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Nouvelle Vague : #8 :Jeanne Cherhal


Messages recommandés

J'aime beaucoup les deux derniers albums de Clarika.

Sur le dernier album, mes titres coup de coeur sont "Joker" et "Ne me demande pas" (ce dernier étant un tube en puissance si les radios se mettaient à le diffuser !).

 

 

D'ailleurs, petite question : quel est le single qui est le premier extrait de "Joker" ?

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J'aime beaucoup les deux derniers albums de Clarika.

Sur le dernier album' date=' mes titres coup de coeur sont "Joker" et "Ne me demande pas" (ce dernier étant un tube en puissance si les radios se mettaient à le diffuser !).

 

 

D'ailleurs, petite question : quel est le single qui est le premier extrait de "Joker" ?[/quote']

 

Ben c'est "Joker" justement lol

 

Je ne connais pas encore le dernier album (ni l'avant dernier d'ailleurs) mais les deux premiers sont pas mal avec des chansons très sympas...

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  • 5 semaines après...

mathieu6de.jpg #6 M

 

Mathieu Chédid dit M , n'est autre que le fils du chanteur Louis Chédid et le petit-fils de l'écrivain Andrée Chédid.

 

Il naît le 21/12/1972 à Boulogne-Billancourt et commence à jouer de la guitare à l'âge de quinze ans. Il devient musicien de studio, puis il se fait rapidement remarquer.Ses premiers groupes, "Les Poissons Rouges" et "Bébés Flous" étaient composés entre autres de Pierre Souchon, Julien Voulzy et Mathieu Boogaerts.

 

Il assurera les premières parties d'Etienne Daho à l'Olympia , puis de Texas à Bercy.Son premier album, "Le Baptème ", sort en mars 1997 : le tube "Machistador" est un véritable succès et on commence alors à s'intéresser à cet étrange personnage que M qualifie lui-même de "super-héros".Les deux concerts qu'il donne à l'Elysée-Montmartre les 22 et 23 novembre 1999 seront consacrés "Meilleur spectacle musical" aux Victoires de la Musique, où il sera par ailleurs sacré "Artiste-Interprète de l'année".

 

Il a collaboré avec Sinclair, NTM, Peter Kingsberry, de Palmas, Vanessa Paradis, Franck Monnet, Albin de la Simone, a réalisé des arrangements pour Faudel...Aujourd'hui, il ne s'arrête pas !

 

Véritable showman, ses concerts sont toujours un véritable spectacle : sa coiffure en forme de M , une scène décorée à la manière d'un appartement, ses dialogues intimes avec le public, ses solos de guitare endiablés et avec les dents donnent aux spectateurs un concert inoubliable.

 

Il est entouré sur scène de Vincent Ségal (guitariste de Jeanne Cherhal ndrl) au violoncelle, Ciryl Ataf à la batterie et aux percussions et de DJ Shalom.

 

Aujourd'hui, M est bel et bien devenu un personnage à part entière et une véritable icône de la nouvelle scène.

 

(source : actustar.com)

 

 

Position : L’icône

 

 

Signes distinctifs : Sa coiffe

 

 

Album :

(estimations MJDangerous)

La baptême (1997) = 236 000 exemplaires

Je dis Aime (1999) = 532 000 exemplaires

 

Le tour de M (live-2001) = 350 000 exemplaires

Labo M (coffret-2003) = 40 000 exemplaires

 

Qui de nous deux (2003) = 725 000 exemplaires

En tête à tête (live-2005) = 150 700 exemplaires

 

 

Tubes :

· Onde sensuelle

· Je dis M

 

 

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Je me rappelle avoir entendu parler de -M- bien avant la déferlante mais à l'époque je ne m'y était pas intéressé quoique le look du personnge m'avait marquée...

Aujourd'hui j'apprécie beaucoup ce qu'il fait,son univers et tout même si ces tubes sont trop massacrés à mon goût.

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Je ne suis venu que très tard à la musique Française... C'est tout récent, tout comme ma découverte de -M-. Plus jeune j'avais déjà remarqué le "personnage" qui m'avait guère plus, mais depuis que j'ai écouté sa musique je me suis de suite rétracté, ce type a un talent fou.

 

Merci Jeanine pour cet excellent travail.

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  • 2 semaines après...

franckmonnet9yn.jpg #7 FRANCK MONNET

 

Après 'Playa' en 1998 et 'Les Embellies' en l'an 2000, Franck Monnet a sorti son troisième album en octobre 2004. Celui-ci est intitulé 'Au grand jour'. De la même génération qu' Albin de la Simone ou Mathieu Chedid, il a aussi composé de nombreux textes, les siens, et ceux de Vanessa Paradis, entre autres.

 

 

Interview !

 

Franck Monnet , vous sortez votre troisième album intitulé 'Au grand jour', quatre ans après 'Les embellies' : avez-vous l'écriture difficile, une méthode de travail particulière ?

 

Je n'ai pas l'écriture difficile du tout, je n'avais plus de maison de disques, ce qui est une assez bonne raison d'attendre quatre ans. Pour ce qui est de la méthode, je fais la musique d'abord. Une fois que la mélodie est faite, je commence à rentrer les textes dedans. En fait, les mots viennent du son, de ce qu'impose la mélodie, de ce que je chante, et non le contraire.

 

Du point de vue thématique, le fil de l'album semble être le couple : vos inspirations sont-elles autobiographiques ou témoignent-elles simplement de l'évolution de votre travail ?

 

J'avais beaucoup de chansons, trente ou quarante disponibles pour cet album, donc l'idée n'était pas du tout de faire un disque quadruple de toutes mes oeuvres depuis quatre ans, surtout que j'aurais pu en rajouter entre temps ; je voulais faire un disque sur ce sujet-là, sur le couple effectivement. Il n'y a pas toutes les chansons que je voulais mettre, il en manque une ou deux à mon goût, mais je tenais à faire un canevas qui soit autour du couple et de la relation amoureuse, passionnelle, avec les divers sentiments et variations autour de tout cela.

 

Les relations n'y sont pas toujours passionnelles comme dans la chanson 'La Routine' ?

 

Non, quoique 'La Routine' joue un peu sur un mode passionnel ; c'est une personne qui promet à une autre personne que leur vie amoureuse ne sera jamais soumise à cette routine, promesse évidemment éperdue. Mais c'est un mensonge tellement flagrant qu'on ne peut pas supposer que ce soit dit par quelqu'un qui ne soit pas amoureux. C'est ce que je voulais dire dans la chanson.

 

'Au grand jour', comme le disque précédent, a une construction très nette, entre photos et textes d'une part, et une évolution dans les chansons d'autre part : de 'La Routine' à 'T'aimer', feriez-vous preuve d'un optimisme soudain ?

 

'Les embellies' était un disque assez sombre, qui finit sur des deuils. Le parcours de ce disque-là est inverse : il est plus l'histoire d'un éveil à l'indulgence, à un regard sur l'autre qui n'est pas seulement un regard de propriété. Dans la chanson 'T'aimer', a dit à b que b a suffit à a pour se consoler de la perte de c. C'est une vision de l'amour que je trouve assez belle. Et optimiste aussi, parce que cela ne se passe jamais comme ça. Rarement. C'est une chanson qui allait avec une autre qui n'apparaît pas sur le disque : elle parlait de la jalousie possessive, en l'occurrence masculine. D'autres chansons, comme 'L'esclandre", sont sur un mode un peu déluré, très 'chanson française', sur l'inutilité des bagarres dans les ruptures. On vit dans un monde clos où les échanges amoureux entre les uns et les autres rendent vaines les rancunes qu'on s'inflige. C'est le sujet de 'L'esclandre', que j'explique très mal. il vaut mieux que ja fasse des chansons.

 

Vous avez une écriture très littéraire, bien que vous "plaquiez" donc les textes sur des mélodies ?

 

Les mélodies viennent d'abord. Mais sur des chansons comme 'Douce vanité' qui est très construite, qui a un discours, la difficulté est de raconter quelque chose de précis qui aille avec une musique déterminée. Si je ne m'imposais pas ces contraintes, personne ne s'en rendrait compte. Mais j'ai besoin de cet exercice-là. D'où aussi mon goût pour les images précises, pour le vocabulaire recherché. J'essaye de ne pas trop faire de comparaison, je préfère les métaphores, les images qui parlent d'elles-mêmes et d'autres choses, qui ne soient pas univoques. J'utilise rarement des formules comme "Notre amour est comme la mer". J'aime bien les images sous-entendues.

 

Vous avez parfois une diction particulière, vous appuyez certains mots, sur un mode presque théâtral.

 

Ca, je ne m'en rends pas compte. Plusieurs personnes m'ont dit que ma façon de chanter faisait qu'on ne pouvait jamais deviner la fin de la phrase. Je fais attention à ce que les textes soient un peu travaillés, un peu fouillés ; parfois un couplet forme une seule phrase, ce qui oblige à une certaine tenue, à ce que tout soit d'une pièce, qu'on comprenne bien les mots.

 

Il y a une grande variété de genres musicaux dans cet album, vous passez de la variété (au sens noble du terme), à du pop-rock, puis continuez sur une berceuse...

 

Je suis un enfant de l'album blanc des Beatles, de la pop, j'ai aimé l'album 'No comprendo' des Rita Mitsouko qui avait un côté pop-rock de la part de gens capables de faire de vraies chansons mélodieuses... évidemment MacCartney et Lennon. C'est moins avouable, mais je suis aussi un fanatique de Queen qui a aussi rassemblé beaucoup de genres, de la chanson arabisante à l'opérette en passant par le gospel. C'est un pot-au-feu !

La difficulté du concert est de mélanger tout cela : mais c'est devenu un atout d'avoir 'L'esclandre', 'L'orgue Hammond' et 'T'aimer'. Je pense que c'est ce qui fait plaisir, c'est ce que j'aime au théâtre, au cinéma, qu'il y ait une scène de deuil terrible puis, juste après, un clown arrive, tout le monde prend du recul.

 

C'est aussi par cette variété qu' 'Au grand jour' est peut-être plus abordable que 'Les embellies' ?

 

Ce qui faisait plaisir dans 'Les embellies', c'était sa cohérence ; son récit était limpide, et allait de plus en plus vers l'épuration... et la solitude. Dans 'Au grand jour', les chansons sont nées sur scène ; elles ont été crées pour une résidence que j'avais faite à Ivry en 2002. Je voulais faire un spectacle qui soit accessible tout de suite, qui soit dans une atmosphère d'entre-deux. Je savais que j'allais être condamné à n'être pas très nombreux sur scène : je voulais donc maintenir un climat de tension avec des chansons ambiguës, variées. Je suis content que le disque revienne sur scène, c'est là qu'il prend sa source et son ampleur.

 

Une tournée est-elle prévue ?

 

En 2005 avec des festivals, plusieurs concerts à Paris, pour l'instant cela se passe très bien, on va en refaire... Pour moi, l'avenir c'est la scène. Clair et net.

 

(source : evene.fr)

 

Position : L’inconnu du public

 

Signes distinctifs : A écrit l’une des plus belles chansons de Vanessa Paradis : Pourtant

 

Album :

Estimations MJDangerous : 10 000 ex vendus environs

Les embellies (2000)

Au grand jour (2004)

 

Tube :

· La routine

 

monnet1qa.jpg monnet22wm.jpg

 

http://www.franckmonnet.net/

 

#1Thomas Fersen : http://www.chartsinfrance.net/communaute/f...ic4829-0-asc-45

#2 Olivia Ruiz: http://www.chartsinfrance.net/communaute/f...ic4829-0-asc-45

#3 Ridan : http://www.chartsinfrance.net/communaute/f...ic4829-0-asc-60

#4 Raphael: http://www.chartsinfrance.net/communaute/f...ic4829-0-asc-60

#5 Clarika : http://www.chartsinfrance.net/communaute/s...ra344626#344626

#6 M : http://www.chartsinfrance.net/communaute/s...ra344626#344626

#7 Franck Monnet:

http://www.chartsinfrance.net/communaute/ftopic4829-75

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  • 1 mois après...
Invité Moelements

Encore une fois très intéressant Jeanine !

 

Je ne suis pas une grande spécialiste de la jeune dame mais des quelques chansons que je connais, je ne ressens pas vraiment l'influence de Tori Amos ou de Bjork...

 

Peut-on passer commande pour le n°9 ?

Si c'est le cas, je verrais bien Emilie Simon (revoilà les influences) !

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  • 3 semaines après...
Encore une fois très intéressant Jeanine !

 

Je ne suis pas une grande spécialiste de la jeune dame mais des quelques chansons que je connais' date=' je ne ressens pas vraiment l'influence de Tori Amos ou de Bjork...

 

Peut-on passer commande pour le n°9 ?

Si c'est le cas, je verrais bien Emilie Simon (revoilà les influences) ![/quote']

 

Merci...

Concernant la commande, tu as du bol, j'ai perdu ma liste, je vais te concocter ça pour la prochaine fois (d'autant que je l'ai vue en concert....remarque, ce ne sera pas la première de cette série de bio mdr )

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