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Jane Birkin


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Je trouve que sa mort touche beaucoup de gens en France et en dehors. Beaucoup de messages d'anglophones sur les réseaux sociaux, billboard qui poste un article. 

 

J'ai l'impression qu'on parle bien plus de sa mort en comparaison avec France Gall. 

 

Je m'attendais pas à ça. 

 

Physiquement je me rend compte en 2023 qu'elle était une très belle femme canon dans sa jeunesse, entre Brigitte, Romy, j'ai sous estimé sa beauté à Jane. 

 

Un visage, une époque : Jane Birkin, une beauté intemporelle copiée encore  aujourd'hui - ElleLes plus belles photos de Jane Birkin | Vanity Fair

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Une femme magnifique, une icône. Quelle tristesse que de la perdre.

La sphère gainsbourienne est fascinante et je pense à Charlotte, aujourd'hui orpheline.

 

Je ne compte pas ses chansons que je chéris mais l'une d'entre elle n'est pas de Serge donc je vais la citer, si vous ne la connaissez pas : "Les avalanches", écrite pour elle par Miossec.

 

 

 

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Il y a 8 heures, Derf a dit :

Une femme magnifique, une icône. Quelle tristesse que de la perdre.

La sphère gainsbourienne est fascinante et je pense à Charlotte, aujourd'hui orpheline.

 

Je ne compte pas ses chansons que je chéris mais l'une d'entre elle n'est pas de Serge donc je vais la citer, si vous ne la connaissez pas : "Les avalanches", écrite pour elle par Miossec.

 

 

 

Ma préférée de cet album qu'est aussi réussi

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Il y a 23 heures, Derf a dit :

Une femme magnifique, une icône. Quelle tristesse que de la perdre.

La sphère gainsbourienne est fascinante et je pense à Charlotte, aujourd'hui orpheline.

 

Je ne compte pas ses chansons que je chéris mais l'une d'entre elle n'est pas de Serge donc je vais la citer, si vous ne la connaissez pas : "Les avalanches", écrite pour elle par Miossec.

 

 

 

 

Je l'ai vraiment découverte avec cet album lors de sa sortie. Et il reste toujours mon préféré. A l'époque pour l'achat du CD la Fnac offrait une K7 video avec un making of sur l'enregistrement avec des interviews des différents auteurs. On la voyait galérer pour enregistrer la chanson "A la légère" et Alain Souchon à deux doigts de perdre patience (si mes souvenirs sont exacts). Et cette pochette d'album est somptueuse.

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Elle a tellement de classiques, elle a tout chanté...Ma préférée reste celle-ci, de l'album Fictions. Les paroles sont simples mais magnifiques (elles sont de Arthur H). Je l'écoute rarement mais c'est là que l'on se rend compte de son interprétation si singulière:

(PS: je ne sais pas si elle l'avait chanté sur scène)

 

 

 

J'aime aussi la Jane actrice, celle des comédies de mon enfance avec Pierre Richard et comme je suis fan de l'univers de Agatha Christie, il faut bien sûr que je cite ses rôles dans Mort sur le Nil et surtout Meurtre au soleil où elle a un rôle plus important.

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Sur Arte

 

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À la télévision le samedi 22 juillet à 00:10

en replay Du 16/07/2023 au 15/09/2023

 

 

https://www.arte.tv/fr/videos/089088-000-A/jane-birkin-simple-icone/

 

Citation

Jane Birkin, simple icône

 

Jane Birkin a conquis le coeur de Gainsbourg et des Français. Enfant fragile, Lolita à pygmalion, mère bohème, actrice accomplie, chanteuse affirmée ou femme militante : notre portrait en hommage à l'icône pop aux multiples facettes, retrouvée sans vie le 16 juillet 2023.

Sa longue frange, son accent british et son couple avec Serge Gainsbourg dans les années 1970 ont marqué les imaginaires. À la fois actrice et mère, muse et militante, chanteuse et sex-symbol, Jane Birkin a traversé les époques avec un panache qui l’a érigée au rang d’icône. Enfant du babyboom, elle tient de sa mère, l’actrice anglaise Judy Campbell, sa passion pour la comédie. Si, à la vingtaine, elle enchaîne les petits rôles dans le Swinging London des années 1960, c’est plus tard, à Paris, fraîchement divorcée d’un John Barry infidèle, qu’elle connaît le succès. En 1968, à la faveur d’une rencontre avec Serge Gainsbourg sur le tournage de Slogan, la jeune Jane scelle son destin. Ensemble, ils incarnent un couple mythique. Elle lui inspire ses plus grandes chansons, il l’amène à faire de sa silhouette de "demi-garçon", quolibet de ses jeunes années, un modèle de féminité. Mais quand Gainsbourg laisse place à Gainsbarre, son double destructeur, Jane Birkin s’émancipe. Dans les années 1980, elle passe des comédies populaires au cinéma d’auteur. Dirigée par Varda, Tavernier ou encore Doillon, elle laisse filtrer une mélancolie à fleur de peau. Sur les planches, en chanson, d'un côté de la caméra ou de l'autre, sur le pavé, "Jane" cumule les batailles (pour les droits civiques, l'écologie, contre le sida…), en infatigable exploratrice de la liberté. 

Candeur et audace
Tout en archives, ce documentaire montre comment Jane Birkin, d’abord indissociable de Gainsbourg, n’a cessé de se réinventer au fil du temps, multipliant les rôles. De scènes de vie en sessions d’enregistrements, d’extraits de films en interviews, où l’actrice et chanteuse révèle son espièglerie, la réalisatrice Clélia Cohen éclaire les multiples visages de l’intemporelle Jane B. Un portrait exaltant de celle qui a arraché avec les dents du bonheur son statut d’icône, entre candeur et audace, timidité et impudeur.

 

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https://www.arte.tv/fr/videos/093678-000-A/jane-birkin-au-casino-de-paris-1991/

À la télévision le samedi 22 juillet à 01:05

Replay Du 16/07/2023 au 18/10/2023

 

Citation

En 1991, quelques mois après la mort de Serge Gainsbourg, Jane Birkin donne un concert exceptionnel au Casino de Paris. Alors que l’actrice et chanteuse vient à son tour de disparaître à l’âge de 76 ans, ARTE Concert vous propose de redécouvrir cette archive bouleversante.

L’actrice et chanteuse britannique interprète vingt-six titres signés Gainsbourg, presque tous composés pour elle, du nostalgique "Ex-fan des sixties" au mélancolique "Di doo dah" en passant par la ballade romantique "Les dessous chics". Initialement prévu pour la sortie, en 1990, de son album Amour des feintes composé par Gainsbourg, le concert rend un hommage tendre et appuyé à l’auteur-compositeur-interprète disparu. Devant un public conquis, Jane Birkin reprend aussi certaines chansons de son pygmalion. Avec, en guise d’adieu et final du spectacle, l’émouvant “Je suis venu te dire que je m’en vais”.

 

 

 

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