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Eurovision 2022 - Let's hear The Sound of Beauty in Turin ! (infos page 1)

T.V.

Par T.V.
dans L'actu des stars

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Bluebells

Bluebells

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Content également de voir Omar et Liamoo (?) dans la liste des revenants.

De toute façon, tant qu'on n'a pas les chansons et il est difficile de faire un pronostic.

 

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Sheldon Riley est une bonne surprise. Ses prestations à The Voice étaient toujours spectaculaires.

 

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Alors la chaine de télé lituanienne a bien confirmé que The Roop ferait parti des candidats en lisse pour représenter le pays à Turin lors de la finale nationale.

À noter qu'ils ont finalement supprimé le "Eurovision 2022" du titre de la vidéo sur YouTube. 

Le titre est moyen a comparer de leurs 2 précédentes chansons. Honnêtement, j'espère qu'ils ne prendront pas la place de quelqu'un qui le méritera davantage qu'eux juste parce qu'ils sont devenus les chouchous du pays.

 

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Les vidéos des titres en compétition demain sont déjà disponibles.

Je ne retiens que le titre d'Andrei & Grete. le reste est très faible.

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Stephane

Stephane

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«Un jour, tout va bien, un autre, tout s’écroule» : le casse-tête de «l’Eurovision junior» pour France Télévisions

D’ici au 19 décembre prochain, tout doit être parfait pour faire rayonner la France à travers cette version enfant du concours de chant XXL. Mais, du choix de la salle à l’agenda chamboulé en passant par la crise sanitaire et les questions financières, c’est loin d’être simple pour France 2.

 

« J-27, J-26, J-25… » Pas un coucher ni un réveil sans que la direction de France Télévisions ne pense au prochain « Eurovision junior », produit en interne et diffusé le 19 décembre prochain à 16 heures sur France 2. Pour la première fois depuis sa création en 2003, ce concours de chant réservé aux 9-14 ans sera capté dans l’Hexagone. Tout s’est joué il y a pile un an : le sacre de Valentina, la jeune représentante tricolore en Pologne, a été synonyme de ticket gagnant pour l’organisation de l’édition 2021.

 

« Dès le lendemain de sa victoire, on est parti au combat, lâche Alexandra Redde-Amiel, directrice des divertissements du service public, également productrice exécutive de cet événement européen. C’est un show hors norme où tout est multiplié par 19. » Comme le nombre de pays en lice, dont l’Italie, le Portugal ou l’Arménie, de retour cette année. Mais pas de Biélorussie, en conflit politique avec l’Union européenne de radio-télévision (UER), qui chapeaute « l’Eurovision ».

 

« Un jour, tout va bien, un autre, tout s’écroule, poursuit la responsable française. À chaque fois, il faut trouver des solutions. Il y a tout le temps une petite urgence à gérer. » Celle du moment : veiller sur les dernières annonces liées à l’évolution de la cinquième vague de Covid-19, en France comme à l’étranger, vu le nombre de délégations attendues.

 

En interne, tous les regards se portent vers le Kazakhstan, qui pourrait ne pas être du voyage. Dans ce cas, c’est uniquement le clip de la chanson retenue là-bas qui sera soumis au vote des 32 millions de téléspectateurs habituels (200 000 millions pour la version adulte). En raison d’économies budgétaires, les différentes performances ne pourront être diffusées en duplex ni préenregistrées à domicile, comme ça s’est fait l’année dernière.

 

Trois scénarios, dont un où aucun pays ne se déplacerait

 

Dans l’ensemble, le programme initial tient encore la route : un accueil des différentes délégations, rassemblées dans le même hôtel pour des questions sanitaires, à partir du 12 décembre, deux jours avant les premières répétitions. En revanche, si la situation se dégrade, un plan B, avec une jauge de spectateurs et un staff réduit a également été prévu. Et même un plan C, où aucun pays ne se déplacerait. « On croise les doigts », glisse Alexandre Redde-Amiel, qui a demandé à repousser la date d’un mois pour en faire un spectacle de Noël, présenté par Olivier Minne (parfaitement bilingue), Élodie Gossuin et Carla Lazzari (ex-candidate).

 

Pour l’équipe organisatrice, la première préoccupation a été de trouver une salle. Avec une envie : se déplacer en région. Des options ont été étudiées à Nice et à Cannes, qui a récemment accueilli les NRJ Music Awards diffusés sur TF1. Avant d’être retoquées à cause des éventuelles contraintes sanitaires. Paris a donc été privilégiée. Avec, là encore, plusieurs possibilités, dont l’immense Paris La Défense Arena qui peut rassembler 8000 spectateurs dans cette configuration-là. La Seine Musicale, basée sur l’île Seguin de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), a finalement remporté le plus d’adhésions, en mai dernier. « C’est une salle davantage à taille humaine », explique Alexandra Redde-Amiel. Principal avantage : 3250 spectateurs sont attendus. C’est en dessous de la jauge des 5000, qui avait été instaurée au printemps dernier.

 

Est également pris en compte, dans le choix final, le financement proposé par les villes hôtes, de moins en moins généreuses depuis le Covid, pour compléter le budget d’un tel show. L’enveloppe globale ? « C’est top secret », assure la patronne de l’événement. Cette dernière bénéficie d’un gros chèque de France Télévisions et de l’UER, qui redistribue la participation des nations candidates.

 

Un budget cinq fois supérieur à un prime de « The Voice »

 

Autre apport, le pays organisateur peut compter sur les partenaires nationaux, comme le Crédit mutuel, La Fournée dorée, RFM et Spotify ou encore la marque Lego. D’après nos informations, le montant total alloué à cet événement se situerait autour de 5 millions d’euros. C’est cinq fois plus qu’un prime de « The Voice », mais quatre fois moins que pour l’Eurovision classique.

À tous les niveaux, les dépenses ont dû être revues à la baisse, obligeant à des concessions. Comme pour la cérémonie d’ouverture du 13 décembre, au cours de laquelle est tirée au sort une partie de l’ordre de passage des candidats. Adieu les rêves de Palais de Chaillot, face à la tour Eiffel. Place au studio Gabriel, où Michel Drucker a ses habitudes.

 

« On s’adapte en permanence. Notre ambition est un peu moins grande, mais on fait preuve d’une grande créativité », assure Alexandra Redde-Amiel. Pour les mêmes raisons, l’avancée de la scène centrale a été réduite. C’est 50 000 euros de dépenses en moins, qui ont pu être réinvestis dans les costumes des cinquante danseurs ou l’habillage des écrans géants de la scène mesurant 36 mètres de large.

 

« On travaille à l’américaine. Tout est millimétré »

 

Logo, décor, lumières… Autant d’autres postes clés qui ont été soumis à des appels d’offres. Objectif : maîtriser les coûts tout en en mettant plein la vue. Pour capter ce show, une machinerie de guerre. « On aura trois grues, deux travelings et une caméra suspendue dans les airs, détaille le coréalisateur Julian Gutierrez. On travaille à l’américaine, avec des story-boards bien précis. Tout est millimétré. »

 

Quelque 90 heures de répétitions sont nécessaires, avec certains candidats qui débarqueront du plafond. Le temps de tout installer, la Seine Musicale sera mobilisée pendant 18 jours. C’est six fois plus que pour les 25 prestations des Victoires de musique.
 

Différentes équipes se relayeront jour et nuit. Avec pas mal d’angoisses, à l’approche du jour J. Le plus grand cauchemar ? « Qu’un incendie en régie fasse tout disjoncter, appréhende Frédéric Dorieux, en charge des 700 projecteurs. Ça m’est arrivé sur un show en Asie. » Pour d’autres, ça serait que la France – représentée par Enzo, 13 ans, ancien finaliste de « The Voice Kids » – remporte encore la victoire… synonyme d’une nouvelle organisation l’an prochain.

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BoomBoom

BoomBoom

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« On aura trois grues, deux travelings et une caméra suspendue dans les airs, détaille le coréalisateur Julian Gutierrez. On travaille à l’américaine, avec des story-boards bien précis. Tout est millimétré. »

 

Mdr la phrase qui fait peur venant des producteurs français à la ramasse... (suffit de voir les NRJ Awards, où les Victoires - encore qu'il y a eu des efforts)

Bref Alexandra a eu du nez de déplacer d'un mois la compétition pour se retrouver en plein mois de décembre en pleine pandémie ?

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Bluebells

Bluebells

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??

Voici la liste des participants pour le 3ème quart de finale, avec quelques revenants bien connus.

Après une semaine 100% en estonien, on aura une série 100% en anglais cette semaine.

  • Alabama Watchdog - Move On
  • Anna Sahlene - Champion (ESC 2002)
  • deLULU - Music save my soul
  • Elina Nechayeva - Remedy (ESC 2018)
  • Goodreason - Three days ago
  • Lauri Pihlap - Take me home
  • Levvis - Let's talk about
  • Merilin Mälk - Little Girl
  • Shira - Under Water
  • Stefan - Hope
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