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Christine and the Queens / Paranoïa, Angels, True Love (09/06)


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Après, il me semble que le redacteur en chef du site est fan de Matt Pokora... Donc ça donne le niveau musical de la rédac... Enfin si on peut encore parler de musique à ce niveau...

 

Pour le reste, apres avoir encore écouté l'album, je note la prise de risque et l'envie d'aller ailleurs mais j'ai l'impression d'écouter des maquettes de titres qui auraient pu être chouettes...

 

Et kje crois aussi que le personnage et ses délires m'a aussi un peu perdu... La drogue c'est vraiment ce qui perd notre communauté...                                                                                    

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Il est compositeur et auteur (et probablement arrangeur aussi) sur 10 titres de son dernier album. 10 titres sur 13 ! Mais non il pompe, abuse et ruse. On a compris que tu étais énervée par le personnage CHUT, cependant là ça tourne à l’obsession cette envie de le descendre.

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Il y a 4 heures, CHUT ! a dit :

Je ne reviendrai plus la-dessus mais je tenais à expliquer pourquoi je tente de démystifier le personnage. Des femmes réellement productrices, arrangeuses, auteures et compositeures existent. Des femmes qui ne samplent pas mais qui composent réellement. Je ne dis pas pas que ce qu'elles proposent est forçément mieux que si elles collaboraient avec d'autres mais elles sont réellement ce qu'elles annonçent être. C'est un vrai combat pour les femmes pour s'imposer et elles se passeraient bien d'être représentées par CATQ qui pompe, qui ruse et abuse de la com. 

 

Alors par contre je dis pas qu'il est pas producteur ou quoi juste qu'entre les samples paresseux et les beat tous pétés de l'album (soyons honnêtes) il n'y a pas de quoi se vanter autant. Pour moi Birdman faisait partie des morceaux qui relevaient le niveau justement donc je suis un peu déçu que la prod ne soit pas de lui c'est sûr

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@cocoricoQue tu n'aimes son travail est une chose et c'est complètement recevable. Par contre, qualifier son travail de paresseux (ou par des équivalents comme le fait CHUT), c'est lunaire.

 

On est face à un des artistes les plus bosseurs qui soient. Il passe sa vie en studio à produire, composer et écrire, il a déjà son prochain album prêt et le suivant est en cours. Chacune de ses représentations fait preuve d'une immense recherche scénique, narrative et de réorchestrations musicale Apple Music pour présenter l'album Chris, Théâtre d'hiver pour présenter Redcar, le show au Global Citizen, les shows de la tournée des festivals pour Chris différents des shows de la tournée en salle, le nombre incalculable de lives qu'il avait fait lors du confinement depuis chez lui, à nous proposer des nouvelles versions de titres ou des covers...

 

Bref, c'est un acharné du boulot, qui veut (trop) tout gérer. Encore une fois, vous pouvez trouver son travail mauvais, mais il travaille dur.

 

Et sinon, @CHUT !, je sais que tu n'en as sans doute rien à foutre et aucun respect pour lui, mais comme tu adores poster ici et dans le topic chiffre, peux-tu faire l'effort de genrer Redcar au masculin ? Car venir tous les jours mettre ton message pour dire que Redcar est un gros nase sans talent, soit. Mais faire ça en le mégenrant à chaque fois (alors que tu sais très bien qu'il se genre au masculin), c'est de la transphobie et ce n'est pas acceptable.

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il y a 7 minutes, Mercenary a dit :

@cocorico Bref, c'est un acharné du boulot, qui veut (trop) tout gérer. Encore une fois, vous pouvez trouver son travail mauvais, mais il travaille dur.

 

Paresseux musicalement, nuance. Ca n'a rien à voir avec l'effort qu'il y met, d'ailleurs ça serait trop facile. Disons laborieux si tu préfères? Et toi il me semble évident que tu n'as aucun recul ça ne m'étonnerait pas que tu bosse dans son équipe pour être autant sur la défensive dès qu'on remet en question ta parole d'évangile.

 

Sinon, review intéressante du show d'hier soir par un journal anglais.

 

https://newsus.tunenews.xyz/2022/11/23/christine-and-the-queens-presents-redcar-royal-festival-hall-review-quite-unlike-any-pop-show-before-it/

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Une autre critique du spectacle cette fois ci assassine

Je suis super étonné que les premiers retours anglais soient si contrastés voire négatifs, alors que le spectacle a été plutôt bien reçu par la presse française

Et personnellement bien qu'on me prenne pour un hater je n'avais pas détesté le show (que j'ai vu le premier soir)

 

https://dailymultan.com/christine-and-the-queens-at-royal-festival-hall-confusing-is-the-kindest-description/

 

Citation


It was like rubbernecking at the scene of an artistic crash. On this occasion, fortune did not favour the bold.

 

 

Ouch

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Je sais que mon avis importe peu

Qu’il n’est pas attendu

Qu’il ne fera pas bouger d’une virgule 

Les sentences péremptoires déjà rendues

Par les camés de l’écume

Et c’est tant mieux

J’aime être la dernière fée à se pencher sur le berceau

Pour essuyer la merde 

De l’orphelin jeté en pâture

Bénir là où d’autres ont maudit

Rendre la vue

 

Hôpital de B.A

Fièvre, vertiges, arythmie 

C’est sans doute le meilleur moment pour écouter Redcar

En roller coaster

Entre les cardiogrammes et les interrogations

 

Je me souviens la première fois qu’il m’a serré le coeur

Celui de sa mère s’était arrêté 

Piano sur la tête

Tout est devenu indicible

6 ans à nouveau et les cheveux blancs

Pointe « People, I’ve been sad » 

Baume cicatrisant au miel de ronces

B.O d’une quarantaine en HP

L’âme lubrifiée

 

Mon coeur a fait un bond 

Quand il a parlé malédiction

Sa grand-mère, sa mère, lui

Prisonniers d’une boucle cosmique 

Qu’il finit par briser en assumant son il

Envie d’entreprendre un chemin de Damas moi aussi

Plus beaucoup de temps

Peut-être que cet opéra peut y contribuer.

 

C’est le théâtre d’un fait nouveau ce disque

Qui touche doublement à l’intime :

Être queer et avoir la foi

Conjuguer transidentité et christianisme

Sans y voir de contradiction

Le projet semble fou

Comment rester résolument impur et devenir un être spirituel ?

Redcar ne discute pas le sexe de anges

Il aime

Sans demander la permission

Sans attendre de réciprocité

Parce qu’il sait qu’aimer est plus fort que d’être aimé 

Même par Dieu

 

Aimer pour aimer

Ne se voir imposer aucun termes 

Ne rien devoir

Aimer à sa façon 

Non-pure

Gratuite

 

L’album est la meilleure mise en musique de ce passage :

 

« Si je parle dans les langues des hommes et des anges, mais que je n'aie pas l'amour, je suis comme un airain qui résonne ou comme une cymbale retentissante.

L’amour ne cherche pas son propre intérêt, il supporte tout, croit tout, espère tout, endure tout.

Il ne périt jamais. »

 

Plongé

 

Ma bien aimée bye bye

 

Je n’ai pas encore sa liberté d’orphelin

Pour accoucher de ma propre vérité

Qui fait me gratter jusqu’au sang

Mais j’aperçois à travers ma lucarne

Le soulagement mêlé au déchirement

De dire adieu à soi 

Et d’en porter le deuil à jamais

 

L’équilibre trouvé entre epicness et délicatesse me subjugue

C’est particulièrement vrai sur le pont qui donne à l’ensemble des allures de standard soft-rock intemporel

On est loin du fracassant Comme si on s’aimait en guise d’intro

Finesse et résolution intérieure sont mots d’ordre ici

Une masterclass

 

Tu sais ce qu’il me faut

 

Jubilation vers le ciel 

De l’enfant danseur 

Qui toujours s’empêchait de l’intérieur

Et qui laisse éclater son MOTOPAPI

Les LALALA viennent du bide

Aident à se réincarner dans son corps

Le plaisir de chanter nu

Réaffirmation du métier

DECOMPENSER

 

Une prod de mammouth

Des nappes lumineuses pareilles à une voix de femme

Désormais lointaine

Je veux une canne à pommeau d’or moi aussi

Et pointer la foule avec

 

La Chanson du chevalier

 

Offrande à quatre voix 

Pour le chef des anges

Red déringardise l’imagerie catho

Et la réinvestie dans les backrooms 

De nos esprits désacralisés

Visions d’urbex/sauna à chaque écoute

Ca plane sous poppers à l'église

 

La Clairefontaine

 

Délectation

Toutes les suites de notes choisies sont un régal pour les oreilles

Les allers retours voix de tête/poitrine sont des brises sur le visage

Le chanter me désaltère

Me rappelle des plaisirs coupables de r’n’b français sans en être

Me donne envie de flirter comme à 12 ans

 

Looking for love 

 

Merci

De nous donner envie de gravir des montagnes qui n’existent pas

De nous faire courir après quelque chose qu’on croyait ne pas vouloir, ne pas valoir

De nous réenchanter dans un monde « si cruel »

Ce refrain est un shoot de vivance

Comme People, I’ve been sad ou Running up that hill

Et tant pis si je suis fragile

Mais émoticône larme de joie 

 

My Birdman 

 

Je veux rencontrer ce Jamil

J’avais juré pas de name dropping 

Mais je retrouve ce que j’aime chez Massive Attack, Royksopp ou Sade

Red a la recette pour trouver les refrains les plus… alifères.

Celui-ci m’enveloppe et me soulève haut

 

Combien de temps 

 

Serment le plus ambitieux de sa discographie

Ce texte sur la vaine gloire dit plus sur le disque que toutes les autres chansons réunies

Et préfigure déjà la démission de ce métier d’écumes

Quand la coupe sera pleine

Pour se rapprocher de l’éternel

Plus que jamais, texte et mélodie s’imbriquent dans une fluidité parfaite 

Et oui, la chanson prend son temps

Faire l’expérience de l’attente

Dans ces civilisations d’immédiateté 

Où tout est servi prémâché 

Remet les pendules à l’heure

 

Je te vois enfin

 

Livre apocryphe, un tout nouveau testament

La perfection. De bout en bout. 

Ma chanson de l’année. Inattendue.

Le texte immédiat résonne fort, si fort. 

La chanson fonctionne en miroir avec Combien de temps

Cette moitié rêvée les yeux ouverts, apparaît enfin à l’aveugle 

Époustouflant

 

Angelus 

 

Somptueuse prophétie

Apaisante et stressante à la fois

Le titre pourrait faire la BO de His Dark Materials 

Le final « IL POUSSERA… » est un traitement à lui-seul contre l’écoanxiété. 

Concentré d’espoir

Red prend autorité et sa voix est si dense, si riche…

On le sent se délecter de chacune des syllabes, et c’est contagieux

 

Pour le reste, rien à jeter : entre les titres qui oxygènent l’ensemble (Rien Dire, Mémoire des étoiles), entretiennent l’ambiance vespertine du disque (Les Étoiles) et concluent cet arc avec cohérence et ouverture (Les Âmes Amantes), tout roule.

 

Ce disque est une excellente première partie d’une saga qui devrait bientôt nous dépasser (40 titres supplémentaires, j’ai bien lu ?).

 

Je ne crois pas qu’il faille noter ou comparer les albums entre eux, en particulier quand l’artiste en question s’évertue à se mettre en danger et tout remettre en question à chaque processus créatif entrepris. Mais Les Adorables Etoiles est assurément son disque le plus personnel, le plus fidèle à qu’il a toujours été : un homme de théâtre.

 

On en oubliait que ce parcours en pop music est une heureuse anomalie pour nous, mais reste une déviation de sa trajectoire principale.

 

Le plus romanesque dans cette histoire… c’est qu’il aura fallu devenir « il » pour enfin pouvoir assumer la direction d’un projet théâtral, lui qui avait été empêché - femme - par le conservatoire de Lyon, il y a plus de 10 ans.

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Je suis totalement fan de l'album mais je reste terriblement déçu du traitement vocal, ça me fout trop le seum que sa voix (qui est la raison pour laquelle je suis tombé sous son charme il y a quelques années) soit si peu mise en valeur sur la majorité des titres. Tant pis, il y a d'autres choses à manger sur l'opus, mais ça me frustre.

 

Sinon je suis chaud pour le gin-concombre @Debbie @Mercenary @HibouNoir.

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Il y a 3 heures, Mana Mané a dit :

Je sais que mon avis importe peu

Qu’il n’est pas attendu

Qu’il ne fera pas bouger d’une virgule 

Les sentences péremptoires déjà rendues

Par les camés de l’écume

Et c’est tant mieux

 

J’aime être la dernière fée à se pencher sur le berceau

Pour essuyer la merde 

De l’orphelin jeté en pâture

Bénir là où d’autres ont maudit

Rendre la vue

 

moi avant de noter mon coiffeur sur google

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Il y a 4 heures, Mana Mané a dit :

Je sais que mon avis importe peu

Qu’il n’est pas attendu

Qu’il ne fera pas bouger d’une virgule 

Les sentences péremptoires déjà rendues

Par les camés de l’écume

Et c’est tant mieux

J’aime être la dernière fée à se pencher sur le berceau

Pour essuyer la merde 

De l’orphelin jeté en pâture

Bénir là où d’autres ont maudit

Rendre la vue

 

Hôpital de B.A

Fièvre, vertiges, arythmie 

C’est sans doute le meilleur moment pour écouter Redcar

En roller coaster

Entre les cardiogrammes et les interrogations

 

Je me souviens la première fois qu’il m’a serré le coeur

Celui de sa mère s’était arrêté 

Piano sur la tête

Tout est devenu indicible

6 ans à nouveau et les cheveux blancs

Pointe « People, I’ve been sad » 

Baume cicatrisant au miel de ronces

B.O d’une quarantaine en HP

L’âme lubrifiée

 

Mon coeur a fait un bond 

Quand il a parlé malédiction

Sa grand-mère, sa mère, lui

Prisonniers d’une boucle cosmique 

Qu’il finit par briser en assumant son il

Envie d’entreprendre un chemin de Damas moi aussi

Plus beaucoup de temps

Peut-être que cet opéra peut y contribuer.

 

C’est le théâtre d’un fait nouveau ce disque

Qui touche doublement à l’intime :

Être queer et avoir la foi

Conjuguer transidentité et christianisme

Sans y voir de contradiction

Le projet semble fou

Comment rester résolument impur et devenir un être spirituel ?

Redcar ne discute pas le sexe de anges

Il aime

Sans demander la permission

Sans attendre de réciprocité

Parce qu’il sait qu’aimer est plus fort que d’être aimé 

Même par Dieu

 

Aimer pour aimer

Ne se voir imposer aucun termes 

Ne rien devoir

Aimer à sa façon 

Non-pure

Gratuite

 

L’album est la meilleure mise en musique de ce passage :

 

« Si je parle dans les langues des hommes et des anges, mais que je n'aie pas l'amour, je suis comme un airain qui résonne ou comme une cymbale retentissante.

L’amour ne cherche pas son propre intérêt, il supporte tout, croit tout, espère tout, endure tout.

Il ne périt jamais. »

 

Plongé

 

Ma bien aimée bye bye

 

Je n’ai pas encore sa liberté d’orphelin

Pour accoucher de ma propre vérité

Qui fait me gratter jusqu’au sang

Mais j’aperçois à travers ma lucarne

Le soulagement mêlé au déchirement

De dire adieu à soi 

Et d’en porter le deuil à jamais

 

L’équilibre trouvé entre epicness et délicatesse me subjugue

C’est particulièrement vrai sur le pont qui donne à l’ensemble des allures de standard soft-rock intemporel

On est loin du fracassant Comme si on s’aimait en guise d’intro

Finesse et résolution intérieure sont mots d’ordre ici

Une masterclass

 

Tu sais ce qu’il me faut

 

Jubilation vers le ciel 

De l’enfant danseur 

Qui toujours s’empêchait de l’intérieur

Et qui laisse éclater son MOTOPAPI

Les LALALA viennent du bide

Aident à se réincarner dans son corps

Le plaisir de chanter nu

Réaffirmation du métier

DECOMPENSER

 

Une prod de mammouth

Des nappes lumineuses pareilles à une voix de femme

Désormais lointaine

Je veux une canne à pommeau d’or moi aussi

Et pointer la foule avec

 

La Chanson du chevalier

 

Offrande à quatre voix 

Pour le chef des anges

Red déringardise l’imagerie catho

Et la réinvestie dans les backrooms 

De nos esprits désacralisés

Visions d’urbex/sauna à chaque écoute

Ca plane sous poppers à l'église

 

La Clairefontaine

 

Délectation

Toutes les suites de notes choisies sont un régal pour les oreilles

Les allers retours voix de tête/poitrine sont des brises sur le visage

Le chanter me désaltère

Me rappelle des plaisirs coupables de r’n’b français sans en être

Me donne envie de flirter comme à 12 ans

 

Looking for love 

 

Merci

De nous donner envie de gravir des montagnes qui n’existent pas

De nous faire courir après quelque chose qu’on croyait ne pas vouloir, ne pas valoir

De nous réenchanter dans un monde « si cruel »

Ce refrain est un shoot de vivance

Comme People, I’ve been sad ou Running up that hill

Et tant pis si je suis fragile

Mais émoticône larme de joie 

 

My Birdman 

 

Je veux rencontrer ce Jamil

J’avais juré pas de name dropping 

Mais je retrouve ce que j’aime chez Massive Attack, Royksopp ou Sade

Red a la recette pour trouver les refrains les plus… alifères.

Celui-ci m’enveloppe et me soulève haut

 

Combien de temps 

 

Serment le plus ambitieux de sa discographie

Ce texte sur la vaine gloire dit plus sur le disque que toutes les autres chansons réunies

Et préfigure déjà la démission de ce métier d’écumes

Quand la coupe sera pleine

Pour se rapprocher de l’éternel

Plus que jamais, texte et mélodie s’imbriquent dans une fluidité parfaite 

Et oui, la chanson prend son temps

Faire l’expérience de l’attente

Dans ces civilisations d’immédiateté 

Où tout est servi prémâché 

Remet les pendules à l’heure

 

Je te vois enfin

 

Livre apocryphe, un tout nouveau testament

La perfection. De bout en bout. 

Ma chanson de l’année. Inattendue.

Le texte immédiat résonne fort, si fort. 

La chanson fonctionne en miroir avec Combien de temps

Cette moitié rêvée les yeux ouverts, apparaît enfin à l’aveugle 

Époustouflant

 

Angelus 

 

Somptueuse prophétie

Apaisante et stressante à la fois

Le titre pourrait faire la BO de His Dark Materials 

Le final « IL POUSSERA… » est un traitement à lui-seul contre l’écoanxiété. 

Concentré d’espoir

Red prend autorité et sa voix est si dense, si riche…

On le sent se délecter de chacune des syllabes, et c’est contagieux


Bon, ça suffit maintenant Christine (ou Redcar, je suis paumée), on t'a reconnu. 

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