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Maëlle poursuit sa route et son évolution artistique. Sacrée grande gagnante de "The Voice" saison 7 alors qu'elle n'était âgée que de 17 ans, la chanteuse originaire de Bourgogne a eu la chance de travailler sur son premier album "Maëlle" avec des pointures comme Calogero et Zazie. « J'ai vécu plein de belles choses car les chansons ont parcouru les gens. Et j'ai surtout beaucoup appris. J'ai appris sur l'interprétation de textes, ce qui n'est pas toujours très simple. J'ai beaucoup appris musicalement grâce à Calogero. J'en sors vraiment grandie » confie à Purecharts l'interprète de "L'effet de masse", qui a véritablement pris son indépendance sur "Fil rouge", deuxième album disponible depuis le 29 septembre dans les bacs : « Je suis très contente d'avoir pu être complètement maitresse de ce projet de A à Z, que ce soit dans l'écriture, dans la composition et ensuite dans la réalisation des titres. Ça a été très intense parce que j'ai voulu mettre ma patte vraiment partout ».

"Un travail de textures"

Entouré de Jean Castel ou Stan Neff en studio, Maëlle a poussé le curseur plus loin dans la pop sur les 12 chansons qui composent le disque, à l'instar du premier single "Flash". « J'adore la musique électronique et le piano, et je voulais toucher ce travail du son qui accompagne et qui peut embellir ma voix. C'était un travail de textures, chercher les synthés qui iraient avec ma voix. J'avais l'impression d'être une scientifique dans un laboratoire » souligne la jeune artiste, qui s'élancera dans une grande tournée hexagonale à partir du 1er février. Elle se produira notamment sur la scène de La Cigale, à Paris, le 20 mars prochain !



Afin d'accompagner l'exploitation de son album "Fil rouge", Maëlle met en ligne le clip qu'elle a imaginé avec Elisa Baudouin ("Keep It Simple" de MIKA et Vianney, "Mamma Mia" de Mentissa...) pour illustrer le titre "Ouvrir les yeux", une chanson de rupture avec laquelle elle tente de réparer son coeur brisé, même si ses pensées ne cessent de la ramener vers son ancien amour. « Danse, ne vois-tu pas / Que je suis prisonnière du temps qui passe ?/ Danse, ne t'arrête pas / Que je puisse continuer mes pas / Danse, ne vois-tu pas / Que je suis prise au piège d'un monde sans toi ? / Sans toi » chante Maëlle sur le refrain de ce morceau enveloppé de coton, elle qui utilise le médium de la danse pour exprimer ses sentiments de douleur face caméra, et les exorciser pour commencer à guérir. « Merci à toute mon équipe pour me suivre dans ce projet, et m'aider à me montrer comme je veux le faire » écrit-elle sur Instagram.