Invité Boyvogue Posté(e) 24 mars 2004 Share Posté(e) 24 mars 2004 ben moi c'est dramatique :shock: j'ai pratiquement plus le droit d'acheter de Cd depuis qu'on a Kazaa !!!! (pour ceux qui comprennent pas j'ai que quinze ans....) et moi je sais pas pourquoi mais je préfère acheter les Cd plutôt que de les téléchargés.... Lien vers le commentaire
Invité Rick Posté(e) 24 mars 2004 Share Posté(e) 24 mars 2004 moi si un CD me plait la plupart du temps je l'achète, sinon les singles j'achète jamais je telecharge tout et bien sur pour Britney j'achète je telecharge jamais Lien vers le commentaire
Hakunamatata Posté(e) 21 juillet 2004 Auteur Share Posté(e) 21 juillet 2004 mardi 20 juillet 2004, 8h33 -- BERLIN (AFP) - Les artistes allemands sont-ils menacés de disparaître des bacs des disquaires ? La crise de l'industrie du disque, dont les ventes ne cessent de chuter, met en danger la création musicale en Allemagne au moment où le piratage numérique ne cesse de progresser. Alors que la Commission européenne a donné lundi soir son feu vert à la fusion entre les maisons de disques BMG, filiale du géant allemand des médias Bertelsmann, et Sony Music, la première vient de décider de résilier les contrats de 60% de ses artistes allemands. Ces derniers mois, elle a déjà renvoyé 20 artistes parmi lesquelles la star nationale de la musique populaire, Udo Lindenberg. Un coup dur porté à la création mais justifié à ses yeux par la situation désastreuse de la musique outre-Rhin, qui touche aussi bien les "majors" que les indépendants. "L'an dernier, 85% des nouveaux albums de nos artistes nationaux se sont vendus à moins de 25.000 exemplaires", explique Maarten Steinkamp, président de BMG International et des filiales allemande, suisse et autrichienne. Depuis 2001, le chiffre d'affaires des quelque 500 éditeurs allemands de musique s'est effondré d'entre 40% à 60%. Les grands labels sont parvenus tant bien que mal à maintenir le cap grâce notamment aux succès des compilations ou de chansons tirées d'émissions télévisées à succès comme "Deutschland sucht den Superstar", l'équivalent allemand de la "Star Academy". Troisième marché mondial de la musique après les Etats-Unis et le Japon, l'Allemagne souffre de l'omniprésence des artistes anglo-saxons et les stars locales qui chantent en allemand sont difficilement exportables. Depuis 1984 et l'incroyable succès de Nena et de son "99 Luftballons" --600.000 exemplaires vendus aux Etats-Unis-- quel artiste chantant dans sa langue maternelle peut-il se targuer d'un succès international? Pourtant la musique allemande ne se porte pas si mal à en croire la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI) en Allemagne. En 2003, parmi les meilleures ventes d'albums de l'année, 29,5% étaient des artistes allemands. La proportion grimpe même à 54,7% pour les ventes de singles. L'Allemagne possède aussi ses stars, telles Yvonne Catterfeld, Xavier Naïdoo ou encore Herbert Groenemeyer et ses 10 millions de CD vendus. Plusieurs groupes issus des milieux "underground" ont également réussi à percer, tels "Wir sind Helden" ou "Zweiraumwohnung", et Berlin reste la capitale incontestée de la techno en Europe avec son lot de DJs et de formations en tout genre. "On écoute de plus en plus de musique mais on en achète de moins en moins", diagnostique Gerd Gebhardt, président de la Fédération de l'industrie phonographique. "Les copies gratuites de CD et les offres internet illégales sont nos plus grands rivaux", ajoute-t-il. L'Allemagne n'échappe pas en effet au fléau qui frappe l'ensemble de l'industrie musicale: le piratage des CDs. Début juin s'est tenu le premier procès d'un "pirate" en Allemagne. L'internaute de 23 ans a été condamné à une amende et à verser des dommages-intérêts pour avoir proposé des milliers de titres sur la bourse d'échange en ligne KaZaa. Six mille fichiers MP3 et plus d'un millier de titres copiés sur une centaine de CDs avaient été saisis au domicile du jeune homme. Face à cette crise sans précédent, certaines maisons de disque ont décidé de réagir en cassant les prix. BMG va ainsi lancer des CDs à 9,99 euros. Version bon marché des disques traditionnels, ils ne comporteront pas de pochette, les titres des chansons étant directement inscrits sur le CD. Launch.fr Décidemment, le marché du disque allemand va TRÈS mal :? Lien vers le commentaire
Drol Posté(e) 21 juillet 2004 Share Posté(e) 21 juillet 2004 Ben oui et c'est pas seulement à cause du piratage ... Lien vers le commentaire
LoyS Posté(e) 21 juillet 2004 Share Posté(e) 21 juillet 2004 Moi je pense que vu au prix ou sont les cd c normal kon aille les telechargés moi j' achete plus que les cd de britney sinon je grave sauf aujourd hui g acheté k Maro et passi et Calogéro et 10.6 les de singles c vraiment tro cher!!! Surtout ke apres on voit comment les chanteurs sont riches ils pourrai baisser les prix Lien vers le commentaire
Invité 99luftballons Posté(e) 21 juillet 2004 Share Posté(e) 21 juillet 2004 Je pensais pas que ca allait tellement mal en Allemagne. Ils ont pourtant plus de choix que nous au niveau CDs et singles. Lien vers le commentaire
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