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Charlotte Gainsbourg - Stage Whisper


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J'espèere d'ailleurs que IRM sera encore plus déroutant que 5:55, plus expérimental, moins pop. Histoire de laisser une partie des fans de super pop de côté. Ce titre IRM en prend la bonne direction ! C'est du Animal Co mélanger à du Beck des années 2000. Avec le teaser en plus qui explique le pourquoi du titre, c'est un bonheur.

Et c'est vrai Ralphie que ce titre IRM me rappelle quelques sonorités du dernier opus des Portishead (Rythmique et voix désynchronisée)

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J'espèere d'ailleurs que IRM sera encore plus déroutant que 5:55, plus expérimental, moins pop. Histoire de laisser une partie des fans de super pop de côté.

 

C'est quoi ce discours? Pourquoi faudrait-il qu'une partie des fans soit laissée de côté?

Ce genre de discours d'autoproclamés "Happy Few" me gonfle clairement.

 

J'aime bien ce morceau même si on ne reconnaît que trop peu la voix de Charlotte. Je pense que ce titre sera sûrement un morceau à part sur l'album mais je suis content qu'elle se lâche un peu, qu'elle pousse sa voix comme sur le titre "Everything i cannot see".

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Moi ça me met l'eau à la bouche, bien moins accessible mais réellement bon à mes yeux ! Suis resté scotché aux premières écoutes, tres attentif du moins.

Le fait que ce soit une piste de l'album et pas le single qui le portera me réjouis encore plus!!

Vivement qu'on entendre le reste, ça me plaira j'en suis certain.

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Charlotte parle de son album pour les inrocks

Vous venez de mettre sur le net un premier extrait de votre deuxième album, IRM. Sur ce morceau, on entend de véritables bruits IRM, pourquoi ?

C'est quelque chose qui s'est mélangé à ma vie. Avant d'enregistrer ce disque, c'est la première chose à laquelle j'ai pensé. J'ai fait beaucoup d'IRM après un accident de ski nautique, et alors même que je passais les examens, je me disais qu'il fallait faire quelque chose de ces sons. J'ai fait tellement d'IRM – la majorité pour me rassurer, pour me convaincre qu'il n'y avait plus de problèmes – que ce son m'est devenu familier, il n'était plus du tout dérangeant pour moi. Et puis rythmiquement il y a quelque chose dans le bruit de ces machines. Ça ne m'a pas bercé, mais presque. J'avais envie de leur rendre ça.

 

Comment avez-vous rencontré Beck, qui a réalisé tout l'album ?

Je l'ai rencontré au moment ou j'ai enregistré mon premier disque. On s'est croisé dans les studios d'enregistrement de Nigel Godrich, à Los Angeles. Godrich produisait mon album et le sien en même temps. J'ai toujours beaucoup écouté sa musique, et surtout j'ai adoré son dernier album, Modern Guilt. C'est ma maison de disque qui l'a contacté pour ce disque, je n'aurai pas osé le faire personnellement, j'aurai eu trop peur qu'il refuse.

 

Beck et vous êtes deux personnes plutôt réservées, comment ça s'est passé au quotidien ?

 

Au départ j'étais très intimidée par lui, et c'est vrai qu'on ne se disait pas grand-chose. On a organisé cinq jours de studio pour voir ce qu'on allait pourvoir faire ensemble, et ça s'est hyper bien passé. J'ai le sentiment de m'être plus amusée sur cet album que sur le précédent, même si ça n'a pas toujours été une partie de plaisir. Beck m'a demandé d'être très présente, on écrivait ensemble dans le studio, chacun dans notre coin au début, et puis il m'a vraiment sollicitée, en guettant mes réactions, en les intégrant à son travail. Il a vraiment tout fait pour me mettre à l'aise, il m'a poussé le plus possible. Et au final, j'ai amené des titres, j'ai même joué un peu de piano…

 

Vous avez bossé un peu quoi…

Ah oui, j'ai bossé énormément (rires). Il m'a aussi poussé à écrire en français, j'ai essayé, mais je trouve toujours ça difficile en chanson. L'anglais est plus évident pour moi. Je me suis donc contenté de sélectionner des poésies d'Apollinaire et de les dire. Ensuite il m'a convaincu de chanter une reprise du Chat du Café des Artistes, un titre du Québécois Jean-Pierre Ferland. C'est une chanson incroyable qu'il a sortie de son chapeau.

 

En mai dernier, vous avez été récompensée par le prix d'interprétation à Cannes, c'est une forme de légitimation pour vous ?

Oui c'est important. Le succès ou l'échec d'un film, c'est tellement vite passé qu'un prix comme celui-là ça rassure. Surtout d'être récompensée pour ce film qui n'était pas évident pour moi, c'était important. Ça m'a donné raison.

 

Vous venez de finir le tournage du prochain film de Julie Bertucceli, une jeune réalisatrice française, en Australie.

 

C'était une sacrée expérience, j'ai passé beaucoup de temps au fin fonds de la campagne australienne, c'est très très désertique. J'ai même vu les fumées rouges du côté de Brisbane, c'était à la fois assez inquiétant et très beau, le ciel était orange.

 

Album : IRM (Because Music), à paraître le 7 décembre

Lien vers l'article: http://www.lesinrock...e-de-son-album/

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  • 2 semaines après...

Une review de l'album, titre par titre (je n'ai pas la source):

 

Master's Hand

Starts off a little oriental, then changes into a Tom Waits-ish (steel percussion, repetitive acoustic guitar, distorted bassdrum) song. Charlotte's voice is barely more than a whisper, melody is like a nursery rhyme. Lyric: 'Breathe out, come to life, give me a reason to feel.' Strings come in, Charlotte wails. Promising intro.

 

IRM

You know this, you can download it for free on Char's site. It rattles, hums and clinks like a MRI-scanner (IRM=MRI in French). Big fat drums, Beck wails with Charlotte. Scary stuff, in a good way.

 

Le chat du café des artistes

A cover of Canadian singer Jean-Pierre Ferland, a track that in it's original form sounded like an outtake of Histoire de Melody Nelson. It still does, with it's downtempo drums, dramatic strings, freaky guitar and breathy French vocals. Best track on the album.

In the End

Acoustic ditty, with guitar, xylophone and strings. Shortest track on the album (2 minutes). Lyric: 'Who's to say it's all for the best, in the end.' The end of an affair?

 

Heaven can wait

Ah yes, phat drums again, piano, guitars. This is Beck allright, heck, he even sings with Charlotte. IRM was about Charlotte's MRI-scan (after her accident), this song could be about her surviving the brain hemmorhage. Brass section marches in, it all sounds very folky and upbeat. Lyric: 'And they try to drive that escalator down in the ground.'

 

Me and Jane Doe

Fast bassdrum, but not very prominent. Beck wails, Charlotte nanana's. Doubled-up voice, almost like a drone. Lyric: 'I'd like to unplug the phone, send messages with a mirror.' Could've been a My Brightest Diamond-track.

 

Vanities

V-e-r-y s-l-o-w. Charlotte sounds extremely delicate. Hushed strings, that come up in Bernard Hermann-y way. Gentle harp-playing. Almost no lyrics, a song for sweet dreams.

 

Time of the Assassins

Also the title of a book by Henry Miller on Rimbaud's poetry. And an album by Nickel Creek. Hmm. Starts off acoustic, the chorus has analogs synths, Beck wails and Charlotte swoons. Air could've produced this.

 

Trick Pony

This has Beck written all over it, with big drums, odd effects, surf guitars and a bassdriven groove. Charlotte sings about CC Riders, sexy eyes and, yes, a trick pony. Ah, and there's a black tambourine.

 

Greenwich Mean Time/Crooked Man

Title is still TBC. Again that growling bass, Charlotte's voice is distorted. Beck joins in the chorus. GMT is mentioned, so is the crooked man. Lyric: 'We're so fine, we fit together like nickels on the dime.' Form over function. Not my most favourite track on the album.

 

Dandelion

Is this a T-Rex cover? Or is Beck channeling Iggy Pop's Nightclubbing? Great shuffle, Charlotte sounds smoking hot. If I were a stripper, I'd choose this song to take my clothes off too. Because of the strings, it has a big Melody Nelson-feel. Second-best song on the album.

 

Voyage

Dramatic strings, rattling drums. Lyrics partly French (Voyage au bout de la nuit, Louis-Ferdinand Céline is quoted?), partly English. Tense track, that gets a bit of air thanks to Charlotte's angelic voice. Dark and sexy.

 

La collectioneuse

Some French lyrics, but mostly sung in English. Treated piano, spacey sounds, Melody Nelson-tempo. In the 5.55 vein again, which isn't a bad thing. Plush music like this fit Charlotte's voice best. Strings build and build, Charlotte whispers. Piano goes offkey. Great ending.

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Me languis...

Les précommandes sont tombées sur le site de la Fnac ! 3 versions pour l'album : simple, collector et collector deluxe ! On ne sait que les prix. A nôter que le collector deluxe est à environ 80 euros... En farfouillant sur d'autres sites cette édition comporterait... 5 cd !!! Mais quoi ? Des 2 titres ? Des remixes ? Bref on est dans la supposition... On devrait en savoir plus prochainement...

Me languis (bis)...blush.gif

 

 

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J'espèere d'ailleurs que IRM sera encore plus déroutant que 5:55, plus expérimental, moins pop. Histoire de laisser une partie des fans de super pop de côté.

 

Oh bah oui, il faudrait pas non plus que les fans de Madonna et Britney aiment Charlotte ! La honte ! :lol:

 

Rassures-toi, je trouve ce titre assez pénible à écouter. Les gens comme moi préfèrent Britney.

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