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[topic Officiel] Michael Jackson Vol. 2


Michael Jackson - Topic Officiel  

181 membres ont voté

  1. 1. Quel est votre album préféré de Michael Jackson ?

    • Off The Wall (1979)
      5
    • Thriller (1982)
      68
    • Bad (1987)
      32
    • Dangerous (1991)
      40
    • HIStory (1995)
      27
    • Blood On The Dance Floor - HIStory In The Mix - (1997)
      0
    • Invincible (2001)
      11
  2. 2. Tubes préférés ?

    • Don't Stop 'til You Get Enough
      21
    • Rock with You
      19
    • Billie Jean
      80
    • Beat It
      65
    • Thriller
      66
    • Bad
      48
    • The Way You Make Me Feel
      29
    • Man In The Mirror
      38
    • Black or White
      65
    • Heal The World
      37
    • Who Is It
      31
    • You Are Not Alone
      37
    • Earth Song
      60
    • Blood On the Dance Floor
      16
    • You Rock My World
      43
  3. 3. Un nouvel album de Michael Jackson ?

    • Je n'attends que çaaaa !
      63
    • Ca m'interesse, je l'acheterai surement
      35
    • Je ne sais pas encore, ça dépendra des extraits
      29
    • Pas de ça chez moi !
      9
    • Il ne sortira pas de nouvel album de toute façon !
      47


Messages recommandés

Pour ma part :

 

2000 Watts

Invincible

Dangerous

Unbreakable

Scream

 

Don't Stop 'til You Get Enough

Shake Ur Body Down

Rock With You

Wanna Be Startin Somethin'

 

Who Is It

Heal The World

Speechless

Earth Song

 

Tabloïd Junkie

Privacy

D.S

Beat It

Give In To Me

 

Heartbreaker

They Don't Care About Us

Bad

You Rock My World

Billie Jean

 

Reprise

Thriller

Threatened

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et le costume <_< Au fait, le masque est bien pratique pour le danseur qui remplace Jackson à la fin de la chanson...

 

 

 

Comme les boiboite a la fin de man in the mirror qui permette au cascadeur de prendre la place de MJ pour s'envoler au dessus de la foule :mrgreen:

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Bon, ça n'a rien à voir avec l'actu, mais je viens de tomber sur cette blague du Nouvel Observateur paru en 2003 et qui m'a fait pas mal rigoler. Les 'fanatiques' lol, c'est à prendre au second degré! Par contre, tout ce qui est dit est vrai, c'est même sacrément instructif à vrai dire, le fond est plus vrai que 99% des articles qu'on peut lire sur Jackson:

 

Imaginons que Michael Jackson et sa famille (son père, ses frères...) viennent témoigner au «Jerry Springer Show», le talk-show le plus célèbre et le plus trash de la télévision américaine. Il est à craindre que cela donnerait à peu près ce qui suit. Précisons que, dans ce dialogue imaginaire, toutes les informations sont véridiques

 

 

 

Jerry Springer. – Bienvenue au «Jerry Springer Show». Mon invité, aujourd’hui, s’appelle Michael.

Michael Jackson. – Bonjour Jerry.

Jerry Springer. – Michael, que se passe-t-il?

Michael Jackson. – Eh bien, j’ai 40 ans et des poussières. Et je crois qu’il est temps de régler quelques comptes avec mon père. Vous savez comment il me surnommait quand j’étais petit? Gros Nez. Il y a des choses qui ne passent pas. Comme dit Eminem, je voudrais vider mon placard, Jerry.

Jerry Springer. – Accueillons Joe, le père de Michael.

Michael Jackson. – Je devrais te coller un procès pour cruauté mentale.

Joe Jackson. – Désolé, Michael, mais ce n’était pas de la cruauté mentale, c’était juste un constat. A l’époque, tu avais effectivement un gros nez.

Michael Jackson. – Vous voyez, Jerry, il me nargue. Je n’ai jamais eu de saines relations avec mon père. Quand nous étions enfants, mes frères et moi, son grand jeu, c’était de monter sur le rebord de la fenêtre de notre chambre et de nous effrayer en poussant des hurlements.

Joe Jackson. – Si on ne peut plus plaisanter, Jerry. Mon fils prend tout au tragique. Nous étions une famille noire américaine sans histoires. Nous vivions à Gary, Indiana. On était onze dans un deux-pièces salon…

Michael Jackson. – La maison était à peine plus grande qu’un garage. Cinq pas de long, au grand maximum.

Joe Jackson. – Tu te souviens des doubles lits superposés de votre chambre? En haut, il y avait Tito et Jermaine; au milieu, toi et Marlon; en bas, Jackie. Tes trois sœurs, Maureen, La Toya, Janet, dormaient sur un canapé convertible dans le salon, avec le petit Randy.

Michael Jackson(en larmes). – N’essaie pas de m’attendrir. Ça ne prend pas.

Joe Jackson. – Ma femme Katherine et moi, on n’avait pas beaucoup d’argent, Jerry, mais on était heureux.

Michael Jackson. – Quand j’ai eu 5 ans, maman est devenu Témoin de Jéhovah.

Joe Jackson. – Katherine est une femme très courageuse et très sensible.

Michael Jackson. – Elle a eu la polio. A l’école, ses camarades se moquaient de son infirmité… Comme toi, tu te moquais de mon gros nez…

Joe Jackson. – Allons, Michael, ne dis pas de sottises... Personnellement, je n’ai jamais été un Témoin de Jéhovah. Ce qui me plaisait dans cette religion, ce n’était pas la spiritualité, c’était la discipline.

Jerry Springer. – Michael, si contestables soient-elles, vous ne pouvez pas nier que vous devez une bonne part de votre succès aux méthodes éducatives de Joe.

Joe Jackson. – Ah, tu vois. Même Jerry le dit. Il était temps d’ailleurs que quelqu’un le dise…

Michael Jackson. – Mon père a voulu accomplir à travers moi ce qu’il n’a pas pu réaliser lui-même. Il travaillait comme grutier à Chicago de 16 heures à minuit. Il avait formé un petit groupe de rhythm and blues, les Falcons, avec son frère Luther. Un échec cuisant. A la fin, il a remisé sa guitare dans le placard de sa chambre et il s’est mis dans la tête de faire de nous, ses fils, un groupe vocal.

Joe Jackson. – Je les ai d’abord appelés les Ripples and Waves Plus Michael, puis les Jackson Brothers puis les Jackson 5.

Michael Jackson. – On répétait comme des forcenés, le matin, avant l’école, et l’après-midi, après l’école.

Jerry Springer. – A ce propos, je voudrais maintenant accueillir votre frère Jermaine. Bienvenue au «Jerry Springer Show», Jermaine. Vous avez quelque chose à dire à Michael.

Jermaine Jackson. – Bonjour Jerry, bonjour papa. Eh bien, voilà… En fait, au début, le chanteur leader du groupe, c’était moi… Et puis… Excusez-moi, c’est un peu… douloureux… Et puis, un jour, ma mère a entendu Michael chanter du James Brown… Tu avais quel âge?

Michael Jackson. – 4 ans.

Jermaine Jackson. – Ce jour-là, quand papa est rentré à la maison, maman s’est précipitée vers la porte pour lui dire ces mots qui se sont gravés à jamais dans ma mémoire: «Chéri, je crois que nous avons trouvé un autre chanteur leader.» Pour moi, c’était la fin du rêve. On me reniait, on me répudiait.

Joe Jackson. – Tu te trompes, Jermaine. Ce n’était ni un reniement ni une répudiation… L’essentiel, c’est que tu as fait un beau mariage. Mon fils a épousé Hazel Gordy, la fille de Berry Gordy, le fondateur de Tamla Motown, Jerry… Et pour le reste, Michael est un bien meilleur chanteur et danseur que toi, voilà tout.

Jermaine Jackson(hargneux). – Ça reste à prouver…

Joe Jackson. – A un an et demi, Michael dansait déjà au rythme de la machine à laver, Jerry.

Jermaine Jackson(ricaneur). – Jerry, il faut que vous sachiez qu’au début le public croyait que Michael était un nain. Pas un enfant, non, un nain. Mon frère Jackie et moi, ça nous faisait pleurer de rire.

Michael Jackson(en larmes). – Ce n’était pas drôle. Moi, ça me crucifiait.

Joe Jackson. – Nain ou extraterrestre, peu importe. L’essentiel, c’est que tout le monde parlait du chanteur leader des Jackson 5. L’art de la communication moderne: c’est ce que j’essayais d’enseigner à mon fils, Jerry. Vous savez, j’ai toujours voulu ce qu’il y avait de meilleur pour mes enfants.

Jermaine Jackson. – Pendant les répétitions, tu nous fouettais à coups de ceinture.

Michael Jackson (en larmes). – Mon père… Mon père m’a volé mon enfance, Jerry… Une fois, tu m’as giflé de toutes tes forces parce que je refusais de faire un pas de danse comme tu l’exigeais. Une autre fois, tu m’as poussé si fort que je suis tombé sur la batterie. Une autre fois…

Jerry Springer. – On a compris le message, Michael.

Joe Jackson. – Je vous mettais la pression, c’est vrai. Mais c’était pour notre bien commun.

Jermaine Jackson. – Nous étions les enfants et nous étions entièrement responsables de la santé financière de la famille. On a enregistré 469 morceaux entre 1969 et 1975.

Michael Jackson. – Si tu veux que tes parents et tes sœurs aient quelque chose à manger, chante. Vous imaginez le sentiment de culpabilité qui pesait sur moi? Après une enfance pareille, étonnez-vous que je bloque sur Peter Pan.

Joe Jackson. – Mes petits amours, je vous rappelle que je travaillais, moi aussi.

Michael Jackson . – A partir de 1968, tu ne travaillais plus qu’à mi-temps pour te consacrer à la carrière des Jackson 5.

Jermaine Jackson. – Vous savez ce que mon père préférait dans le métier d’imprésario, Jerry? C’était de coucher avec nos fans. Et nous, on ne devait surtout rien dire à maman. Tu te souviens de la fille du Kansas? Au début, elle flashait sur Jackie, mais elle s’est pris une veste et elle s’est rabattue sur papa. Pas vrai, papa?

Michael Jackson. – Maman était détruite.

Jermaine Jackson. – Je me suis toujours demandé si tu avais couché avec la fille de Cleveland aussi, tu sais, la femme mariée, celle qui avait d’abord couché avec Jackie, puis avec moi.

Joe Jackson. – Joker.

Jermaine Jackson. – Le plus amusant, c’est qu’on a quand même fait la couverture du magazine «Ebony»… La famille modèle… Quelle mascarade…

Joe Jackson. – La communication, rien n’est plus important que la communication. Nous sommes la première famille noire à avoir eu son propre show télévisé, Jerry. Je me souviens du bon mot de Michael: «Nous sommes les Jackson. Ceux qui s’attendaient à voir les Osmond Brothers, ne touchez pas à la touche couleur de votre téléviseur!»

Michael Jackson. – Ne détourne pas la conversation, s’il te plaît.

Joe Jackson. – Mettez-vous à ma place, Jerry. Mes propres enfants me haïssaient alors que je leur avais consacré 100% de mon savoir-faire et de mon énergie. On ne me témoignait aucune tendresse au sein de ma propre famille. J’étais le Père Fouettard, le méchant manager. Alors, oui, j’allais voir ailleurs, c’est vrai. Et vous auriez fait la même chose que moi, Jerry, j’en suis sûr.

Michael Jackson. – Mon père n’a aucune moralité, Jerry. Il nous faisait chanter dans des clubs de strip-tease, dans ces endroits horribles où l’on considère les femmes comme de purs objets sexuels…

Jermaine Jackson. – Excuse-moi, Michael, mais moi, j’aimais bien jouer dans ces boîtes-là.

Joe Jackson. – Bien dit, mec!

Michael Jackson. – Ça ne m’étonne pas de toi… En tournée, Jermaine ramenait souvent une fille dans la chambre d’hôtel. Pendant qu’il s’occupait d’elle, je devais me tourner vers le mur. C’était… cauchemardesque.

Jermaine Jackson. – Quand j’en avais fini avec la fille, j’entendais la voix de fausset de Michael me dire: «Du bon boulot. Bon, maintenant, est-ce qu’on pourrait enfin dormir?» Michael a toujours été un coincé du cul.

Michael Jackson. – Je suis peut-être un coincé du cul, mais moi, j’ai fait une carrière solo et j’ai vendu 37 millions d’exemplaires de «Thriller». OK?

Joe Jackson. – Et ton dernier CD, «Invincible», il s’est vendu à combien, mec? A 37 millions d’exemplaires, peut-être?

Michael Jackson. – En tout cas, moi, je n’ai jamais enregistré de duo avec cette tocarde de Pia Zadora, comme Jermaine.

Joe Jackson. – Un point pour toi, Michael.

Jerry Springer. – A propos de duo, voici maintenant Cheryl Terrell. Racontez-nous votre histoire, Cheryl.

Cheryl Terrell. – J’ai rencontré Joe en 1973. Nous avons eu une petite fille. Joe venait nous rendre visite en Rolls blanche, en limousine noire. Les voisins te prenaient pour un maquereau, tu te souviens? Joe a toujours été un père aimant pour ma fille.

Jermaine Jackson. – Après ça, moi, je ne comprenais pas pourquoi maman restait encore avec papa. Je crois qu’elle l’aimait tout simplement.

Jerry Springer. – Tout cela est très émouvant. Maintenant, s’il vous plaît, je voudrais accueillir Gina Sprague. Joe, vous connaissez Gina, je crois. Gina a gentiment a accepté notre invitation.

Gina Sprague. – Une invitation au «Jerry Springer Show», ça ne se refuse pas, Jerry.

Jerry Springer. – Racontez-nous votre histoire, Gina.

Gina Sprague. – Moi, je voulais faire une carrière dans le show-business. J’avais gagné quelques concours de danse. J’ai commencé à travailler comme réceptionniste à la société de production de Joe, sur Sunset Boulevard. Joe est un homme bien, mais c’est un homme qui a besoin d’être rassuré. Je trouvais que ses enfants lui manquaient de respect. Sans lui, vous ne seriez pas là, mes chéris. C’est lui qui a fait de vous des mégasuperstars. Vous devriez lui baiser tous les jours les orteils, à cet homme-là. Moi, je le trouvais beau comme un lion, d’ailleurs, son signe astrologique, c’est le Lion, comme moi.

Jerry Springer. – Vous aviez une liaison avec lui?

Gina Sprague. – C’est vous qui le dites, Jerry. Un jour, j’ai vu débarquer Katherine, Janet et Randy. C’était le 16 octobre 1980. J’étais à la réception. Janet a commencé à me tordre le poignet, tandis que sa mère me tirait les cheveux et me frappait avec son sac à main en me disant: «Laisse mon homme tranquille, salope.»

Jerry Springer. – Et après?

Joe Jackson. – Gina m’a attaqué en justice. Elle me demandait 21 millions de dollars de dommages et intérêts. Deux ans plus tard, ma femme a demandé le divorce…

Jermaine Jackson. – Bien fait pour toi, mec!

Michael Jackson. – Ça t’apprendra à te conduire comme un gentleman…

Joe Jackson. – …En 1983, Michael m’a viré… Mon propre fils, Jerry… La putain de chair de ma putain de chair…

Michael Jackson . – Ce type se dit mon père et il ne pense qu’à me voler mes trophées personnels pour créer un musée Michael Jackson à Las Vegas et se faire des couilles en or…

Joe Jackson. – Je suis ton père, Michael, et tu auras beau me virer, tu auras beau subir 100000 opérations de chirurgie esthétique pour ne plus me ressembler, sache que tu seras toujours mon putain de fils, quoi que tu fasses… Je suis toi et tu es moi.

Michael Jackson. – C’est triste à dire, Jerry, mais je dois être le seul gentleman de cette famille.

Jerry Springer. – Justement, nous avons votre ex-femme, Lisa Marie Presley, la fille d’Elvis Presley, en duplex. Lisa Marie, nous sommes ravis de vous avoir avec nous. Vous avez quelque chose à dire à Michael…

Lisa Marie Presley. – Salut Jerry, salut Michael. D’abord, je voudrais dire que tout ce qu’on a dit sur Michael et les petits garçons, c’est des gros bobards…

Joe Jackson. – Bien dit ! Si mon fils était pédophile, je le saurais. Mon fils est un Jackson. Les Jackson ne sont pas des pédophiles, Jerry.

Jermaine Jackson. – Tout ça, c’est rien que des rumeurs immondes.

Joe Jackson. – Un artiste noir qui réussit, ça dérange.

Jerry Springer. – Comme c’est beau la famille.

Lisa Marie Presley. – Le père du môme a accepté de l’argent pour étouffer l’affaire… Moi, si on faisait ça à mes gosses, je vous prends le type par les couilles et je vous le pends à un arbre jusqu’à ce que mort s’ensuive.

Gina Sprague et Cheryl Terrell. – Moi aussi!

Joe Jackson. – Si je puis me permettre, Jerry, vous auriez dû inviter sur votre plateau ce dingo qui ose accuser Michael d’avoir violé son fils. Ce type n’a pas deux cents de crédibilité. D’abord, c’est un dentiste. Ensuite, il est criblé de dettes. Et le comble, c’est qu’il écrit des scénarios pour… Mel Brooks.

Jermaine Jackson. – Mon père ne plaisante pas, Jerry. Ce taré a écrit les dialogues de la série télé «Robin des bois ou les Hommes en collant». C’est tout dire.

Lisa Marie Presley. – Moi, ce qui vraiment m’a choqué, Michael, c’est quand tu as brandi ton bébé, Prince Michael II, au-dessus du vide, au 5e étage, sur le balcon de ton hôtel à Berlin… Merde, tu as 45 ans, trois beaux enfants, conduis-toi en homme responsable… Quelle image de toi crois-tu donner à tes aînés, Prince Michael et Paris Michael?

Michael Jackson. – Je voulais… je voulais faire comme Rafiki, le babouin bleu qui brandit le petit Simba dans «le Roi Lion».

Lisa Marie Presley. – Ce n’est pas une raison suffisante, Michael.

Jerry Springer. – Depuis cet incident, on a édité un jeu vidéo où le joueur doit rattraper dans un panier des bébés lancés par Michael du haut d’un immeuble. Et Eminem, depuis le balcon du même hôtel à Berlin, a jeté en l’air un baigneur, pour se moquer de vous.

Joe Jackson. – Ah, Jerry, parfois, j’en ai assez de cette putain de société du spectacle.

Jerry Springer. – Pardon d’insister, mais nous connaissons la maman de Paris Michael et de Prince Michael – Debbie Rowe, l’ex-assistante de votre dermatologue – mais nous ignorons tout de la mère de Prince Michael II.

Joe Jackson (fièrement). – La seule chose que je puis vous dire, c’est que c’est quelqu’un de notre communauté.

Michael Jackson. – Vous n’en saurez pas plus. Je vous l’ai dit, Michael Jackson est un gentleman.

Lisa Marie Presley. – Eh, gentleman, je voulais quand même te dire qu’il y a une chose que je ne t’ai jamais pardonnée. Qu’on raconte des bobards sur toi, je ne suis pas pour. Mais que tu racontes des bobards sur les autres, je suis contre… Pendant notre mariage, tu m’interdisais de parler de toi dans les interviews, mais, toi, tu ne te gênais pas pour parler de moi… Un jour dans «TV Guide», j’ai lu ces mots de toi: «Lisa Marie m’a dit que son père avait subi une opération de chirurgie esthétique au nez.» Un gros bobard. Elvis avait un nez 100% naturel, contrairement à toi, Michael…

Joe Jackson et Jermaine Jackson. – Gros Nez! Gros nez! Gros Nez!

(Michael Jackson quitte le plateau en larmes et en faisant son pas de moonwalk.)

Jerry Springer. – Merci de votre fidélité… C’était le «Jerry Springer Show». A demain, pour une nouvelle émission, sur le thème: «Echangisme: jamais sans ma sœur jumelle». Fabrice Pliskin

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Deux chose qui vont pas:

 

-Lisa-Marie qui appelle son propre père "Elvis", ce n'est pas très logique

-En 2003, Thriller ne s'est vendu qu'à 37 millions ???

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Deux chose qui vont pas:

 

-Lisa-Marie qui appelle son propre père "Elvis", ce n'est pas très logique

-En 2003, Thriller ne s'est vendu qu'à 37 millions ???

 

C'est une erreur.

Deja rien qu'à l'heure actuelle Thriller s'est vendu à 28 millions d'exemplaires (28x certifié platine par la RIAA) donc c'est pas logique...

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Michael Jackson a commencé les répétitions de sa tournée il y a quelques jours.

On l'a plusieurs fois vu sortir d'un studio de danse à Los Angeles.

 

Il devrait etre accompagné par la même équipe de chorégraphes qu'au History Tour.

 

 

Rumeur : Michael Jackson à paris ?

Le promoteur anglais, Randy Phillips, a révelé lundi dans les colonnes du Parisien que Michael Jackson pourrait poursuivre par une tournée mondiale. Et Paris en serait une étape obligée.

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  • 2 semaines après...

Merci pour toutes ces infos Tia,

J'avoue que depuis que j'ai mon billet pour Londres je ne fais plus du tout attention à la planete Jackson.

 

Je prefere décrocher et m'y remettre quand il remontera sur scene en juillet.

Les prochains mois ne seront que rumeurs et spéculations...

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