas tout le monde a aimé. (Et à l'époque, j'ai été de ceux qui rigolaient en douce quand on nous la vendait en tant que chanteuse celtique, d'ailleurs ça reste un album mainstream avant tout). 

[JuliaRoberts]

Le 15/05/2020 à 02:07, Kinderfeld a dit :

 

J'étais tellement fan de la promo de Histoires naturelles. Là devant jenifer, grégory et élodie frégé, trop drôle. 

On est d'accord que c'est du playback là non ?
 

Mais pourquoi ? ?

[Invité]

Il y a 14 heures, Kinderfeld a dit :

Je suis très curieux de voir un concert du cheshire cat tour, il y a rien sur you tube ? 

 

 

Il y a quelques lives filmés, mais c'est très amateur.

 

 

 

Cette version de Cassé : génial !

 

[Novembre]

Rooh, les Nolwenniens, il faut que je vous raconte.

Hier, j'avais envie d'écouter du celtique pour me relaxer. Et j'ai remarqué que ça faisait longtemps que je n'avais pas écouté Brian Boru d'Alan Stivell. 

Donc je suis allée sur Youtube et là…G DÉKOUVER UNE VERSION EN DUO AVEC NOLWENEUH !

Je vous explique pas comment j'ai perdu les eaux. 

 

 

[everlast]

Déjà que la chanson originale studio est superbe, je trouve... beau duo

[Invité]

il y a une heure, Novembre a dit :

Rooh, les Nolwenniens, il faut que je vous raconte.

Hier, j'avais envie d'écouter du celtique pour me relaxer. Et j'ai remarqué que ça faisait longtemps que je n'avais pas écouté Brian Boru d'Alan Stivell. 

Donc je suis allée sur Youtube et là…G DÉKOUVER UNE VERSION EN DUO AVEC NOLWENEUH !

Je vous explique pas comment j'ai perdu les eaux. 

 

 

Bah alors tu débarques ?

 

1 million de vues sur YouTube !!! Posté sur sa chaîne.

 

Et t’en a même une deuxième :

 

 

C'est une merveille les deux ensemble. Nolwenn est sublime sur ce titre, osmose. Je l’ai mis dans mon iPod, dans l’album Bretonne. C’est la piste manquante de l’album  

[Novembre]

Mon compte Youtube est une véritable poubelle et je ne suis aucune chaîne. Je pense que si je m'étais abonnée à Nolwenn ou aurait "liké" ses vidéos, j'aurais eu plus de chances de tomber dessus. 

J'écoute Nolwenn sur Deezer, jamais sur Youtube. Et sur Deezer, le duo avec Nolwenn n'y figure pas. Au final, ça va paraître un peu fou, mais j'ai suivi l'ère bretonne que de loin. 

 

Bref, je viens de me faire un MP3 de ce morceau. 

 

Révélation

Sinon, je suis en dépression parce que le topic Star Ac vient de fermer, on va pas pouvoir s'enjailler ensemble sur les derniers primes 

 

[Man With No Name]

T'as loupé quelque chose @Novembre en suivant de loin l'ère Bretonne. C'était tellement jouissif, à vivre une seule fois.

 

Sans Alan Stivell cette ère n'aurait pas eu la même saveur. C'est d'ailleurs ce qui fait la force de cet album, le fait que Nolwenn ait été adoubé par le gotha de la scène celtique/bretonne.

 

Il y a 2 heures, Novembre a dit :

 

  Révéler le contenu masqué

Sinon, je suis en dépression parce que le topic Star Ac vient de fermer, on va pas pouvoir s'enjailler ensemble sur les derniers primes 

 

 

Révélation

 

C'est une cabale mené contre Nolwenn La Reine. Le jour où elle devient n°1 pour le première fois. Je ne vois pas les choses autrement. 

 

 

[Lilly_9]

Il y a 5 heures, Hamlet a dit :

Bah alors tu débarques ?

 

1 million de vues sur YouTube !!! Posté sur sa chaîne.

 

Et t’en a même une deuxième :

 

 

C'est une merveille les deux ensemble. Nolwenn est sublime sur ce titre, osmose. Je l’ai mis dans mon iPod, dans l’album Bretonne. C’est la piste manquante de l’album  

Hamlet, non la piste manquante de Bretonne c'est "She moved through the fair"! je m'explique: Cécile Corbel en a fait une version rythmée que j'adore, je crois même que c'est comme ça que j'ai découvert la chanson, généralement les autres versions sont plus lentes il me semble, et donc quand je l'écoute chez Cécile j'ai envie de d'écouter la version de Nolwenn et quand je regarde la tracklist déception, elle n'y est pas et ça me l'a encore fait y'a deux jours, vraiment ! Pourtant je le sais mais j'aurais trop aimé savoir si elle en aurait fait une version lente ou rapide, heureusement il y a "Suil a Ruin" 

 

J'irai réécouté "Brian Boru" les deux versions, celle enceinte ne me dit rien, mais peut-être que je ne m'en souviens plus