Trois tubes à l'actif de Stanislas, "Le manège" (Top 2 en 2008), "La belle de mai" (Top 19 en 2008) et récemment "La débâcle des sentiments" (Top 2 en 2009), en duo avec Calogero (avec dans une moindre mesure, "Les lignes de ma main"), auront suffi à l'imposer comme une valeur sûre de la variété française. Sur scène, Stanislas, c'est une déconcertante aisance et un sourire ravageur, le tout sans jamais manquer d'humour. Un public majoritairement composé de trentenaires auquel le chanteur a donné rendez-vous en tournée jusqu'au mois dernier - et qu'il reprendra à partir de février 2010 avec ses nouveaux morceaux.
Pour autant, pas de repos accordé à l'ex-chef d'orchestre couronné par une nomination aux dernières Victoires de la Musique, puisque ce dernier dévoilera déjà son second album, "Les carnets de la Vigie", dès le 16 novembre prochain.
A 37 ans, Stanislas a rencontré le chant et la musique dès son plus jeune âge, montant sur la scène du Palais Garnier à douze ans aux cotés de Luciano Pavarotti, jusqu'à diriger l'orchestre de Massy, après de brillantes études à l'école normale de musique. Parallèlement, il signe de nombreux arrangements de cordes sur les chansons de Calogero ou de Pascal Obispo.