Enrique Iglesias a fait le choix de la simplicité pour le clip de sa chanson "Ayer", cinquième extrait de l'album "Euphoria" (2010). Ce neuvième opus du latin lover a rencontré un grand succès un peu partout dans le monde, et notamment dans les pays hispanophones. Pour faire suite au dansant "Dirty Dancer", enregistré en featuring de Lil Wayne et USHER, c'est une ballade qui prend le relais. Et pour mettre "Ayer" en image, Enrique Iglesias a opté pour une pièce fermée, volets clos, dans laquelle il est assis, presque statique. La chambre prend feu, ce qui ne semble pas inquiéter l'artiste, trop occupé à chanter l'amour qui le consume.

Découvrez "Ayer", le nouveau clip d'Enrique Iglesias :


"Ayer" fait partie des titres qu'Enrique Iglesias interprète sur scène dans le cadre de sa tournée "Euphoria Tour", au même titre que "I Like It", "Heartbeat" (feat. Nicole Scherzinger), "Tonight (I'm Lovin' You)" et "Dirty Dancer", tous exploités en qualité de single pour "Euphoria". Le chanteur a posé ses valises en France pour deux dates, au Palais Nikaïa de Nice le 31 mars, et le 2 avril au Zénith de Paris. L'équipe de Pure Charts s'était d'ailleurs rendue dans la salle parisienne pour entendre les tubes "Rhythm Divine" et "Bailamos" qui avaient enchanté un public chauffé à bloc. En revanche, on ne peut pas dire qu'Enrique assure vraiment côté voix : s'il ne chante pas en playback, son soutien vocal surpasse son interprétation et sa choriste est beaucoup mise à contribution. Mais ce n'est pas pour sa voix que ses fans se sont déplacés : son jeu de scène dynamique fait vite oublier qu'il chante à peine la moitié des titres, se contentant souvent de quelques mots sur les couplets et laissant ses fans chanter les refrains. Ce soir-là, Nâdiya était venue le rejoindre pour interpréter leur duo "Tired Of Being Sorry (Laisse le destin l'emporter)", qui fut n°1 pendant plusieurs semaines en 2008.

Enrique était hier soir à Melbourne pour son dernier concert australien au cours duquel il s'est laissé aller à quelques révélations sur son anatomie. On le savait déjà, car il en avait fait état il y a quelques années, Enrique a le « plus petit pénis du monde » : « Pourquoi la beauté des Espagnols a quelque chose à voir avec la taille de leur pénis ? J'ai peut-être la beauté espagnole mais j'ai le plus petit pénis du monde.Vraiment ! » s'est-il esclaffé sur scène, avant de rajouter : « J'étais tellement nerveux la première fois. En général, la première fois n'est pas la meilleure. Soyons honnête, j'avais 17 ans et demi, j'étais nerveux et ça a duré 10 secondes ». A ces révélations, l'un de ses fans rétorque que sa première relation avait duré plus de dix minutes. Enrique n'a pas pu s'empêcher de lui répondre : « Vraiment ? Je ne dure même pas huit minutes maintenant ! ».