Crédits photo : Island / Def Jam
Drake est une nouvelle fois sur le toit du monde. Attendu depuis le mois de janvier, son nouvel album "Certified Lover Boy" est enfin sorti sur toutes les plateformes de streaming ce vendredi. Et bien qu'il soit moins réussi que ses prédécesseurs, il fait déjà tomber d'innombrables records. Le rappeur canadien signe tout simplement le meilleur démarrage de tous les temps sur Spotify avec plus de 153 millions d'écoutes en 24 heures sur la plateforme de streaming. De quoi lui permettre de surclasser son propre record de "Scorpion", 132 millions de streams sur la même période, et de lui assurer sans problème la première place des charts américains. Mais pas en Angleterre où, selon les premières estimations, il est devancé par "Senjutsu", le nouvel album du groupe de heavy metal Iron Maiden. Qu'importe pour l'interprète de "Laugh Now Cry Later" qui a encore suscité l'adhésion de ses fans et affolé la toile en raison de son clash avec Kanye West.

"Say that you a lesbian, girl, me too"

En France, Drake compte bien s'imposer davantage dans les oreilles des mélomanes. Alors que "Way 2 Sexy" est affublé d'un clip délirant, c'est "Girls Want Girls" qui vient d'être envoyé aux radios françaises, en tant que single officiel de l'album "Certified Lover Boy" dans nos contrées. Un choix tout à fait logique puisqu'il s'agit du morceau le plus populaire du disque avec un total de 26,1 millions d'écoutes mondiales sur Spotify, dont près de 800.000 rien qu'en France, depuis sa sortie vendredi. Il faut dire que "Girls Want Girls" est l'un des morceaux les plus tubesques du projet de 21 titres, avec sa rythmique trap produite par OZ, Ambezza et 40, et ses punchlines partagées avec Lil Baby.

Ecoutez "Girls Want Girls" de Drake et Lil Baby:


« Starin' at your dress 'cause it's see-through / Yeah, talkin' all the shit that you done been through / Yeah, say that you a lesbian, girl, me too / Ayy, girls want girls where I'm from / Wait, woah, yeah, girls want girls / Woah, yeah, woah, yeah, girls want girls where I'm from » lance Drizzy de sa voix inimitable. Un refrain qui devrait rentrer dans toutes les têtes mais qui suscite déjà des critiques, Drake étant accusé par de nombreux internautes de fétichiser les relations lesbiennes. Une mini-polémique qui n'entache pourtant pas la popularité de la chanson, promise à devenir le nouveau tube de Drake après "God's Plan" ou "Hotline Bling".