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Meryl et vous  

79 membres ont voté

  1. 1. Connaissez vous Meryl Streep ?

    • Pas du tout. C'est la new flopgirl de Flocon ?
      0
    • J'ai vu quelques films.
    • Je suis merylstreepophile, je lui voue une passion idolatrique.
  2. 2. Quand vous entendez "Meryl Streep", vous pensez ...

    • à une scène / un film (précisez)
    • à un discours / une entrevue
    • à une légende du cinéma.
  3. 3. Le registre où vous préférez Meryl ?

    • Le drame
    • Le film historique
    • La comédie
    • Le film d'aventure
      0
    • Le film romantique
  4. 4. Meryl et ses duos/trios à l'écran, vous préférez :

    • Meryl et Robert De Niro dans "Voyage au bout de l'enfer"
    • Meryl et Woody Allen dans "Manhattan"
    • Meryl et Dustin Hoffman dans "Kramer contre Kramer"
    • Meryl et Jeremy Irons dans "La maitresse du lieutenant français"
    • Meryl, Kevin Kline et Peter McNicol dans "Le choix de Sophie"
    • Meryl et Robert Redford dans "Out of Africa"
    • Meryl, Bruce Willis et Goldie Hawn dans "La mort vous va si bien"
    • Meryl et Clint Eastwood dans "The bridges of Madison County"
    • Meryl et Nicole Kidman dans "The hours"
    • Meryl, Nicolas Cage et Chris Cooper dans "Adaptation"
      0
    • Meryl et Anne Hathaway dans "Le diable s'habille en Prada"
    • Meryl et Tom Cruise dans "Lions et Agneaux"
      0
    • Meryl et Amy Adams dans "Julie & Julia"
    • Meryl, Alec Baldwin et Steve Alec dans "It's complicated"


Messages recommandés

Deux, un pour un premier rôle (Le choix de Sophie) un pour un second rôle (Kramer VS Kramer).

 

C'était dans les 5 premières années de sa carrière, ce serait bien qu'elle en regagne un...

 

Les Oscars sont souvent radins et ne donnent pas régulièrement des statuettes aux mêmes personnes même si leur performance est meilleure/plus impressionnante qu'une autre.

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Deux, un pour un premier rôle (Le choix de Sophie) un pour un second rôle (Kramer VS Kramer). C'était dans les 5 premières années de sa carrière, ce serait bien qu'elle en regagne un... Les Oscars sont souvent radins et ne donnent pas régulièrement des statuettes aux mêmes personnes même si leur performance est meilleure/plus impressionnante qu'une autre.

 

C'est vrai. C'est rare de voir un acteur ou une actrice gagner un oscar pour la performance qui le méritait et inversement.J'aimerais que Meryl Streep gagne l'oscar cette année. 2 oscars, c'est déjà exceptionnel mais cette actrice mérite de rentrer dans la légende. Il y a un film sur RTL9 avec elle qui va commencer dans quelques minutes et que je n'ai jamais vu. Je vais le regarder.

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La Williams me fait peur. Par contre, aucun problème si Glenn Close le remporte cette année, 5 nominations sans victoire avec la carrière qu'elle a c'est trop peu mais faut voir le film quoi.

 

Et La rivière sauvage sur rtl9. Prise d'otages d'une famille dans un canoé.

 

Grosse GROSSE surprise car tout ce que faisait Meryl semblait sacré et intouchable.

La réalisation de Doubt s'est faite tuer aussi, le film était clairement porté par les perfs des acteurs (Davis pour ses 10 minutes d'apparition, et le choc Streep-Hoffman). Ca n'a pas empeché le film d'être parmi les meilleurs de 2008.

 

Pour le reste, sale sadique -_-

 

En fait c'est du Royaume-Uni qu'arrivent les critiques négatives sur la perf de Streep, notamment les anciens associés de Thatcher qui disent qu'elle en a fait une hystérique névrosée (d'ailleurs le film la montre complètement maboule à sa vieillesse, elle parle à son mari alors qu'il est mort depuis des années).

 

Sur le film lui même, les gens critiquent plus le parti pris de la réalisatrice de se caler sur la relation entre Margaret et Dennis. Les critiques attendaient peut être plutôt un thriller politique et une réalisation plus agressive pour bousculer un peu Streep et Broadbent (tous les deux oscarisés quand meme).

Si le biopic sur Grace Kelly se fait, il y aura le meme genre de critiques vu que l'histoire porterait sur son role dans la crise franco-monégasque mais ça ne serait qu'un prétexte pour parler du couple Rainier-Grace.

 

Sur Rottentomatoes, le film n'est qu'à 65% avec ce genre de commentaire :

A terrible movie that is saved by an absurdly fascinating performance.

Le meme genre que pour The Blind Side.

 

De toute façon, t'es obligé d'aimer sinon jte tue Narada.

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Meryl a fait don d'1 million de dollars au National Women's History Museum. Le musée cherche toujours un local permanent et Meryl et les historiens essaient d'attirer l'attention des politiciens pour approuver l'installation de l'institution sur le National Mall à coté des immeubles les plus importants de la capitale.

 

+

 

Le genre de review pas bonne dont parlait Narada :

 

Film can be a powerful ideological tool. Truth can be manipulated, tyrannies expunged and sympathy conjured for the devil. The Iron Lady, depicting the life and times of former British Tory Prime Minister Margaret Thatcher, is just such a film.

 

A generation after Thatcher’s unceremonious dumping by her own party as PM, and as the aging dowager struggles with dementia, the film tries to paint her as a modern-day British hero, struggling against the evils of terrorism, unionism and fascism (the Argentine junta) to deliver Britain into an age of unending prosperity and sunshine.

 

Iron Lady is a completely uncritical presentation of Thatcher’s legacy, a breath-taking attempt at rewriting history in favour of the Tory icon.

 

Thatcher is depicted as a Tory outsider, born of humble beginnings, but desperate to deliver genuine “equality of opportunity” to all. Meryl Streep’s Thatcher is a determined reformer, taking on the power of vested interest (whether the toffs of the Tory party or the unions) in the name of Britain’s shopkeepers and other hard-working folk.

 

The film tries to rehabilitate Thatcher’s entire political legacy, even those aspects that her own party has attempted to quietly walk away from.

 

The sinking of the Argentinean warship General Belgrano, during the brief but brutal British war to recapture the Malvinas (Falkland) Islands in 1982, even though the ship was heading away from the British-imposed exclusion zone around the islands, was justified because the ship may have been going to change course. More than 300 people died.

 

The wrecking of British industry, the creation of 3 million unemployed and the destruction of entire communities in the north of England is justified by the subsequent prosperity generated for some as Britain became the financial centre of Europe.

 

The film even attempts to justify the notorious poll tax, a deeply regressive tax where all British residents were to pay the same tax --regardless of income or wealth. The huge popular campaign against the poll tax made it practically inoperable, and forced its withdrawal by Thatcher’s Tory successor, John Major.

 

Not that there’s any hint of that in the film; Streep’s Thatcher simply says that it’s necessary, because everyone must pay something for the privilege of living in Britain!

 

Opposition to Thatcher is caricatured. The mass protests against mine closures in England's and against the Poll Tax, are simply shown as violent riots. The only articulate opposition to Thatcher in the film is parliamentary, in the form of British Labour Party leader Michael Foot.

 

In the fashion of all conservative film made after 9/11, much is made of Thatcher’s opposition to terrorism -- in this case the Irish struggle against British occupation. The film focuses on the Irish Republican Army (IRA) bombing campaign within Britain -- particularly the attack on the Tory Party conference at Brighton in southern England in October 1984.

 

Thatcher is painted as a hero standing up against the Irish bullies, rather than the principal organiser of Irish oppression. The shameful persecution of republican prisoners in the infamous H-Block prison in Ireland's north, which culminated in 10 prisoners starving themselves to death in 1981 as Thatcher refused to negotiate over their key demand for political status, barely rates a mention.

 

The prisoners enjoyed widespread popular support, with the first prisoner to die -- Bobby Sands -- being dramatically elected to parliament from prison during his hunger strike. This was a humiliation for Thatcher.

 

The Iron Lady is not content simply to whitewash Thatcher’s legacy. It also seeks to curry sympathy for the devil herself. Throughout much of the film, Thatcher is portrayed as she is now, a demented old woman, struggling to tell the difference between reality and delusion.

 

Her chats with her dead husband Denis, and her struggle to pack up his belongings seven years after his death, would soften the hardest heart. But Thatcher is not the nice old lady who lives next door. She is not a poor widow, struggling to make ends meet and pay for the heating in her council flat. She’s an icon of the neoliberal movement in Britain and elsewhere; a woman who’s government smashed social services, destroyed communities and killed thousands of Argentinean conscripts in an unjust, if popular, war.

 

The Iron Lady, while well acted and snappily produced, is no more than a falsification of history, intended to rehabilitate Thatcher’s legacy as another Tory government in Britain begins to take the cudgels to whatever remnants of British society that Thatcher left standing.

 

 

Le titre de l'article résume tout : "Sympathy for the devil : film justifies Thatcher's crimes".

J'avais pas conscience qu'elle était aussi détestée par une partie de l'opinion.

 

+

 

Un récap de l'année 2011 de Meryl par simplystreep.com : http://www.simplystreep.com/2011-year-in-review/#more-4071

 

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1ere photo diffusée du film - capture du tout 1er trailer - sur le set de Great Hope Springs - GHS avec Tommy Lee Jones

 

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Gala du 150e anniversaire du Vassar College - avec Goldie Hawn aux Good Housekeeping's Shine On Awards - avec sa fille Mamie Gummer et Anne Cattaneo aux Margo Jones Awards - discours au Women In The World Foundation Launch

 

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Présentation du poster de The Iron Lady - US China Forum à Pékin - "A magical evening" (charité) - Premiere new yorkaise de The Iron Lady

 

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Couverture de Vogue US Janvier 2012 - Couverture de Newsweek en Thatcher - Reportage 60 minutes sur la carrière de Streep et son support au National Women's History Museum - Kennedy Center Honors

 

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+

 

Calendrier de ces prochaines semaines :

 

- 4 janvier : Première londonienne de The Iron Lady (UK)

- 6 janvier : passage au Grand Journal (France)

- 12 janvier : Jimmy Kimmel Live (US)

- 13 janvier : The Iron Lady sort partout aux Etats-Unis

- 13 janvier : Critics Choice Movie Awards (US)

- 24 janvier : nominations aux Oscars

- 29 janvier : Screen Actor Guild Awards (US)

 

+

 

Première date de sortie annoncée pour Great Hope Springs : 14 décembre 2012 aux Etats Unis

Casting : Meryl Streep (Maeve Soames), Tommy Lee Jones (Arnold Soames), Steve Carell (Dr. Bernie Feld), Jean Smart, Susan Misner (Dana Feld), Ben Rappaport (Hank)

 

 

 

“In every scene, she’s actually doing at least two jobs. First, her own character, who is always so complete, so natural, you forget that somewhere in there is Meryl Streep. Then the second is, stabilizing the other actor who is having a nervous breakdown because they’re in a scene with Meryl Streep.”



Emily Blunt @ Kennedy Center Honors

 

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Meryl Streep récompensée à la Berlinale

 

Article Première

LOS ANGELES (Reuters) - Meryl Streep recevra un Ours d'or pour l'ensemble de sa carrière le 14 février, lors du Festival du film de Berlin, annoncent les organisateurs.

 

"Nous sommes ravis de pouvoir remettre un Ours d'or d'honneur à une actrice aussi extraordinaire et une star mondiale. Meryl Streep est une comédienne rayonnante aux nombreux talents qui passe avec aisance des rôles dramatiques aux comédies", écrit Dieter Kosslick, directeur du festival, dans un communiqué.

 

L'actrice américaine, qui détient le record de 16 nominations aux Oscars, devrait en obtenir une 17e pour son rôle dans la "Dame de fer", où elle tient le rôle de Margaret Thatcher.

Elle a déjà été récompensée une fois à Berlin par l'Ours d'argent de la meilleure actrice pour The Hours (partagé avec Nicole Kidman et Julianne Moore).

 

+

 

Avant-première The Iron Lady, Londres.

Pour l'occasion le tapis était bleu, couleur du Parti conservateur.

 

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Les salopes, jveux la même !!!

 

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Article Le Point

 

L'actrice américaine Meryl Streep a foulé le tapis "rouge" - reconverti pour l'occasion en tapis bleu - mercredi soir à Londres pour la première européenne de "La Dame de fer", où elle incarne Margaret Thatcher, un rôle qui pourrait lui valoir un troisième Oscar.

 

L'ex-Premier ministre conservateur britannique est "quelqu'un qui a marqué son époque. Elle était alors la seule dirigeante femme du monde occidental et sans doute le dirigeant le plus fort de son temps", a expliqué Meryl Streep à son arrivée, sous les applaudissements de centaines de fans rassemblés malgré le vent et la pluie.

 

"Mais au delà, ce film était aussi une opportunité de jouer le rôle d'une femme à la fin de sa vie" et "il n'y a pas beaucoup de films qui s'intéressent aux vieilles personnes", a poursuivi l'actrice, qui a foulé exceptionnellement un tapis bleu, la couleur du parti conservateur britannique, à l'occasion de cette Première.

 

Le long-métrage suit le parcours de la "Dame de fer", fille d'épicier qui surmonte les obstacles liés à ses origines et à son statut de femme pour conquérir le pouvoir en 1979 jusqu'à sa chute politique humiliante en 1990. Une Margaret Thatcher intransigeante, mais éprise de son époux Denis.

 

Permanente parfaitement laquée, tenues sobres et impeccables, voix de directrice d'école: Meryl Streep, qui s'est documentée en allant notamment à la Chambre des communes britannique, incarne avec panache, selon la critique, probablement le plus contesté des Premiers ministres britanniques.

 

Ce rôle lui a déjà permis d'obtenir une nomination aux Golden Globes.

 

Elle "a trouvé la femme derrière la caricature", estime le Times. "Seule une actrice de la stature de Streep pouvait saisir l'essence de Thatcher", renchérit le Daily Mail.

 

Mais si la performance de Meryl Streep, 62 ans, est largement saluée, les critiques sont moins enthousiastes sur le film lui-même, réalisé par la Britannique Phyllida Lloyd, qui avait déjà travaillé avec l'actrice dans "Mamma Mia !".

 

Meryl Streep est "la grande arme de ce tableau parfois idiot et douteux", estime le Guardian qui y voit "un portrait cruel sur l'âge, la solitude et la décadence."

 

"C'est une sorte de +soap opera+", a estimé Nigel Lawson, son ministre de l'Economie de 1983 à 1989.

 

L'histoire est racontée à coups de flash-back de "Maggie", présentée sous les traits d'une vieille femme frappée de démence sénile, maladie révélée par sa fille Carol en 2008.

 

Le film, qui sort vendredi sur les écrans au Royaume-Uni et le 15 février en France, s'est d'ailleurs attiré de vives critiques pour la façon dont il dépeint la dame de fer diminuée par la maladie.

 

"Je comprends pourquoi", a déclaré Meryl Streep. "Nous sommes terrifiés par la maladie mentale. Mais si Margaret Thatcher avait un problème pulmonaire et que je toussais dans le film, personne n'aurait tiqué". "C'est la nature, c'est la vérité. Et il n'y a aucun mal à dire la vérité".

 

Margaret Thatcher, aujourd'hui âgée de 86 ans, "n'est pas atteinte de démence quand je la vois", a cependant assuré mercredi, dans le Yorkshire Post, son ancien porte-parole Bernard Ingham, qui n'ira pas voir le film.

 

Les proches de Margaret Thatcher "sont les premières personnes que nous avons invitées à voir le film quand il a été terminé", a fait valoir la réalisatrice sur la BBC. "Ils ont décliné cette offre et je peux très bien comprendre qu'ils n'aient pas eu envie de le voir en public".

 

 

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Splendide adj. (lat. splendidus). 1. Magnifique à contempler ; somptueux. 2. D'un éclat lumineux. 3. Meryl Streep.

 

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