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Enrique Iglesias poursuit actuellement sa tournée mondiale "Sex and Love Tour". Lancé le 14 février 2014, le spectacle s'est arrêté à New York, Buenos Aires, Mexico, Londres, Toronto, Madrid, Moscou ou encore Paris. Accompagné de Demi Lovato, le latin lover avait rempli le Palais Omnisports de Bercy le 21 novembre 2014. Depuis, le chanteur n'a cessé de faire résonner ses tubes "Bailamos", "Hero", "I Like It" ou "Bailando" aux quatre coins de la planète. Alors qu'il se produira pour la dernière fois de sa tournée à Curaçao le 5 septembre prochain, Enrique Iglesias est monté sur la scène de la Plaza de Toros de Playas à Tijuana le week-end dernier. Si le public était venu en masse pour applaudir le chanteur, un incident a perturbé le bon déroulé du concert.
"The show must go on !"
En effet, pour pimenter son "Sex and Love Tour", Enrique Iglesias a pris l'habitude de jouer avec des drones afin de filmer la foule et ses performances sur scène. Alors qu'il interprétait l'un de ses titres, le chanteur de "Noche y de dia" a tenté de récupérer l'un de ses engins volants avec sa main droite mais ses doigts se sont pris dans une hélice et ont été sectionnés. La main entaillée et en sang, Enrique Iglesias a été contraint de recevoir des premiers soins en coulisses afin d'arrêter l'hémorragie... avant de remonter sur scène en clamant "The show must go on !".
Le t-shirt blanc, maculé de sang, sur lequel il a dessiné un coeur pour ses fans avec son bandage, Enrique Iglesias a donc poursuivi son concert malgré sa sérieuse blessure. L'artiste de 40 ans est ensuite rentré à Los Angeles pour « se faire soigner par un médecin spécialisé » et se reposer, selon son agent qui a publié plusieurs clichés de la blessure sur les réseaux sociaux.
Una muestra más de su profesionalismo!
"The show must go on!" says @enrique305 He drew a heart for his fans! ❤️ pic.twitter.com/vxQqiSbi9a
— Joe Bonilla (@JOEBONILLA) 31 Mai 2015A pesar del accidente q tuvo anoche @enrique en #Tijuana, dio cátedra de profesionalismo y termino con sangre y sudor pic.twitter.com/iOR8WThqto
— Joe Bonilla (@JOEBONILLA) 31 Mai 2015