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Olivia Ruiz - Discographie


Myron

Votre album préféré ?  

34 membres ont voté

  1. 1. Votre album préféré ?

    • J'aime pas l'amour
    • La femme chocolat
    • Miss météores
    • Le calme et la tempête
    • A nos corps-aimants
  2. 2. Votre single préféré ?

    • Paris
      0
    • J'aime pas l'amour
    • Le tango du qui
    • Les vieux amoureux
    • J'traîne des pieds
    • La femme chocolat
    • Non dits
    • Goûtez-moi
    • Thérapie de groupe
    • Elle panique
    • Belle à en crever
    • Les crêpes aux champignons
    • My lomo and me (je photographie des gens heureux)
    • Je m'en fiche (L.A Melancholy)
    • Volver
    • Mon corps, mon amour
    • Dis-moi ton secret
  3. 3. Votre cover préféré ?

    • J'envoie valser (Zazie)
    • Pienza en mi (Luz Casal)
    • Marcia baila (Rita Mitsouko)
    • L'accordéoniste (Edith Piaf)
    • Putain de toi (Georges Brassens)
    • Mala vida (Mano Negra)
    • Couleur menthe à l'eau (Eddy Mitchell)
    • You got me (The Roots)
      0
    • La non-demande en mariage (Georges Brassens)
    • Siffler sur la colline (Joe Dassin)
      0
    • Les Marionnettes (Christophe)
    • Milord (Edith Piaf)
    • Because the night (Patti Smith)
      0
    • L'escalier (Los Carayos)
    • Noir c'est noir (Johnny Hallyday)
      0
    • La fille du Père Noël (Jacques Dutronc)
      0


Messages recommandés

+ 1000 (évidemment) pour Roxy bar dont je ne me lasserai jamais, je crois ?

Merci @Analeith de citer La Mécanique du coeur, toute la BO est canon et moi aussi j'aime beaucoup Candy Lady !

Par contre, je suis plus nuancé concernant le duo avec Brigitte Fontaine : j'ai beaucoup de mal avec la voix de cette dernière et ça me bloque totalement pendant mon écoute ?

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  • 6 mois après...

Comme elle vient de sortir son nouveau single, je m'essaye à un petit classement de ses 7 leads singles (je compte le single période Star Ac). Du coup, j'ai redécouvert totalement My Lomo & Me, son texte et son clip bien fichu ! 

 

Du coup, ça donne:

 

1. Elle panique

2. La réplique (le nouveau single)

3. My Lomo & Me (Je photographie des gens heureux)

4. Mon corps mon amour

5. J'traîne des pieds

6. Paris

7. J'aime pas l'amour

 

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Hmmm...

 

Je crois que de mon côté ça va (presque) en decrescendo temporel :

 

1. La Réplique (oui ça date d'hier, mais >>>>>>)

2. Mon corps, mon amour

3. My lomo & me

...

4. J'traîne des pieds

5. Elle panique

...

6. J'aime pas l'amour

 

Je ne compte pas vraiment Paris qui ne précédait aucun album et qui est trop éloigné des ambitions d'Olivia.

 

Le trio de tête apportant à chaque fois de nouvelles sonorités et demeurant d'excellents titres au delà de leurs status de leads. MCMA et La Réplique se démarquent pour leur côté entraînant et immédiat, quant à My lomo & me, moins vif, mais c'était culotté, en 2012, de sortir un lead pareil quand tout ce qui fonctionnait était l'exact opposé de ce (très beau) titre. J'traîne des pieds, pas vraiment vécu comme un "retour" à l'époque, mais ce titre est et restera sa signature, et raconte vraiment une belle histoire universelle par le biais de son intimité ; j'ai entendu une comparaison avec Foule Sentimentale par un journaliste il y a quelques mois, j'avais trouvé ça très pertinent. Elle panique, c'était un retour léger mais très appréciable (les lives tv avec les "PANIC PANIC PANIC" qui décoiffaient c'était chouette) et l'ère Miss Météores en général était très plaisante à suivre.

 

 

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Je me refait sa discographie, j'aime tant sa personnalité et son grain de voix. 

 

J'ai un peu de mal avec la femme chocolat album en 2023 même si j'aime toujours plusieurs titres en revanche Miss météore est toujours un plaisir, un album abouti de Olivia. Mais mon favori reste le calme et la tempête, il y a eu une vraie évolution avec ce disque tout en gardant son style de base. 

J'aime quand elle s'attaque à l'espagnol. 

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À l'aube de ce nouveau chapitre Ruizien, j'ai envie de revenir dans le détail sur sa discographie.

Album par album, en mentionnant chaque pistes, les moments forts et bien sûr la direction générale de l'ère.

D'ailleurs, si l'exercice vous inspire également, je serais ravi—et sans doute pas le seul, d'avoir d'autres critiques élaborées de ses albums.

 

Je pense que je vais parcourir sa carrière dans le désordre, en fonction de l'humeur et des parcelles que je réécouterai sur le moment.

Ce sera une façon un peu cathartique de patienter avant son retour "au premier semestre 2024" 😴 et de faire le point sur les attentes concrètes que j'ai pour ce 6e opus.

 

J'aime pas l'amour : RUIZ,OLIVIA: Amazon.fr: CD et Vinyles}La femme chocolat - Olivia Ruiz - CD album - Achat & prix | fnacMiss Météores: Olivia Ruiz, Olivia Ruiz: Amazon.fr: CD et Vinyles}Le calme et la tempête: Olivia Ruiz, Olivia Ruiz: Amazon.fr: CD et Vinyles}À nos corps-aimants: Olivia Ruiz, Olivia Ruiz: Amazon.fr: CD et Vinyles}

 

Pour commencer, je pense ne pas remonter la machine trop loin...

(encore que :lol:)...

 

 

2016 - À nos corps-aimants : le vilain petit canard ?

 

 

À nos corps-aimants: Olivia Ruiz, Olivia Ruiz: Amazon.fr: CD et Vinyles}

 

 

 

Bref historique - Retour d'une (déjà) (très) longue pause !

 

C'est au printemps 2015 qu'Olivia décide de plancher sur son 5e album après une bonne année et demie de silence médiatique et musical. La précédente tournée s'est achevée en janvier 2014 lors d'un concert évènement en haut des pistes de ski à Vars. Cette tournée à succès, autour de l'album Le calme et la tempête, a donné un petit goût de "reviens-y" à notre chica, puisqu'elle reprend un allé simple pour L.A. afin de retrouver Tony Berg et Shawn Everett pour ce futur opus.

 

Pendant quelques semaines, ça bosse dur, des morceaux commencent à naître : Âme en dentelle, Nos corps-aimants, Dis-moi ton secret, Paranoïaque transcendantal (premier morceau qu'elle teasera lors de rares interviews cette année là). Les premières sessions d'enregistrement commencent, Olivia évoque un album sensuel, autour des corps et des matières, avec une production très minimaliste et puis...pouf ! Madame découvre qu'elle a un polichinelle dans le tiroir...

 

L'idée de se retrouver loin de sa famille, à l'autre bout du monde, entourée de ricains musicos lui semble peu cohérent avec cette grossesse surprise (et pourtant longtemps attendue). Elle met le tout sur pause et ne retournera finalement jamais terminer cet album là bas...

Restent pour seuls témoins de cette escapade, les premières esquisses des morceaux que l'on retrouvera en bonus sur l'album sous l'appellation L.A. Sessions.

 

C'est finalement un an et demi plus tard (encore !), après la mise au monde du petit Nino et le début du travail sur Volver (Tragédie musicale) aux côtés de Jean-Claude Galotta, qu'elle planchera à nouveau sur "Olivia#5". On est à l'été 2016 et Olivia s'en va trouver Edith Fambuena, déjà très occupée, pour cet autre accouchement qui l'attend : celui d'À nos corps-aimants.

 

Elles reprennent ensemble les bases du travail effectué à L.A., mais la sensualité initialement pensée comme fil conducteur du disque, devra cohabiter avec la grande transformation personnelle de l'artiste... Et ainsi douceur et volupté maternelle viennent donner un second point d'orgue à ce projet. En gage de ce dédoublement, la locomotive du projet, l'une des dernières nées du process, tentera de (ré)concilier ces deux facettes : Mon corps s'endort mon amour, j'appelle tes mains à leur parcours... ♫

 

 

Une nouvelle direction avec des repères plutôt familiers

 

Chez les artistes, il y a deux catégories de tubes. Les VRAIS tubes (J'traîne des pieds, La femme chocolat, Elle panique...) et les tubes de fans (Belle à en crever, Volver...) et malgré l'énorme potentiel du titre, Mon corps, mon amour tombera finalement dans la seconde catégorie. La faute à un "je baise donc je suis" pas très family-friendly ? Un désintérêt des médias ? Ou alors l’algorithme absolument mystérieux des radios et du succès ? On ne sait pas. Mais la chanson se fraye un chemin très puissant dans le cœur du public Ruizien (en folie lors des rappels sur scène).

 

La direction musicale de ce lead amorce quelque chose de nouveau, tout en restant en zone de confort. C'est plus chaloupé qu'à l'accoutumé, plus brut (cf ce légendaire "je baise donc je suis"), l'instrumentation est saluée et la nouvelle imagerie (clip et pochettes) semble annoncer un certain virage. Mais finalement, pas tant que ça.

 

On retrouve dans l'album une structure proche de celle de Miss Météores, avec 3 titres mid-tempo et plutôt efficaces en ouverture (MCMA, Il y a des nuits, Âme en dentelle), des alternances de douceur et des choses plus cathy (La Dame-Oiselle, Nino mi niño, Dis-moi ton secret) dans le second tier et des propositions plus drastiques sur la fin du disque (Tokyo Eyes, Paranoïque transcendantal). Autre point qui est à la fois facteur de surprise et d'habitudes, le choix des instruments. Olivia nous a déjà habitué à des sonorités particulières et une recherche instrumentiste très pointue (merci Franck Marty) et encore une fois, cette exigence est au rendez-vous. On notera l'étonnant clavier EP1 sur Mon corps, mon amour, le solo final de Tokyo Eyes ou encore la scie musicale qui se ballade au début de La dame oiselle et une version plus distordue qu'on retrouve dans Paranoïaque Transcendantal.

 

On y retrouve des influences nouvelles, notamment Le blanc du plafond qui sort du lot à la première écoute, grâce à sa production synthétique et très moderne signée Anika and the forest. Il y a quelques utilisations de styles assez différentes également, on pense à  Dis-moi ton secret avec ce troublant "this is not an outro, this is end..." presque murmuré, avant l'arrivée des chœurs jouissifs qui concluent le morceau, très appréciable. Âme en dentelle démarre comme une petite chanson douce au yukulélé avant d'offrir un refrain énervé et tempétueux. Mais une fois les premières écoutes passées, force est d'admettre que cet album souffre d'un manque de rythme, de surprises et que pas mal de titres se révèlent assez génériques.

 

Le pourtant très réussi L’Éternité retourne sur des terres Moriconiennes de manière un peu trop smilaires à Belle à en crever, Nino mi niño est un peu trop répétitive pour tenir la distance et Nos corps-aimants se fond dans la masse de ces titres à l'ADN Ruiz mais pas si marquants comme L.A. Melancholy ou La Mam'. L'album manque aussi de punch, les moments les plus "rock" sont assurés par Dis-moi ton secret, Âme en dentelle et Tokyo Eyes mais on attend un vrai titre explosif. Pour une fois c'est dans le confort des habitudes qu'on ressent un certain manque : où sont les grosses guitares ? Où est le Mon petit à petit/Question de pudeur/Quijote de cet album ?

 

On ne se retrouve pour autant pas dans une homogénéité absolue, elle est juste un peu plus marquée qu'à l'accoutumée. Madame dent de scie semble s'être assagie. Pour autant quelques morceaux réussissent à vraiment sortir du lot. Tokyo Eyes ne ressemble à aucun autre titre de sa discographie, Paranoïaque Transcendantal a quelque chose de sorcier dans son refrain (et le thème marque également des points pour l'originalité), si Il y a des nuits s'enferme dans une boucle un peu redondante, petite mention honorable pour la version agrémentée de Toan dans les bonus et pour son ambiance jazzy destructurée.

 

 

Un album plus sensible que sensuel ?

 

On a beaucoup vendu cet album comme une ôde au désir, mais force est d'admettre qu'au delà du lead, la notion charnelle tant mise en avant n'est pas si omnsiprésente. Dieu merci, elle ne cède pas du tout sa place à la maternité, hormis deux allusions légère (La dame-oiselle a d'ailleurs été écrite bien avant la naissance de Nino). Bien sûr, la sensualité n'est pas totalement absente, on la retrouve dans les couplets d'Âme en dentelle, en filigrane sur Nos corps-aimants, et Paranoïaque T. (encore) a quelque chose de (très) langoureux. Mais ce sont davantage les relations à l'autre qui sont présentes dans cet album et sous bien des formes... Comme prémices des sujets qui habiteront férocement la chanteuse les 7 années suivantes...

 

Un des très bon points de l'album, ce sont ses textes. Olivia rend ici sa meilleure copie en tant qu'autrice, à mon sens. Elle s'est tournée vers la féminité et l'altérité, parfois des thèmes plus métaphoriques aussi, on est souvent proches du corps, des matières et comme dans cette suite logique, tout coule de manière fluide. Le blanc du plafond s'imbrique au millimètre prêt dans la mélodie de voix, c'est très caressant. Malgré sa composition répétitive, Il y a des nuits offre une subtile dramaturgie où les mots sont vraiment ciselés. La dame-oiselle aborde le thème de l'infertilité avec tellement de pudeur et de poésie, que quand les mots sonnent crus, c'est d'autant plus impactant. Ce contraste aigre/doux est très caractéristique de l'écriture d'Olivia et sied parfaitement à ce titre. Je citerai également (une enième fois), Paranoïaque Transcendantal, pour l'originalité de son thème et la construction couplet français/refrain espagnol très efficace.

 

Et puis surtout, ces qualités rédactionnelles sont au service de l'interprétation, qui est, et restera le point fort de la dame. Elle délivre ici une proposition d'une grande sensibilité et s'offre une maturité supplémentaire (d'où le côté "trop sage" mentionné plus haut peut-être ?). Le déchirement dans L'Éternité ou le petit sourire rougissant de Nos corps-aimants donnent tout leur intérêt à ces deux titres notamment. Ses qualités d'interprète permettent ainsi à chaque titre de se démarquer les uns des autres, tandis que sa voix se fait des plus agréable pour accompagner cette douceur. Cela me permet de mentionner au moins une fois, Duerme Negrito (reprise d'un traditionnel popularisé par Atahualpa Yupanqui), piste finale et sans doute la plus faible, où elle renoue avec sa plus grande tradition discographique : le duo avec papa. C'est certainement leur collaboration la plus anecdotique, surtout après l'énorme La Llorona sur le précédent, mais encore une fois, cela reste un moment très agréable.

 

Reste que l'album s'écoute très bien d'une traite, à défaut d'avoir son quota habituel de titres vraiment marquants. C'est comme un petit cocon douillet, avec quelques moments bondissants pour s'ambiancer entre les instants plus doux (cf Dis-moi ton secret qui arrive à point nommé). Un album où les fragilités parlent finalement plus que le désir.

 

 

À nos bilans

 

Malheureusement, aucun autre titre ne sera du calibre de Mon corps, mon amour, qui réussi sur tous les points évoqués plus haut. À nos corps-aimants, c'est une histoire d'à-peu-presque : l'album coche toutes les bonnes cases, mais ne passe pas à l'étape supérieure. Et ce manque d'audace sera pointé du doigt malgré l'appréciation générale. Cet album garde comme un goût d'inachevé, à tous les niveaux. L'exposition et l'exploitation auront été abyssales, une Olivia en petite forme sur la promo, deux singles seulement, aux clips esthétiques et réussis, mais pas aussi marquants que d'habitude.

 

Une ère en forme de "meh", sauvée malgré tout, par une tournée de qualité—quoiqu'un peu courte avec une chouette idée participative. Mais à l'image du reste, ce sont les mêmes tenues et les mêmes anciens titres qui seront choisis de soirs en soirs (My lomo & me, Goutez-moi, Quijote, Volver, Le tango du qui...). Olivia ne semble pourtant pas avoir fait cet album en pilote automatique, son investissement artistique y est notable mais...la magie n'a pas totalement opérée. J'ai la conviction que cet album demeurera oubliable avec le temps, quand sa discographie se sera allongée. Qui plus est, il succède à un album hautement considéré et son succèsseur s'annonce d'ores et déjà plus marquant. Ce n'est pas un ventre mou créatif, seulement un disque qui amorce quelque chose qui ne vient pas. Il est agréable, esthétique et contient quelques pépites, mais il n'a pas vraiment apporté sa pierre à l'édifice.

 

Une transition dans la douceur avant un prochain coup d'éclat ? L'histoire raconte qu'il fallu (et qu'il faut encore) s'armer de patience... 🤭

 

 

Classement personnel des titres de l'album :

 

1. Mon corps, mon amour

2. Paranoïaque Transcendantal

3. Dis-moi ton secret

4. Tokyo Eyes 

5. L'Éternité

6. Âme en dentelle

7. Le blanc du plafond

8. La Dame-oiselle

9. Il y a des nuits

10. Nos corps-aimants

11. Nino mi niño

12. Duerme Negrito

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  • 2 semaines après...

"La Réplique" est devenu son meilleur lead single pour moi, c'est la première fois qu'elle sort une chanson qui pourrait facilement être remixée et être diffusée en soirée, c'est tellement osé de sa part de revenir avec un tel titre !

 

1. La Réplique (gros banger !)

2. Mon Corps Mon Amour 

3. My Lomo & Me 

4. J'traine des Pieds (ce titre a tellement une vibe nostalgique 🥲)

5. Elle Panique

...

6. J'aime Pas l'amour

 

Le niveau de ses leads single quand même :throb:, les instrus sont toujours originales et travaillées

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Le 09/11/2023 à 16:16, Analeith a dit :

1. La Réplique (oui ça date d'hier, mais >>>>>>)

 

2. Mon corps, mon amour

3. My lomo & me

...

4. J'traîne des pieds

5. Elle panique

...

6. J'aime pas l'amour

 

il y a une heure, Matangi a dit :

1. La Réplique (gros banger !)

2. Mon Corps Mon Amour 

3. My Lomo & Me 

4. J'traine des Pieds (ce titre a tellement une vibe nostalgique 🥲)

5. Elle Panique

...

6. J'aime Pas l'amour

 

Sister de leads :throb:

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  • 3 semaines après...

Petit classement de sa discographie avec les titres importants des albums selon moi

 

1/ Le calme et la tempête, Olivia continue à refaire du Olivia, très authentique mais la production est plus moderne et conserve une touche très artisanale, très musiciens en live avec une grande variété de sons, enregistrement de qualité à Los Angeles, on retrouve l'humour, les chansons rock, l'anglais ou l'espagnol, l'éternel duo avec le père  :

  • Volver : Sa meilleure chanson pour moi, une perle mélancolique avec un refrain divin, je la veux entièrement en espagnol.
  • Question de pudeur : Elle déchire dans ce registre bien rock, elle refait le coup à chaque album mais je trouve que cette chanson est un sommet de sa carrière (le son sur le pont, grinçant). 
  • Ironic Rainbow : Belle ambiance, belle évolution, elle est planante. 
  • Les larmes de crocodile : La prod est un mélange de la Olivia femme chocolat et avec plus de modernité, il y a un truc qui se passe dommage que les paroles volent pas haut (pisser moins souvent). 
  •  La voleuse de baisers : J'aime bien le son très brut, ambiance rocknroll et ça lui va à merveille.  
  • L.A Melancholy : Refrain un peu faible mais j'aime la production très Ruiz. 
  • Le calme et la tempête : Un titre intéressant comme une montagne Russe, ça monte et ça descend. 
  • My lolo & Moi : Un jolie lead single fort sympathique mais c'est pas la meilleure chanson du projet. 
  • Mon petit chat : Il y a de l'humour, c'est du Ruiz mais encore une fois production parfaite. 
  • Le pirate : Mon petit chat bis. 

2/ Miss Météore, album plus moderne et mieux construit que les précédents, conserve la touche authentique de Olivia, toujours un mélange de chansons avec humour, titres rock, chansons planantes en anglais et des petites touches espagnoles, sur le plan visuel et live, l'album parait mieux que la femme chocolat :

  • Mon petit à petit : Toujours ce titre bien rock qui décroche la mâchoire, particulièrement réussi ici. 
  • Peur du noir : J'aime sa douceur et son ambiance, très bon en live aussi, planante.
  • Elle panique : Excellent lead single à la Ruiz mais je préfère la version live plus rock.
  • Spit the devil : Tout est bon, production au top, le genre de titre que j'aime chez elle. 
  • Les crêpes aux champignons/belle à en crever : Deux bons singles 
  • When the night comes : Ce titre me transporte toujours, planante et authentique. 

3/ La femme chocolat, l'album pilier qui a construit sa carrière, je trouve qu'elle a repris la base de cet album comme d'un plan pour construire les suivants tout en évoluant :

  • La petite valse de Narbonne : Titre très Olivia, terroir, en toute simplicité, musique de campagne.
  • I Need A child : Ca déménage bien surtout en live, les arrangements du refrains sont tops, rocky.
  • Je traine des pieds : Sa chanson culte, son plus gros tube encore à ce jour. J'aime son authenticité qui lui a permis de faire la différence.
  • Quijote/Goutez moi : Une perfection pour les deux titres, elle excelle toujours en musique rock. 
  • Cabaret Blanc : Une bien belle perle de sa discographie, minimaliste. 
  • La femme chocolat : Toujours aussi efficace ce bonbon, très bon en live en version rock. 
  • La fille du vent : J'aime le refrain. 

4/ A nos corps aimants, objectivement l'album est pas mauvais, il est plus moderne et conserve le style Ruiz mais il y a quelque chose qui ne va pas, parfois ça décolle pas, on a eu une bombe en lead single puis un album moins puissant mais qui reste bon

  • Mon corps mon amour : La bombe de l'album, un vrai renouvellement. 
  • La dame-oiselle : Un mélange de l'ancienne Olivia avec une prod moderne, c'est très réussi. 
  • Il y a des nuits : Titre à l'ancienne, il peut être inclus dans miss météore ou le calme et la tempête. 
  • Dis moi ton secret : Plus classique et efficace mais très bon, pas un grand changement encore une fois. 
  • L'éternité : Un peu à la volver et autre titre du calme et la tempête, ça reste bon mais peu original. 
  • Tokyo Eyes : Enfin un peu de changement et ça fait du bien, dommage pour l'anglais.  

J'ai du mal à départager les albums çi dessus. J'ai l'impression qu'il y a un fil conducteur dans chaque album, c'est son hisoire qui est agréable à suivre. On a parfois la même base mais avec un peu d'évolutions. Entre les trois premiers, mon appréciation évolue en permanence, c'est presque ex aequo entre les deux premiers. 

 

5/J'aime pas l'amour, premier album bon mais qui me marque pas, j'y reviens rarement

 

  • Enervé : Bon titre rock mais on a connu mieux dans chaque autre album.
  • Petite fable : Pour son texte en rapport à son parcours difficile à la star ac. 
  • J'aime pas l'amour : Bon titre rock qui déménage bien en live. 
  • De l'air : J'adore ce titre car il sonne un peu plus radio friendly pop rock de l'époque et on a pas souvent ça chez Olivia. 
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  • 2 mois après...

Je me réécoute évidemment la discographie de la dame avant le 01/03 et je suis retombé sur sa reprise de Message personnel sur l'album de la Star Academy (moi qui n'avais d'oreilles que pour J'envoie valser 😍

J'avais totalement oublié qu'elle avait interprété ce titre et qu'elle était d'ailleurs la seule élève de sa saison à avoir deux solos sur l'album ! 

J'aime beaucoup sa version, moins aseptisé que les autres morceaux du disque, et on sentait déjà à l'époque qu'elle allait devenir une bonne interprète. 

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