"M (Hey Hey Hey)" une chanson écrite sur la comparaison que la presse fait entre elle et Mylène Farmer, qui sera disponible dès le 23 novembre prochain en bacs, sur le nouvel album de Najoua Belyzel, "Au féminin". Un single qui, déjà, crée la polémique au sein de la communauté des fans de l'interprète de "Sextonik", qui voit ce morceau comme une récupération de la popularité de leur idole.
«Je voulais remettre les pendules à l'heure à ce sujet. "M (Hey Hey Hey)" s'adresse en effet à Mylène Farmer. Mais c'est juste une manière de lui dire que je la respecte, que je respecte son travail, et que je ne la courtise pas. Maintenant, ma position n'a pas changé depuis la dernière fois, je connais la chanteuse bien sûr, mais pas vraiment son œuvre, même si j'ai eu le temps depuis de me pencher sur le sujet, notamment parce que j'utilise les mentions Tristana ou XXL dans le texte... Nous avons quelques thèmes en commun, certains arrangements, mais ça s'arrête là. Et j'en profite également pour dire combien je déteste que mes fans, comme les siens, nous opposent en permanence. Cela m'attriste plus qu'autre chose parce que nous n'avons rien demandé, elle comme moi. Tu sais, il y a même des “guéguerres” sur le Net entre nos différents fans, c'est devenu n'importe quoi et j'aimerai que ça cesse» déclare-t-elle lors d'une interview donnée à Charts in France en septembre dernier, et disponible en intégralité en cliquant sur ce lien.

Découvrez le nouveau clip de Najoua Belyzel :


Sans doute un futur tube, dont le clip est nouvellement dévoilé, et qui devrait être suivi l'an prochain par "Ma Sainte-nitouche", dont la vidéo a également été réalisée simultanément. "Au féminin" fera donc suite au précédent "Entre deux mondes", paru en 2006, et qui avait généré les tubes "Gabriel" (Top 3), "Je ferme les yeux" (Top 13), ou "Comme toi" (Top 16)...

Ce nouveau disque sera toujours le fruit d'un travail en commun entre Christophe Casanave (ayant déjà œuvré pour Marc Lavoine, notamment sur "Toi mon amour", "La semaine prochaine"...) et Najoua Belyzel, comprenant des sonorités plus riches, parfois psychédéliques, souvent électro/pop, où se mêlent des mots électriques, doux, et poétiques. Entre violons et flûtes, synthés et sitar.