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The Lady Gaga's discography and career


The Lady’s or the Gaga’s bests ?  

119 membres ont voté

  1. 1. The best record ?

    • The Fame
      8
    • The Fame Monster
      44
    • Born This Way
      48
    • ARTPOP
      7
    • Cheek to Cheek
      0
    • Joanne
      4
    • A Star Is Born soundtrack
      5
    • Chromatica
      3
  2. 2. The best top 10´s worldwide hit ? (Source : IFPI)

    • Poker Face (#1 in 2009)
      18
    • Just Dance (#4 in 2009)
      8
    • Bad Romance (#2 in 2010)
      55
    • Téléphone (#4 in 2010)
      11
    • Born this Way (#6 in 2011)
      18
    • Shallow (#9 in 2019)
      9


Messages recommandés

J'ai revu le live de Paparazzi aux VMA 2009 (la base) puis You and I aux VMA 2011 (avec Jo Calderone, pour moi son meilleur délire) et bordel c'est tellement fort. Elle a un talent de dingue.

 

Le discours du début mon dieu mais quelle folle, elle est géniale.

Je crois que c'est mon live préféré d'elle, et pourtant j'aime pas vraiment la chanson.

 

 

Je n'avais pas du tout aimé le live que je redécouvre aujourd'hui. Il est juste immense, cette version rock de You & I est jouissive.

Elle est complètement habitée par son personnage et vit sa chanson à fond, c'est beau à regarder et à écouter.

 

Ptain elle me manque tellement :(

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ARTPOP est un bon album, voilà c'est dit.

 

Il a quelques défauts, notamment Dope (que j'aime énormément ceci-dit) mais qui n'a aucunement sa place dans l'album. J'aurais préféré qu'elle pousse son concept de rave jusqu'au bout en mettant cette piste de côté et en incorporant un morceau aussi sale et puissant que Swine. Je crois que j'aurais adoré un morceau influencé par la musique techno.

Gypsy ne mérite aucunement sa place dans l'album, c'est un morceau trop propre, trop lisse, les synthés sont laids mais l'interprétation est top.

Finalement, les productions crados me plaisent énormément avec le temps. Je donnerais un rein pour vivre Swine, Aura et Mary Jane Holland en festival.

 

Je trouve qu'avec le recul, chacun de ses albums dégage une ambiance particulière, elle est allée à chaque jusqu'au bout ou presque de ce qu'elle voulait proposer et la qualité étaient au rendez-vous.

- La pop funky et légère de The Fame (Money Honey, Boys Boys Boys, Summerboy...)

- La synthé pop sombre de Monster

- La musique très électronique de BTW. Government Hooker, Electric Chapel et Heavy Metal Lover sont selon moi les meilleurs morceaux d'une popstar depuis des années. C'est à contre courant de tout ce que les autres proposaient à l'époque.

- Le concept de rave de Artpop qui doit être un délire à vivre en live.

 

J'attends impatiemment de connaitre la direction du prochain album. J'aimerais qu'elle propose une musique totalement ou presque totalement organique, de vrais instruments et des sons plus épurés que sur Artpop.

Et à l'avenir, j'aimerais énormément qu'elle revienne dans le courant électronique mais moins influencé par le mainstream, avec des sons similaires aux pépites de BTW. Elle peut le faire !

  • Like 8
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C'est vrai que le live de You and I aux VMA 2011 n'est pas assez évoqué. A l'époque j'avais vraiment ADORÉ . Il faut dire que c'est une des meilleures chansons de Born This Way mais clairement la perf etait juste immense . Tu m'étonnes que la chanson ait été un gros succès aux US après !

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  • 2 semaines après...

J'ai récemment réécrit une critique pour les albums de la Lady, que j'ai publié sur Senscritique.

 

The Fame :

 

 

 

"Let's have some fun, this beat is sick !"

 

Remember. Nous sommes début 2008. Alors que les radios diffusent en masse le dernier titre de Flo-Rida, qui culmine au top des charts, et que les télés passent en boucle les clips des dernières chanteuses RnB, une petite nouvelle fait son apparition à côté d'une des stars masculines les plus en vogue à l'époque, Akon. Elle est blonde, elle n'est pas spécialement belle, voire banale, et la chanson en soi n'est pas franchement des plus mémorables, bien qu'elle parle à la génération qu'elle vise. Elle arbore un éclair bleu sur le visage, comme une cicatrice béante laissée par ses années de galère, qui fait référence à l'une de ses aspirations principales : Bowie. Son nom : Lady GaGa (encore une fois, en hommage à une chanson de son groupe préféré, Queen). Elle aurait pu être une one-hit wonder car elle réunissait toutes les conditions pour. Et c'était d'ailleurs ce que le public pensait. Mais c'était sans compter sur sa détermination et son talent.

Forte du succès de son lead single, Just Dance, devenu rapidement l'un des plus gros succès de l'année, la Lady profitera de cette notoriété grandissante pour lancer un second single bien plus percutant : Poker Face. Et là, ce fut un véritable coup de massue. La chanson fut rapidement le plus gros succès de l'année.

C'est avec ces deux morceaux désormais connus de tous que GaGa sortit son premier album, très attendu. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il rencontra un succès phénoménal. Musicalement, l'album n'a rien de vraiment novateur : le disque oscille entre électro-pop (Poker Face, LoveGame), chansons dance (Just Dance, The Fame) avec parfois, comme des respirations, des morceaux plus calmes (Eh Eh, Brown Eyes). La musique aurait pu être faite par n'importe quelle autre artiste tant elle est impersonnelle. GaGa y apparaît malheureusement comme une poupée manipulée par sa maison de disque (même si d'un point de vue conceptuel, ça colle assez bien avec l'étiquette de la célébrité, 'The Fame', sous tous ses aspects, même les plus cachés). Mais ce qui contribua au succès du disque, outre la notoriété des deux premiers singles, fut la découverte d'un phénomène qui bouscula le monde de la pop d'un claquement de doigts.

Tout d'abord, ses tenues. Toutes plus folles les unes que les autres. La Lady fait de chacunes de ses apparitions un spectacle permanent, et nous livre son quotidien comme une pièce de théâtre ou comme un défilé de mode. Cela ne fit qu'accentuer l'engouement du public. Mais GaGa n'est pas qu'une poupée bien entourée (elle s'entoura de toute une équipe de professionnel et d'artiste, la Haus Of GaGa, créant avec elle ses tenues démesurées). Lorsqu'elle livra sa première performance, le monde découvrit qu'elle était aussi une réelle bête de scène. Ses prestations tiennent alors bien plus du théâtre que d'un simple tour de chant. Et pour encore plus prendre le public de revers, elle prouva qu'elle était aussi bien à l'aise seule derrière son piano.

Le premier album de Lady GaGa n'est franchement pas mémorable. Il reste un bon disque, contenant quelques morceaux devenus cultes dans le repertoire de la chanteuse (Just Dance, Poker Face, Paparazzi, LoveGame), mais souffrant d'une production bien trop légère (un comble quand on sait que la critique reprochera aux albums suivants une production trop lourde) et d'une bonne moitié de chansons servant de remplissage. Il n'en reste pas moins un disque agréable à l'oreille, installant ce qui va être la marque de fabrique de GaGa, à savoir la répétition à outrance d'onomatopées facilement addictives (Po-po-po-poker Face, Ohohohoh, etc..) et l'utilisation de gimmick dans plusieurs morceaux rendant l'album plus homogène (un son en arrière plan de Just Dance, qui est répété dans Poker Face, au début des couplets de Money Honey et dans les couplets de Paper Gangsta). Je considère donc cet album comme un album moyen : dans son ensemble, il est assez agréable, fluide, et certaines chansons sont mêmes réussies. Paparazzi, sans doute la meilleure chanson de la galette,est empreinte d'une forte poésie (t que dire de son clip !). Poker Face, est comme ces blockbusters américains : On sait que c'est pas d'une qualité dingue, mais on reconnait que tout est fait pour en faire un tube planétaire, ce qui rends le morceau réussi. Mais certains morceaux ne s'écoutent qu'en écoutant l'album intégralement : on ne me surprendra jamais à écouterSummerboy ou Brown Eyes individuellement. Et petit aparté, je trouve queLoveGame est l'une des moins bonnes chansons de GaGa. Cet instru Gameboy et sa voix rendue insupportable rendent la chanson on ne peut plus désagréable à écouter (et on voit bien lors de ses tournées que la chanson sied bien plus avec une instru plus lourde, plus profonde). Voila, c'est dit.

Lady GaGa acquis donc une notoriété mondiale en quelques mois, et ce grâce à des morceaux efficaces (quelle classe quand même, quand on y pense, devenir célèbre avec un album appelé The Fame) mais aussi à son personnage, véritable bouffée d'oxygène dans un monde musical et visuel devenu bien trop fade.

'Let's have some fun this beat is sick' disait la GaGa. Et force est de remarquer que depuis qu'elle est là, le monde de la Pop est bien plus fun !

 

The Fame Monster :

 

"Run ! Run ! Her kiss is a vampire grin !"

Nous sommes en 2009. Forte de sa récente conquête des charts avec son premier album The Fame, GaGa décide de frapper fort en sortant une réédition : ainsi est néMonster. Comme son nom l'indique, l'album puise son inspiration des 'monstres" de Lady GaGa : les peurs qui l'obsèdent. Peur du sexe, peur de la dépendance à l'alcool, peur du succès... chaque chanson aborde une frayeur de la star.

Cet EP est à considérer comme un album à part entière (bien que son nombre de chanson soit réduit) : d'une part parce qu'il surpasse qualitativement son petit frère, mais également car l'ambiance générale n'est pas du tout la même. En effet, ces huits morceaux installent une atmosphère bien plus lourde, plus moite et plus sombre queThe Fame, qui été marqué par sa légèreté et son thème superficiel. C'est aussi le seul reproche qui fait que je réécoute peu l'album : son nombre de morceaux est tel qu'on a à peine le temps de s'acclimater qu'il est déjà fini. Ainsi l'album a acquis une renommée d' "usine à tubes", au détriment d'une réelle atmosphère propre.
Ce qui est remarquable, c'est que non seulement les huit nouvelles chansons sont toutes de très bonne facture, mais GaGa a instauré dans l'univers de la Pop Music quelque chose qu'on n'avait plus vu depuis Mickael Jackson : ses clips vidéos sont devenus de véritables courts-métrages.Ainsi Telephone se voit doter d'un clip scénarisé de plus de 10 minutes !

Musicalement, comme je l'ai dit, l'ambiance est plus sombre : Bad Romance, lead single de l'album, reprends la même recette du "comment créer un tube" utilisée pour Poker Face, met à un niveau bien supérieur. Il deviendra le morceau signature de GaGa, ainsi que son deuxième plus gros succès dans les charts. Alejandro, sorte de La Isla Bonita de GaGa à l'ambiance plus froide, Telephone, morceau le plus commercial de la réédition (bien que de très bonne qualité !) sont autant de bons morceaux. Sans oublier Dance In The Dark, véritable bombe électro-

disco-pop doté d'une instru imparable.

Avec Monster, GaGa gravit une marche supplémentaire vers la gloire : non seulement elle atteint un tel niveau de notoriété ne laissant aucune place à la concurrence, mais en plus elle mit la Critique de son côté. Si The Fame dévoila le phénomène Lady Gaga, Monster, quant à lui, révéla l'artiste totale qu'elle est.

''Cours ! Cours ! Son baiser est un sourire de vampire !". C'est exactement ce qu'il eût fallu dire à ses consoeurs pop, car la machine GaGa est maintenant en marche, prête à tout écraser sur son passage.

 

Born This Way :

 

"Would you love me if I rule the World ?"

Cette phrase d'accroche, issue des paroles de Heavy Metal Lover (Aka l'un des meilleurs titres de l'album, mais nous y reviendrons plus tard), résume parfaitement ce que je pense de cet album. Mais remettons les choses dans leur contexte.

Nous sommes en 2011. Parmis les popstars féminines, la tendance va au commercial facile et relativement bas de gamme (Rihanna sortira par exemple Loud, puis nous chiera Talk That Talk quelques mois plus tard). GaGa, elle, sort d'une période faste : son premier album The Fame, auréolé d'une réédition en or, The Fame Monster, l'ayant propulsé au rang de reine de la Pop en seulement deux ans, s'apprète à sortir son deuxieme (ou troisieme, au choix) album, portant le doux nom de Born This Way.

En mettant entre parenthèse mon côté 'fan absolu', je me rappellerai toute ma vie de ces quelques mois avant la sortie de l'album, mais aussi de toute cette machine promotionnelle parfaitement bien huilée, dont on a de peu frôlé l'overdose (et LA, c'est le fan qui parle).De la performance du lead single aux Grammys, sûrement l'une de ses performances les plus iconiques, au leak du second single, Judas, le week end de Pâques (leak volontaire de la part de Gaga, voulant faire croire que l'un des membres de son équipe l'a trahi, comme Judas avait trahi Jésus... Eh ouais, du Grand Art !!), tous ces détails ne pouvait qu'allécher sa communauté de fans incessamment grandissante.

Mais venons-en au fait. Gaga se vantait de nous avoir pondu "l'album de la décennie" (phrase qui restera dans l'Histoire, et qui sera ironiquement ressorti lors de ses release suivants). Et bien je n'ai pas peur de dire qu'elle ne s'est clairement pas foutue de nous. Chaque chanson est un hymne hyper-travaillé. De la première à la dernière piste, des cloches de Marry The Night au saxo de The Edge Of Glory, l'album suit la ligne directrice du "gloire à soi-même" et du "be proud of who you are" sans nous laisser de temps mort (autrement dit, aucun ballade !).De Born This Way, aka le Like A Prayer de GaGa, à Marry The Night, 5e single (!) injustement boudé de cette galette, aucun titre ne dénote l'ensemble.

Autre point important : les meilleures pistes se cachent parmi les non-singles ! Bloody Mary, ballade fantômatique et religieuse qui nous laisse un goût de sang dans la bouche ; Government Hooker, véritable jeu de séduction entre la GaGa Putain et un chef d'Etat (Marilyn qui ? vous dites ?). Et Heavy Metal Lover. Parlons-en. Ce titre est le titre le plus couillu, le plus travaillé et le plus futuriste qu'il m'est - je pense - été donné d'entendre de ma vie. Avec cette chanson, GaGa fit en sorte que jamais, Ô grand jamais elle ne sortira de mon coeur.

En résumé, on peut dire que si The Fame + Monster éleva GaGa au rang de star commerciale, c'est véritablement avec Born This Way qu'elle eut atteint son apogée artistique (du moins, pour le moment). Et en plus de cette grosse quinzaine de nouvelles chansons, elle apporta des clips époustouflants, des performances iconiques, ainsi que la meilleure tournée de tout les temps, LE Born This Way Ball. Mais on va s'arrêter là, car je pourrais parler des heures de cet album, Bible musicale que j'écoute toujours très régulièrement et avec le même plaisir qu'au premier jour, de cette tournée, et de tous les souvenirs d'adolescence qui me vaudraient des larmes de bonheur et de nostalgie.

"Would you love me if I rule the world ?". Oui GaGa : tu gouvernes le Monde, et je t'aimerai à la vie à la mort. Assurément.

 

ARTPOP :

 

"Enigma popstar is Fun !"

Car c'est ici tout ce dont il s'agit. Du FUN. Suite au succès populaire en demi-teinte, et ce malgré un marathon promo surhumain, de Born This Way, GaGa nous promettait un album léger, sans prise de tête, ayant pour but de nous faire danser et passer un bon moment. Derrière un concept tiré par les oreilles (foutre l'art dans la pop, aka l'inverse du concept artistique inventé par Warhol), l'album vaut-il le détour ?

Nous sommes en 2013, et la concurrence en matière de musique pop est rude (Britney Jean ^.^). GaGa, après avoir dû annuler sa tournée mondiale suite a un problème de hanche, après avoir fait la chèvre nue dans les bois avec sa nouvelle BFF Marina, se décide enfin à lancer la machine ARTPOP. A peine Applause, le lead single, fut lâché à ses fans que déjà les voix s'élevèrent. "Vendue !", "Elle a vendu son âme au diable !", "le titre est nul !" sont autant de phrases gentilles entendues à l'époque. Et pourtant le titre est loin d'être mauvais. Une fois la surprise passée, on se surprends à fredonner le refrain, à être admirateur de cette théâtralité si chère à GaGa qu'on retrouve ici de façon remarquable dans les couplets.

Jusqu'à la sortie de l'album, les surprises furent nombreuses. Tout d'abord, la performance de 6 nouvelles chansons lors du Itunes festival. Si sur le papier cela pouvait être une bonne idée, dans la pratique on voit bien que la plupart des morceaux étaient bien plus puissants lors de ce live qu'en version studio... le malaise. Ensuite, la révélation de la cover de l'album. Ici encore, les avis étaient mitigés. On aime ou on adore. Personnellement, et après coup, je pense que la pochette correspond parfaitement à son contenu, donc objectif atteint.

Commençons par le négatif. Musicalement, on est très loin de la perfection de l'album précédent, qu'on soit d'accord. L'album sonne comme une compilation de chansons à la production grossière, voire de démo pour certaines chansons : Dope en est le parfait exemple. Cette chanson aurait pu, si elle avait été travaillée suffisamment, être une magnifique ballade. Au lieu de ça, non seulement la production étouffe complètement l'auditeur, mais en plus de cela l'interprétation poussive de GaGa la rends inssuportable. La chanteuse décrivait son album comme une véritable rave-party prête à nous exploser dans les oreilles, et cela aurait pu être vraiment un excellent album si cette idée était restée le fil conducteur de l'album, à défaut d'un concept fumeux. Car ici, les styles se bousculent autant que nos jambes sur le dancefloor : de l'expérimental pour les fans hardcore (Aura, Venus), un ersatz de Rap complètement râté (Jewels n Drugs); du R'n'B un peu trop passe-partout (Do What You Want) et un espèce de rock bas de gamme à la production sage façon 'vierge du village' (Manicure). Car le véritable problème de l'album réside dans son choix discutable de certains morceaux. On sent clairement que l'idée initiale de rave-party a été changée en cours de route par la maison de disque suite au succès trop 'relatif' du lead single.

Mais quoi qu'on en dise, GaGa reste fidèle à elle-même. L'écriture, bien que maladroite, est assez interessante. Certains morceaux resteront comme des titres phares dans son repertoires. Je parle de Venus, première production de GaGa elle-même, nous rappelant les meilleurs moments disco des 4 suédois ; ARTPOP, morceaux planants dont on ressent toute la puissance lors des lives piano-voix (A voir absolument, son live au Tonight Show) ; Mary Jane Holland, véritable OVNI fantôme de la période Born This Way, sûrement le meilleur morceaux de l'album. Et quoi qu'on en dise, c'est dans les morceaux les plus poussifs, ceux où la Lady va jusqu'au bout de son délire, qu'on s'amuse le plus. Swine en est le parfait exemple.

En conclusion, si l'album souffre d'un manque de cohérence stylistique, d'une production grossière et d'un concept branlant, il n'en reste pas moins un très bon album, où l'excellent côtoie le très mauvais. GaGa a su étendre un peu plus son univers, et nous a offert une nouvelle tripotée de chansons tubesques à souhait.

'Enigma postar is fun' nous promettait-elle. Mission accomplie.

 

N'hésitez pas à me donner vos avis :)

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  • 2 semaines après...
J'ai toujours eu l'impression que The Fame était sous-estimé. Son concept même est indissociable de l'ascension de Gaga à l'époque, parfois je me demande si elle n'avait pas tout prévu. Aussi, si on se renseigne un peu sur elle, on s'aperçoit que l'album n'est pas si impersonnel notamment dans Poker face où elle évoque sa bisexualité.
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Ce soir là, Gaga était victime des critiques française :

 

 

Elle se défend bien je trouve, elle rentre dans un délire dans cette émission.

Je pense que juger Gaga sur the fame est assez difficile vu que ce disque ne met pas en valeur son talent de chanteuse, c'est un disque pop dance de base. Du coup, si on la juge que sur ce disque, on va croire qu'elle est une popstar de plus sans talent.

 

L'écrivain là il était juste dégueulasse avec gaga genre "ouais moi je suis une merde à côté de la star américaine avec son plan promo" mais mec reste chez toi !

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Cette vidéo montre la belle mentalité des français, à toujours critiquer et critiquer sans arrêt. Franchement ça ne m'étonne même pas qu'elle a annulé sa promo française et elle devrait limite oublier car la France n'en a plus rien à faire d'elle. Et vu le top 10, qu'elle aille promouvoir ailleurs elle y gagnera mieux.

  • Like 1
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Il y a tellement de rage contre elle dans cette vidéo, c'est dingue, on l'a reproche d'être une popstar, on l'attaque car c'est une femme qui ose des choses.

Le comportement macho est détestable dans cette vidéo.

 

Il y a pire, quand shy'm était dans l'émission (elle fait pupute la petite) mais je trouve qu'ils étaient dég avec elle ("vous avez un bon look, vous portez quoi ? car on sait qu'un tennisman retire vos vêtements mais on ne connait pas votre maison de couture"). Heureusement qu'on a taratata.

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