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Nouvelle Vague : #8 :Jeanne Cherhal


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Invité TheDoor

De cette "nouvelle vague", je connais Vincent Delerm, Carla Bruni, Bénabar et Jeanne Cherhal essentiellement. J'ai du mal avec le premier, aime bien les deux seconds et j'adore carrément la dernière, son album Douze fois par an un génial. J'aime beaucoup Un Couple Normal, Parfait inconnu et Le petit voisin. :D

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Il y a un peut à boire et à manger dans cette liste.......J'adore Carla Bruni, Thomas Fersen,Cali , Luke qui ont des univers tres personnels et accrocheurs , par contre Jeanne Cheral et Sanseverino font un peu tapisserie et certains comme Aldebert ou Delerm commencent un peu à nous pomper avec leurs "lyceennes".

Pas facile de dépasser les maitres qu'etaient Brel, Brassens qui en plus d'etre asses méchants dans certains textes , savaient bien décrire les gens et les situations avec toujours de l'humour et d'ironie, ce qui manque un peu à la scène française.

Enfin , tant qu'on y voit pas Matt Pokorah c'est toujours mieux que rien et puis en définitif c'est mieux qu'un Coldplay qui est d'un ennui.....rien que d'en parler, j'en baille :fatigue2 :mrgreen:

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En ce qui me concerne j'ai commencé à m interresser à cette nouvelle scène francaise vers fin 2001 quand j'ai découvert Benjamin Biolay en achetant son premier album.C'est egalement à ce moment la que j ai decouvert Helena Noguerra sur scène puis Coralie Clement et Keren Ann.

J'ecoute actuellement pas mal l album de Doriand "le grand bain" qui me touche beaucoup.

Par contre je n accroche absolument pas sur Delerm,Benabar au niveau style musical et textes (trop réaliste et généraliste au niveau des thèmes) ni de l'emotion des voix car je n aime pas du tout la voix de Delerm.

J'ai decouvert cette année Camille et j aime beaucoup.

Une autre artiste que j aime vraiment c'est Melissa Mars mais je ne la classerai pas dans cette catégorie de "nouvelle scène francaise" car musicalement c'est moins emprunt du style des précédents cités meme si pour moi i lest un peu trop facile de regrouper tous ces artistes dans une meme mouvance alors que nombreux sont ceux qui ne font pas le meme style ou qui n ont pas la meme démarche.

En tout cas pour moi,benjamin biolay reste un trés grand auteur et compositeur et sort du lot de par l originalité et le raffinement de ces compositions et textes.

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De cette "nouvelle vague"' date=' je connais Vincent Delerm, Carla Bruni, Bénabar et Jeanne Cherhal essentiellement. J'ai du mal avec le premier, aime bien les deux seconds et j'adore carrément la dernière, son album [b']Douze fois par an[/b] un génial. J'aime beaucoup Un Couple Normal, Parfait inconnu et Le petit voisin. :D

 

c'est bien ! Continue ainsi :D

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E pour moi i lest un peu trop facile de regrouper tous ces artistes dans une meme mouvance alors que nombreux sont ceux qui ne font pas le meme style ou qui n ont pas la meme démarche.

 

Je suis d'accord...Chacun a son style....Mais le fait est qu'ils sont peu médiatisés sur CIF !

Voilà pourquoi j'ai créé ce topic...pour les faire découvrir eux aussi :D

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Je suis d'accord avec toi mais les albums de coralie clement (classée vers la 88ème place des meilleurs ventes d albums la semaine de sa sortie) ou de melissa mars (pas du tout classé avec son nouvel album) prouve que ces artistes ont queqles difficultées tout de meme à rencontrer leur public et c'est dommage.

Benjamin biolay a des difficultés egalement j ai l impression avec son dernier album (meme s il a été classé 19 ème des ventes) et pourtant dans son cas ce n est pas la promo qui a manqué.

Camille ou jeanne cherhal sans oublier carla bruni,benabar et delerm sont les seuls j ai l impression à avoir un vrai succés public et commercial

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  • 1 mois après...

ridan2vw.jpg #3 RIDAN

 

Originaire d’Algérie, Ridan arrive en France avec ses parents au début des années 70. Le père monte des entreprises d’informatique, sa femme élève ses trois enfants dont Ridan (Nadir en arabe, on lit de droite à gauche), né en 1975. Venu à la musique par Prince, le jeune chanteur maghrébin inconnu au bataillon tâte d’abord de la production de projets hip-hop ambitieux, participant au disque « 30 rappeurs contre la censure ». Puis la chanson à texte prend le relais. Il se décide à poser des mots sur sa musique, s’impose comme un conteur en béton, distille un charme noir sur la grisaille des vies périphériques. Ridan touche parce qu’il parle de sa vie, traduisant un vécu à fleur de pavé.

 

Brut et percutant, son premier album « Le rêve ou la vie » est servi dans un écrin de velours. Secondé par Alain Félix, l’opus nécessite quatre années de labeur et d’introspection. Dix chansons voient le jour : du travail fait main, contrebasse, violon, piano, guitare à la Georges Brassens mêlés aux machines. Il y a un sentiment d’urgence et de colère rentrée à l’écoute de cet opus qui se situe à la frontière de la révolte et du conseil du grand frère aux jeunes générations. Ridan chante la vie urbaine, le manque de perspectives, l’amour, la liberté. Il laisse parler son spleen sur une trame mélancolique faite d’atmosphères folk « Pauvre con », reggae « Laisse béton » ou blues « Flic’n’ blues ». Ni rap, ni rock agressif. La subversion est dans le propos. Son folk acoustique se pare de violons tziganes pour retracer son parcours « Le rêve » ou se fait bucolique lorsqu’il veut se mettre au vert « L’agriculteur ».

(source : tv5.org)

 

Position : Le frère d’ailleurs

 

Signes distinctifs : Né en Algérie

 

Album :

(estimations MJDangerous)

Le rêve ou la vie (2004) = 50 000 exemplaires

« c'est remarquable pour un album qui n'a été qu'au mieux #86 ! » MJDangerous

 

Tubes :

· Partie de golf

 

ridan22nm.jpg

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  • 2 semaines après...

raphael8xx.jpg #4 RAPHAEL

 

Il faut généralement, dans le milieu si délicat de la chanson française, une sacrée dose de talent et beaucoup de maturité pour être reconnu à la fois par ses pairs et par le public.

 

Certains jeunes artistes font exception à la règle du temps et parviennent, dès leur premier ouvrage, à fédérer les auditeurs autour de leur habileté musicale et littéraire. Raphaël fait partie de ceux-ci: en l'espace d'un album, Hôtel de l'univers, il est passé du statut d'anonyme à celui de référence.

 

Sa gueule d'ange à la Saezpour un titre bien ficelé (Sur la route), ont contribué à l'installer définitivement parmi les stars de la chanson de demain.

 

Gueule d'ange

 

Né le 7 novembre 1975 près de Paris, à Boulogne-Billancourt, Raphaël Haroche est fils du monde. A mi-chemin entre la Russie natale de son père et l'Argentine de sa mère, il grandit en France, bercé par les cultures de ses parents.

 

De ses origines hispano-slaves, Raphaël tire toute sa richesse et son exotisme latents. Fils d'avocats, il grandit dans un milieu aisé, à l'abri du besoin, et peut s'investir pleinement dans ses premières passions, la musique, qu'il découvre sur le piano de ses parents, et la littérature, qui façonnera plus tard sa propre écriture.

 

Bowie

 

Enfant des "eighties", il tombe sous le charme des monuments anglo-saxons de la musique, Bowie en tête. Il se sépare alors du piano pour adopter la guitare, plus propice à l'épanouissement de ses goûts musicaux (Noir Désir, Dylan, Neil Young, Simon et Garfunkel, mais aussi Ferré ou Brel).

 

Naturellement curieux, Raphaël lit beaucoup et s'abreuve de littérature américaine, Burroughs ou Kerouac, Harrison ou Fante. Il écrit alors ses premières chansons, qu'il tente de mettre en musique. Parallèlement, son sens du savoir et de la culture le mène vers de sérieuses études.

 

Après le Bac, il s'inscrit en Fac de Droit après un bref passage par Hypokhâgne, où se côtoie la crème des étudiants francophones. Mais il sait déjà que sa vie est ailleurs, et que rien ne pourra l'éloigner de sa passion musicale.

 

Hôtel de l'univers

 

Il se consacre désormais exclusivement à la musique et travaille d'arrache-pied pendant trois ans à l'élaboration de ses premières chansons. Jusqu'au jour béni où il fait la connaissance de Caroline Manset, la fille du mystérieux et génial Gérard Manset, elle-même auteur et manager. Elle signera entre autres une participation remarquée sur le tant attendu Langage oublié de son père paru en 2004.

 

Grâce à ses encouragements et à la notoriété que lui apporte le nom de Manset, Raphaël décroche un premier contrat chez EMI et y enregistre son premier album, Hôtel de l'univers, en quatre mois. Caroline rentre en compte dans le succès de cet album puisqu'elle y écrit quatre titres et en supervise la production.

 

Sur la route

 

De suite remarqué par la critique, le jeune chanteur se lance sur les routes, pour faire ses preuves et partir à la rencontre du public. Il ouvre la scène à Vanessa Paradis, Jean-Louis Aubert ou encore au grand Bowie. Un baptême qui aura de riches conséquences pour le jeune homme de 26 ans puisqu'il est, d'une part, nominé aux Victoires de la Musique 2002, et que l'ex-chanteur de Téléphone accepte d'enregistrer avec lui un duo remarqué et remarquable, Sur la route.

 

Ce tube, dont le clip façon Take On Me des A-Ha, met en avant la ressemblance musicale et physique des deux artistes, précède de peu la sortie du deuxième opus de Raphaël, La réalité, le 22 avril 2003. Un album exceptionnel pour un chanteur de cet âge.

 

La réalité

 

Certes, Raphaël bénéficie de la participation non moins exceptionnelle de Manset lui-même, mais ce coup de pouce ne remet pas en cause les qualités d'écriture et de chant du jeune chanteur. La couleur musicale de La réalité est unique, entre chanson à texte et pop britannique. Pas étonnant si l'on y retrouve les musiciens de Talk Talk, Bowie, Portishead ou encore le jeune Albin de La Simone.

 

Les mois qui suivront La réalité sont consacrés à la scène et aux médias. On y découvre un jeune artiste sincère et sensible, qui fait déjà de nombreux adeptes dans toutes les générations d'auditeurs, même parmi les jeunes recrues de la Star Academy.

 

Son talent lui confère d'emblée le statut de star et de relève de la chanson française. Son écriture est simple, et parle à tous, d'amour de mort, des doutes de l'existence. Comme si le jeune homme, du haut de ses même pas trente ans, avait acquis une sagesse et une maturité exemplaires. C'est aussi ce qui fait son charme et l'attachement que l'on ressent à l'écoute de ses albums. Et qui nous donne envie d'en savoir plus, d'aller plus loin. Raphaël est un artiste en devenir, attachant et déjà hors du temps.

(source : ramdam)

 

Position : Le petit frère

 

Signes distinctifs : Leader de ce début d’année 2005 dans les ventes d’album

 

Album :

(estimations MJDangerous)

Hôtel de l’univers (2001) = 100 000 exemplaires

La réalité (2003)= 266 000 exemplaires

Caravane (2005) = 823 000 exemplaires

 

Tubes :

· Caravanne

· Sur la route (avec Jean Louis Aubert)

 

raphael18km.jpg raphael25ig.jpg raphael34yb.jpg

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  • 1 mois après...

clarikatte3io.jpg #5 CLARIKA

 

Claire Keszei, dite Clarika, est née le 3 février 1967 à Boulogne-Billancourt en banlieue parisienne. A Annemasse en Haute-Savoie, elle intègre à l'âge de huit ans la fanfare municipale des Cadets où elle y apprend à jouer du fifre. De retour à Paris, elle poursuit cet apprentissage musical. Entre les groupes de punk et de rock tendance Trust, les répétitions dans la cave du batteur avec pour seul public la maman et les cousins du dit batteur ne sont pas franchement excitantes. Clarika continue de chercher sa voie. Inscrite en hypokhâgne, elle décide de tâter de la comédie. Elle prend des cours de théâtre - où elle croise notamment Laurent Lucas que l'on verra plus tard dans le film de Dominik Moll, "Harry, un ami qui vous veut du bien" (2000) - mais renonce rapidement : "Ça manquait de spontanéité, on parlait de Tchekov pendant des heures au fond d'un café et quand on se décidait à répéter, il était 3 heures du mat'. ".Premiers essais musicaux

 

Exit les planches, Clarika s'inscrit rue Ballu au cours du Studio des Variétés. A cette époque, elle rencontre Jean-Jacques Nyssen, chanteur et musicien belge. Le coup de foudre est sentimental mais également artistique. La petite brune au nez en trompette et au caractère bien trempé et le petit timide perdant ses cheveux décident de travailler ensemble. Plusieurs maquettes, de nombreuses cassettes. Le tout est envoyé aux maisons de disques qui font la sourde oreille. François Hadji-Lazaro qui dirige le label indépendant Boucherie Production est interpellé par la voix de la jeune fille. Comme il a décidé de lancer un label chanson "Chantons sous la truie", il signe le premier album en 1994 : "J'attendrai pas cent ans".La pochette de l'album traduit bien le caractère de la donzelle. Sur la photo, mains sur les hanches, les cheveux en pagaille, Clarika, hautaine, défie du regard le monde entier tandis que son Nyssen d'homme roupille paisiblement à l'arrière-plan. D'ailleurs, le titre qui tourne à l'époque sur les ondes s'appelle "Tu dors tout l'temps". Une chanson douce-amère qui mélange avec poésie une scène de vie quotidienne, la rancour du désir inassouvi et l'ironie amoureuse d'un couple qui s'entend à merveille. Car les vers modernes de Clarika (n'est-elle pas la fille d'un poète hongrois Istvan Keszei et d'une prof de lettres) se marient parfaitement avec les orchestrations de Nyssen qui manie aussi bien les cordes que l'accordéon, les casseroles, le biniou ou le ukulélé. Les thèmes abordés dans ce premier album révèlent une certaine noirceur d'âme : la folie et la mort dans "Un peu bizarre", les rêves désabusés d'Eden ou de monde meilleur dans "Mon bel héros", "Superwoman" mais aussi la nostalgie de l'enfance dans "Margot" où les règlements de compte à la récré ne sont pas sans rappeler le "J'ai dix ans" de Souchon. D'ailleurs, la chanteuse revendique le chanteur "bidon" au rang de ses inspirations : "Je me sens assez proche de lui. Et puis, j'aime dans la chanson son côté populaire, qu'elle soit accessible à tous. Et que de ces mots naisse une véritable complicité". Cette complicité sera assouvie avec un public amateur de ses chansons ironiques et acides qui cachent une véritable tendresse. Clarika se produit à Paris, notamment au Sentier des Halles ou au Lucernaire où se retrouvent les admirateurs. Puis elle triomphe en formation acoustique au festival des Francofolies de La Rochelle en juillet 93. Le bouche à oreille fonctionne tant et si bien chez les professionnels que Sony propose de récupérer l'artiste en son giron.

 

Deuxième album: En 1996, sort "Ça s'peut pas". L'album, grâce notamment à l'intervention de Dominique Blanc-Francard comme producteur artistique et de moyens plus importants, prend de l'épaisseur musicale. L'acidité devient acidulée, mais les thèmes restent les mêmes. Les rapports garçons/filles sont exacerbés notamment avec la chanson phare, "T'es Beau comme garçon" aux paroles définitives pour les play-boys des bacs à sable : "T'es beau comme garçon / Mais y'a tant d'air dans ta tête / Qu'on peut y faire de l'avion". Les bellâtres sont K.O. debout et le public se lève pour applaudir la chanteuse. Clarika devient la figure de proue d'une chanson qui n'a pas droit à l'exposition des grands médias télé ou radio mais qui draine avec elle toute une génération de jeunes artistes renouvelant le genre : Mano Solo (dont le guitariste Jean-Louis Solans joue sur le premier album de Clarika), Les Elles, Rachel des Bois ou la Grande Sophie qui fait souvent les choeurs pour Clarika et Nyssen. La presse spécialisée s'empare de la petite chanteuse, phénoménale de talent. Tous saluent le bagou et l'ironie de Clarika qui sur scène comme sur disque, rend hommage en une même chanson aux Bee Gees et à France Gall. Elle mélange les choeurs des uns avec les paroles de l'autre sur "J'suis game over" : "Résistes / Prouves que tu existes". A la vacuité d'un quotidien déprimant, Clarika enchaîne la plus belle des déclarations d'amour. C'est "Non, ça s'peut pas" : "On se dévore des yeux / Sous la lune sanguine / Et on se croit plus malin / Et on a peur de rien". Ce n'est pas tant la qualité du verbe que son interprétation qui conquiert le public. La chanteuse est désarmante de naturelle sur scène comme hors de scène et la cloison entre vie artistique et vie publique est si ténue que parfois les deux se confondent. Tant et si bien que Jean-Jacques Nyssen reprend à son compte cette chanson et la détourne (autodérision permanente du couple) en une bouillie pré-technoïde sur son propre album "Le parcours" en 1999.

 

Premier prix: En 98, Clarika reçoit au festival des Francofolies le prix Félix Leclerc du meilleur jeune auteur. L'aura de Clarika prend de l'ampleur et on l'invite désormais aux grand' messes caritatives et discographiques. C'est ainsi qu'elle écrit pour Sol en si "L'Océan des Possibles" qu'elle interprète en duo avec un autre chanteur d'origine hongroise, Michel Jonasz.Après une préparation en résidence-chanson au Théâtre d'Ivry en banlieue parisienne, "La fille, tu sais" est le troisième album enregistré en 2001, par Clarika, toujours avec la complicité de Jean-Jacques Nyssen. L'album s'ouvre sur une chanson sulfureuse et comique, "Les garçons dans les vestiaires". Clarika y fantasme, le sourire aux lèvres, sur les désirs et les délires des garçons sous la douche. D'ailleurs, la chanson donnera lieu à un clip en petite tenue, tourné avec les joueurs de rugby du Stade français, réputés pour leurs poses suggestives dans des calendriers sexy.Des ambiances de stade, Clarika revient à ses origines magyares avec "Heureux" où l'accompagnement est assuré par les Moujiks. Puis évoque les amours saphiques de "Deux Anglaises" à l'aide d'une simple guitare, d'un accordéon et d'une voix qui jamais ne se dépare de cet émouvant vibrato de jeune fille fatiguée.En 2001, Clarika participe à l'album compilation "Ma chanson d'enfance" où elle reprend "La ballade irlandaise" immortalisée par Bourvil. On peut aussi l'entendre sur le dessin animé "Bécassine, le trésor des Vikings" de Philippe Vidal pour lequel elle interprète "Etre un ami pour la vie".

 

"Joker"Il faut attendre 2005 pour voir le véritable retour de la chanteuse. Elle se produit en première partie de Zazie dans son "Rodeo Tour" de juin à septembre. Mais c'est avec "Joker", un album qui sort en septembre que Clarika refait surface. Elle signe la plupart des textes. Souvent drôle, cultivant allègrement le double sens, la jeune femme parle de la vie avec des mots simples mais percutants. Les compositions sont assurées dans leur grande majorité par le fidèle Jean-Jacques Nyssen. Il faut noter la présence sur cet album de deux chansons plus anciennes, deux duos : "L'océan des possibles" avec Michel Jonasz et "Non, ça s'peut pas" avec Bernard Lavilliers. La jeune femme propose un spectacle à Paris au Divan du Monde à Paris du 15 au 19 novembre. *Maniant espièglerie et passion, cynisme et tendresse, Clarika, sous couvert de son image de jeune fille gentiment foldingue s'est imposée en trois albums comme l'étalon, en France, d'une chanson toujours vive et alerte

 

(source : rfimusique)

 

Position : L’inconnue sur le retour

 

Signes distinctifs :

 

Album :

(estimations MJDangerous)

J’attendrais pas 100 ans (1993) = ??? exemplaires

Ca s’peut pas (1993) = ??? exemplaires

La fille, tu sais (2001) = ??? exemplaires

Joker (2005) = 18 000 exemplaires

 

Tubes :

· Les garçons dans les vestiaires

· Beau comme garçon

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