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Souvenez-vous, Yoann Fréget remportait la deuxième saison de "The Voice" face à Olympe en 2013 avec 28% des votes. Sauf que la suite n'a pas été à la hauteur des attentes, son premier album "Quelques heures avec moi" s'écoulant à 15.000 exemplaires seulement. La faute notamment à un manque d'investissement de son label selon l'interprète de "Je donne". « J'ai fait la promotion de mon album avec seulement l'aide de mon manager et mon attachée de presse, et non pas avec le soutien de ceux qui auraient dû. (...) Ces gens-là ne respectent absolument pas le public » avait-il lancé, très critique sur l'après "The Voice", décrivant ensuite l'industrie musicale comme une « mafia ».

"La prononciation américaine de mon nom est Fréguette !"

Désormais, Yoann Fréget s'est installé à aux Etats-Unis pour préparer un deuxième album. « JOUR J !! Ca y est, je suis à l'aéro­port. Fini les allers-retours, je m'installe à New York (USA), grâce au "Visa O-1 de 3 ans pour Personne aux Apti­tudes Extraor­di­naires" » a-t-il annoncé sur les réseaux sociaux récemment. Car désormais l'artiste se lance dans une carrière internationale, avec l'arrivée de son « premier album anglophone ». L'interprète de "Sauras-tu m'aimer" vient même de changer de nom, passant de Yoann Fréget à... Yoann FreeJay. « La prononciation américaine de mon nom en "Fréguette"... je préférais éviter!... Haha!... Et puis "FreeJay": "Free"= Libre + "Jay" = Le Geai, ce bel oiseau bleu... Liberté... enfin » a-t-il expliqué à ses fans sur Facebook.

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Il y a deux ans, dans une interview sur Pure Charts, Yoann Fréget (ou FreeJay), avait déjà annoncé ses ambitions de se lancer à l'international : « Je ne sais pas si je rêve d'une carrière internationale. Je me sens complètement connecté avec le monde entier. Je ne me dis pas "Je suis Français et que Français !". Je suis fier de mon pays, mais quand j'ai voyagé, je me suis toujours adapté. En Inde, où j'ai appris la musique classique indienne, les gens me prenaient pour un Indien. Pareil, aux États-Unis et au Canada. Tout est possible. J'ai toujours été très bien accueilli à l'étranger, même encore mieux qu'en France. J'ai choisi la France parce que, voilà, c'est mon pays ».