Maxwell | Blacksummers'night

Embrya · 31 octobre 2009

Cold

La prod est d'une richesse, un bonheur à ecouter. Très entrainant.

Jezebel · 2 novembre 2009

Maxwell Concert - Hammersmith Appolo(Londres)-31 octobre

Le concert commence très bien avec la chanson instrumental trés experimental Funk/electro Phoenix rise, Les musiciens parviennent a nous mettre toute suite dans cette ambiance Funky Soul Smooth de l'univers de Maxwell, bien sur ce dernier ne fait pas encore son entrée ce qui rends les premiers instants très excitant surtout pour moi la Stan lool, on continue avec le démentiel Dancewithme de son premier album où Maxwell fait enfin son entrée digne d'un Soulman, là j'allais faire une crise lol Je me suis levée pour l'applaudir, j'étais dechainé !!! je ne pouvais pas m'en empêcher, j'ai écouté et dansé sur cette chanson tant de fois ! vient ensuite Sumthin' Sumthin ' et là puuuuuuuuuffffff Quel classe ! quel prestance ! quel virilité ! il était en place, très énergique avec son groove dont il a le secret, il jouait bien évidément avec son public féminin vu le thème de cette chanson 'If It's cool, we can do a little sumthin' sumthin » « Honeydosugachocolate dumplin »', wwoowww avec cette attitude très sexy sans en faire trop et son sourire timide miam !!! il a conquit toute les femmes du public lol Il a tout comprit le Maxwell lool Place a Get To Know Ya, qui a mit tout le monde d'accord, c'était très cool ! Maxwell faisait chanter en chœurs le public avec « I Gotta Get to know Ya, ha ha ha ouuuuhhhh » lool ces Lives m'ont confirmé que Maxwell utilisait la basse dans ces chansons comme personne !

Après tout ce Sexy groove et cette agitation vient le moment des Slow, et on en pouvait que commencer avec le merveilleux Lifetime, Maxwell l'a chanté avec une intensité et une sincérité tellement belle qu'il m'a fait pleuré(oui oui je sais Fabien lool) surtout la fin avec ces ad libs que j'ai savourer et son improvisation des paroles vers la fin wooow accompagné de mon amoureux ce moment fut très très agréable je dois dire, le public a beaucoup apprécié parcontre il y'avait une fan derrière qui gachait un peu l'ambiance en chantant horriblement mal mais ça doit être l'emotion lol

Bad Habit était excellent, déjà Quel intro magique et je félicite la maitrise des musiciens, c'était prodigieux, je pense au saxophone qui est très jouissif wooow quel instru déjà sur le CD c'est enoorme mais en Live ça donne une autre dimension. Cependant, Maxwell avait l'air en difficulté au niveau du rythme (c'est une chanson difficile faut le dire) mais en professionnel il se rattrapait en faisant participer le public comme il sait si bien faire, les "I Can't Control The Feelin" étaient terrible !

Lovin You qui introduit Simply beautiful était enoorme , Les Vocals ainsi que le jeu du guitariste était tellement original, imprévisible ! et là encore j'admire l'échange qu'a eu Maxwell avec le public, super sexy quand il demande « How many single ladies are there ? » où encore toute sortes de questions coquines dans ce genre lol vient ensuite sa reprise de Simply Beautiful , performance magique notament grace a cette façon d'improviser les paroles, y'a pas a dire il sait comment parler et chanter a son public !! j'ai adoré!

Vient ensuite le tour de Fortunate, excellente performance vocale, cette chanson ainsi que son interprétation m'ont tellement fait planer surtout au moment du falsetto, que j'ai fermé les yeux pour ressentir à fond la musique, très très beau moment

On arrive ensuite a un moment plus serieux avec Help Somebody, chanson trés engagée où Maxwell avec la sincérité qu'on lui connait nous fait prendre conscience de l'importance d'aider son prochain, sa voix au moment du bridge a partir de"Help somebody, show Em what it is give a little bit more..." m'a renversé, on avait un Maxwell cassé, éraillé(tout ce que j'aime dans une voix) qui se donnait tout ce qu'il avait pour faire passer son message, de la pure soul wooow! Epoustouflant

Fistul Of Tears très très bon, toujours dans l’improvisation des paroles, il a fait quelque chose avec sa voix un moment j’étais sciée lol j’ai bien aimé comment il l’a terminé la chanson aussi. J’ai bien apprecié les « We gon Fight the war !!! »

Au tour du funky Cold qui à vibrer la salle, tout le monde s’est levée et a bougé ! sa façon de poser sur les 2 premiers couplet est juste exaltant et ce que j’ai adoré c’est la complicité qu’il avait avec ces musiciens, très percutant !

Il a enchainé avec un morceau de No One(album Now) tout aussi super, j’ai adoré ce qu’a fait le batteur, incroyable ! et les chœurs étaient également très réussit, les pas de danse de Maxwell aussi lol

Playing Possum m’a émue. Chanson acoustique, assis sur une chaise avec le très bon guitariste a côte, il jouait sur les silences et ce qui donne justement autant de force à cette chanson, tout le monde criait dans la salle mais je n’entendais rien lol il m’a tellement captivé et a réussit a me transporter quelque part, c’est une chanson très profonde qui parle de la tristesse d'un homme brisé par l’amour, c’est un peu le Lonely Is The Only Company de Urban Hand Suit, je ne voulais plus que ça se termine, Les voix de tête a la fin étaient exquises! ça traduisait justement la douleur de cette chanson et le vécu... il a eu une standing O !

Moment de grâce, la il où impose sa signature vocale, là où se rend compte qu’il béni par le don de chanter, c’est bien sur This Woman Work, c’est vraiment quelque chose à voir, une prestation qui transcendé toute la salle du Hammermith, son interprétation est une balle en plein cœur Respect Respect Respect

Stop The World était merveilleux, j’aime écouter cette chanson parce qu’elle me procure tellement de bien, elle m’évade tellement elle est positif, j’adore le message et huuummm vocalement c’était tellement bon !! Surtout les montées a la fin wooow

Ouuuuuuuuuhhhhhh le moment « Baby Makin Song » de cette soirée je l’attendais avec impatience!! oh oui je l’attendais ce T’ill The Cops Come Knokin’, très très très excitant, sensuel, érotique…..Maxwell nous a délivré une performance a faire tomber toute les femmes de ce monde ! Sa gestuelle et son jeu de seduction a fait fantasmer toutes les femmes dans la salle et que dire de l’alarme qu'ils ont bien mit en valeur lol qui était très très bien pensé(ceux qui connaissent la chanson comprendrons) Après avoir vu ça, on a envie de lui dire "Maxwell quand tu veux, où tu veux, comme tu veux !!! "Hot !!

On arrive a la fin avec Pretty wing, chanson que j’ai du écouter le plus cette année je crois, pas de surprise c’était juste parfait, son aisance, sa spontanéité, j’adore après le 2^e couplet quand il chante avec cette voix eraillé« Im Sorry Baby !!!!» Qui résonne encore dans ma tête !

Il termine le concert avec Ascension, son grand Tube qui la propulsé en tant que leader de la scène Neo Soul, rien a dire a part que sa voix était divine (sans blague !)

Excellent concert a tout point de vue, Un artiste, une âme, une sensibilité, Maxwell est l’humilité personnifiée. On retient le beau partage avec le public et sa complicité avec ces musiciens de haut niveau. La musique et la voix bien évidement de haute qualité que demander de plus ? Bon je n’ai pas eu Luxury : Cococure mais quel soirée ! Je n’en suis toujours pas remise !

Beautiful Black Night With Max-Everything-Sounds-Well !

Jezebel · 3 novembre 2009

Le monde a consacré un article a Maxwell comme il est de passage au Casino de Paris ce soir !

Maxwell, retour d'une grande voix de la soul

Cela fait près d'une heure et demie que le show a commencé, quand une culotte féminine fait un gracieux vol jusqu'à la scène. Un temps d'arrêt, et Maxwell a un sourire alors qu'enfle dans Madison Square Garden une clameur d'étonnement ravi. On est le 28 septembre, un lundi, pas le meilleur jour pour les concerts, mais la célèbre salle new-yorkaise est remplie à ras bord. Pour Maxwell, pour sa voix soul parmi les plus prenantes, son énergie scénique, son orchestre parfaitement réglé et son grand retour.

Révélé au grand public en 1996 avec le disque Urban Hang Suite, volontairement retiré des affaires entre 2001 et 2008, Maxwell, né le 23 mai 1973 à Brooklyn, à New York, est aujourd'hui à nouveau en pleine lumière. Les ventes de son nouvel album, paru aux Etats-Unis le 7 juillet, BLACKsummers' night, annoncé comme le premier d'une trilogie, pourraient approcher le million d'exemplaires en fin d'année. Sa tournée nord-américaine, du 17 juin au 23 octobre, a été un triomphe public et critique. Et il enchaîne avec une tournée en Europe, du 28 octobre au 13 novembre. Pour la France, Maxwell sera au Casino de Paris, mardi 3 novembre.Au répertoire de son spectacle, des chansons sur tempo lent, avec, à intervalles réguliers, celles dont la pulsation est plus marquée pour faire danser : compositions de son nouvel album (Bad Habits, Pretty Wings, Fistful of Tears...) ; rappel de son parcours (Ascension, Sumthin' Sumthin', Fortunate, Lifetime...) ; sa reprise émotionnellement intense de This Woman's Work, de Kate Bush, celle de Simply Beautiful, d'Al Green.

En costume sombre et chemise blanche, Maxwell tombe à genoux devant le micro, se relève d'un bond, va à gauche, à droite, attrape des mains au passage, lance les bras au ciel, retombe, porte les poings à sa poitrine... Charismatique, viril, d'une élégance formidable, séducteur. Il rappelle qu'il est natif de Brooklyn, et le quartier, qui a envoyé un fort quota de représentantes et représentants, rugit.

Le regard et le ton sincères

Le lendemain, en fin d'après-midi, de retour de jogging, Maxwell donne un entretien au Monde. "Que votre journal s'intéresse à moi est un privilège." Celle-là, on l'a déjà entendue de la part de stars qui la ressortent aussi vite au confrère suivant.

Mais Maxwell n'est pas retors. Quand il dit être "fier" de l'accueil new-yorkais, qu'il se sent "humble" à côté de Jackie Wilson, Sam Cooke, Marvin Gaye, Al Green, Stevie Wonder ou Prince, souvent évoqués pour parler de lui, le regard et le ton de Maxwell sont sincères, honnêtes, vrais. "Je suis un chanteur de soul music, j'arrive après d'autres, et d'autres viendront après moi. Si je peux marquer, pendant quelques secondes, l'histoire de cette grande musique, cela aura déjà été beaucoup." Comme D'Angelo, Raphael Saadiq, Bilal - dans le public de Madison Square Garden -, Erykah Badu ou Macy Gray, Maxwell est un enfant de la soul des années 1960. Il est plus proche des sources que certains - cela s'entend dans ses compositions et ses interprétations - mais sans passéisme. "J'ai 36 ans. J'ai souvent entendu, de la part de gens qui ont plus souvent le mot "business" que le mot "art"à la bouche, que passé 25 ans on n'était plus rien. Ce n'est pas possible avec la soul music. C'est une musique pour laquelle on doit prendre le temps."

Ce qu'il a fait. Après la parution de son troisième album en studio, Now, en 2001, Maxwell décide de faire une pause. "Mon premier album est devenu une référence, à laquelle les autres ont été comparés. Je ne l'ai pas vu pourtant comme un fardeau. Cela m'a poussé à vouloir progresser, faire mieux, autrement, pour le suivant. A un moment, il m'a semblé qu'artistiquement, il était important de me mettre en retrait. J'ai médité, lu des livres, vécu une vie "normale". Les gens ne me reconnaissaient pas. Je pense qu'à un moment on perd son humanité quand on est emporté par cette succession de concerts, de voyages, d'acclamations, même si j'ai toujours fait très attention à ça."

"Tué par balles"

Pas de plaintes sur la "pénible vie de star" dans les mots de Maxwell. Pas de couplet du style : "J'ai appris à connaître mon moi profond". C'était ce qu'il fallait faire. Point. Du coup, il goûte avec encore plus de plaisir ce retour acclamé. Avec "la maturité acquise" pour ne pas s'y perdre. Maxwell vit pour la musique, pas pour le brillant. Et cela depuis ses débuts, à la fin des années 1980, dans des petits clubs new-yorkais, avec ses premières compositions.

"Je viens d'un milieu modeste et d'un quartier qui n'était pas toujours facile. J'ai fait attention. J'aurais pu me retrouver à vendre de la drogue, être tué par balles dans une bagarre. Ma famille était là." Sa mère est originaire d'Haïti, son père de Porto Rico. Il a chanté ses premiers airs à l'église.

BLACKsummers' night aura deux successeurs. Le deuxième album est prévu pour l'été 2010, le troisième en 2011. L'un serait dans l'enracinement gospel, l'autre plus tourné vers des ballades sensuelles. Maxwell n'en dit pas plus. "Garder un peu de mystère maintient le désir du public." Et c'est une manière pour Maxwell de continuer à rester rare.

Source: http://www.lemonde.f...61635_3246.html

Il était cet aprés midi sur Europe 1 en interview avec Thierry Lecamp ! Je posterai ça quand j'aurai le lien. sinon c'est dommage qu'il n'a pas fait le grand Journal !

Interview intéressante pour Blues And Soul

http://www.bluesands...so_sad_maxwell/

Jezebel · 3 novembre 2009

MERCI in advance to the 2,000 PARISIANS who are waiting to see us TONiGHT! it's been a long time but we have only just begun to BEGIN again!10 minutes ago from Twitterrific

Jezebel · 5 novembre 2009

cette chanson est enoorme !!

http://www.youtube.c...player_embedded

Embrya · 3 décembre 2009

Grammy Nominations:

Song Of The Year - Pretty Wings

Hod David & Musze, songwriters (Maxwell)