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Et si les Arctic Monkeys étaient de retour dès cette année avec un nouvel album ? Le groupe rock britannique terminait l'an dernier l'exploitation de son quatrième opus "Stuck It and See" mais songe déjà à lui donner un successeur. Lors d'une interview accordée à la station anglaise Radio 1, le groupe s'est exprimé au sujet de ses intentions pour l'année 2013. Un cinquième album est dans les tuyaux. « On espère pouvoir le sortir cette année - c'est notre projet » a confié le leader Alex Turner, précisant qu'il n'en était encore qu'aux prémices de ce nouveau projet : « On a travaillé quelques trucs, mais rien de sérieux pour l'instant. On s'est juste retrouvé à quatre pour travailler, comme on a l'habitude de faire. Quand on a fait une petite pause, c'est toujours bizarre de s'y remettre et de composer à nouveau ».

C'est lâché ! Les Arctic Monkeys travaillent sur de nouveaux morceaux que l'on espère pouvoir entendre dès cet été, même si une sortie de ce cinquième opus avant l'arrivée du soleil parait plus qu'improbable. Le quartet britannique a en tout cas prévu de venir chanter trois soirs en France cet été, à l'occasion de trois festivals. A commencer par celui de Carcassonne, le 15 juillet, pour lequel les places sont déjà en vente. Idem pour la prestation prévue à Six-Fours-les-Plages le lendemain, dans le cadre du festival Les Voix du Gaou. Enfin, les Arctic Monkeys prévoient également de venir jouer au Théâtre Antique de Vienne le 22 juillet.

Même si le groupe précise avoir fait une pause, il semble qu'il se soit en réalité mis au travail dès l'an dernier. En effet, on sait depuis l'été 2012 que le morceau "Fast" doit figurer à la tracklist de ce futur opus d'après les révélations du bassiste Nick O'Malley. Selon le batteur Matt Helders, il faut s'attendre à un virage un peu plus pop : « Je sais que certains groupes marchent avec un son identique tout au long de leur carrière. Manifestement, c'est le cas de nombreuses formations et ça fonctionne. Le fait est simplement qu'on n'a jamais souhaité faire ça » expliquait Matt Helders au quotidien canadien Calgary Herald, expliquant qu'il avait envie d'un son différent pour plus de sincérité : « Nous ne pourrions pas enregistrer un disque sur le schéma de notre premier album, ça sonnerait un peu faux ».