Cherry Pop Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 Justin va avoir du succès avec son nouveau single mais Mylène a gagné d'avance son #1 avec ce son (que j'aime énormément je l'avoue) même si les chiffres sont peut-être faux. Le top 3 juste au dessus restera sûrement le même. Vous pensez à quoi pour la semaine prochaine, encore numéro un ? 1 Lien vers le commentaire
ThomasYoshi Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 Avec de la promo, c'est possible. Sinon... ça va vite descendre Lien vers le commentaire
Enigmatique Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 On aura la confirmation des classements quand? Lien vers le commentaire
desen38 Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 Lundi 7 normalement. Lien vers le commentaire
Petit Prince Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 Parce que le marché des téléchargements s'est effondré depuis 2012, ce qui fait que des chansons classées #1 auront énormément de mal a faire les mêmes scores que les #1 de 2012 C'est même pire ça, on est au même niveau qu'aux derniers mois du top singles physique français. Le #1 single "légitime", c'est le #1 du top streaming. Lien vers le commentaire
fredo Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 Lundi 7 normalement. des le vendredi soir ils sont dispo sur le site du snep 1 Lien vers le commentaire
desen38 Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 En effet, j'avais lu "chiffres" pardon. Lien vers le commentaire
Dracarys Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 C'est même pire ça, on est au même niveau qu'aux derniers mois du top singles physique français. Le #1 single "légitime", c'est le #1 du top streaming. C'est incroyable que notre marché musical se casse la gueule, quand on regarde aux USA ou au Royaume Uni, les téléchargements se portent bien, faut croire que ce n'est pas dans notre culture. Le téléchargement illégalement tue l'industrie du disques, des films ... Lien vers le commentaire
Rell Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 Non, les téléchargements se cassent la figure partout depuis 2 ans. Lien vers le commentaire
Espirito Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 quand on regarde aux USA ou au Royaume Uni, les téléchargements se portent bien, Ah bon? Le #1 du HDS américain ne dépasse bientôt plus les 100 000 ventes (contre 300 a 4000 y'a encore 2 ans), quand a l'UK les chiffres sont en chute libre aussi (et le streaming a du mal a prendre là-bas) Lien vers le commentaire
Dracarys Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 Ah ça se casse la gueule aussi à l'étranger ?! Lien vers le commentaire
Petit Prince Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 C'est incroyable que notre marché musical se casse la gueule, quand on regarde aux USA ou au Royaume Uni, les téléchargements se portent bien, faut croire que ce n'est pas dans notre culture. Le téléchargement illégalement tue l'industrie du disques, des films ... Pour le coup, ce n'est pas la faute du téléchargement illégal mais à la montée en puissance du streaming (Deezer/Spotify). En 2014, 55% pour le streaming / 40% pour le téléchargement légal. Cette année, la domination du streaming ne fera que s'accentuer davantage. Ce n'est pas pour rien que sur le site Internet éphémère de Stolen Car, les liens streaming soient mis en avant. 2 Lien vers le commentaire
Invité Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 C'est même pire ça, on est au même niveau qu'aux derniers mois du top singles physique français. Le #1 single "légitime", c'est le #1 du top streaming. Je comprends tout à fait la logique et l'évolution, et ce qui va suivre va forcément t'exaspérer (pardon pardon ), mais n'est-ce pas à nuancer un peu malgré tout ? Pour prendre l'exemple de Deezer (connais pas Spotify), il y a des recommandations, des playlists, des radios etc. Ce qui fait que l'on t'incite à consommer ce que tu ne recherches pas nécessairement et que l'on peut écouter n'importe quoi dans une optique de radio libre. Peut-être y a-t-il une différence entre des morceaux qu'on pioche comme ça pour se distraire et des titres que l'on choisit d'écouter, comme si on les possédait / voulait les posséder ? C'est sûrement très con mais je me demande quand même si l'on peut mettre au même plan deux schémas qui me semblent très différents. Donc, pour t'exaspérer, comme je le disais, je ne sais pas trop si le principe du streaming s'assimile bien à l'idée de possession (et donc par défaut d'achat d'un titre) ou d'un concept qui se rapproche davantage d'une espèce de jukebox à durée ultra limitée et ainsi difficile à prendre en compte d'une façon identique. Peut-on mettre tout ça au même niveau ? 2 Lien vers le commentaire
Dracarys Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 Pour le coup, ce n'est pas la faute du téléchargement illégal mais à la montée en puissance du streaming (Deezer/Spotify). En 2014, 55% pour le streaming / 40% pour le téléchargement légal. Cette année, la domination du streaming ne fera que s'accentuer davantage. Ce n'est pas pour rien que sur le site Internet éphémère de Stolen Car, les liens streaming soient mis en avant. Donc les artistes sont rémunérés sur du streaming ?! ils doivent encore moins toucher qu'avec le téléchargement légal ... Lien vers le commentaire
Petit Prince Posté(e) 29 août 2015 Share Posté(e) 29 août 2015 Je comprends tout à fait la logique et l'évolution, et ce qui va suivre forcément t'exaspérer (pardon pardon ), mais n'est-ce pas à nuancer un peu malgré tout ? Pour prendre l'exemple de Deezer (connais pas Spotify), il y a des recommandations, des playlists, des radios etc. Ce qui fait que l'on t'incite à consommer ce que tu ne recherches pas nécessairement et que l'on peut écouter n'importe quoi dans une optique de radio libre. Peut-être y a-t-il une différence entre des morceaux qu'on pioche comme ça pour se distraire et des titres que l'on choisit d'écouter, comme si on les possédait / voulait les posséder ? C'est sûrement très con mais je me demande quand même si l'on peut mettre au même plan deux schémas qui me semblent très différents. Donc, pour t'exaspérer, comme je le disais, je ne sais pas trop si le principe du streaming s'assimile bien à l'idée de possession (et donc par défaut d'achat d'un titre) ou d'un concept qui se rapproche davantage d'une espèce de jukebox à durée ultra limitée et ainsi difficile à prendre en compte d'une façon identique. Peut-on mettre tout ça au même niveau ? C'est le débat récurrent de la notion de "possession" mais je pense que d'ici quelques années, le problème ne se posera plus et on se rapprochera davantage (en France) du modèle scandinave où les certifications se basent désormais sur x millions d'écoutes et non plus sur le nombre de singles vendus de façon "traditionnelle". 1 Lien vers le commentaire
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