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Mylène Farmer - Avant que l'ombre...


Allan

Messages recommandés

Invité Fan d'eve angeli

Moi le meilleures album que Farmer/Boutonnat est "Innamoramento" avec de super chanson comme "'Ame Stram Gram", "Optimique Moi" ou encore "Dessine Moi un Mouton"

"Avant que l'ombre reste très correct dans l'nsemble et comme le dit MUSIC a la fin de PORNO GRAPHIQUE est insuportable !!!!!!

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Invité julien.gregory

Je suis fan de Mylene depuis des années et franchement je suis un peu deçu des cet album!!

 

Je l'es ecouté une fois en entier et j ne l'es jamais reecouté!!

 

Je m'attendai a mieu, en esperant que ces concerts seron seron a la hauteur de Mylene

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Invité WinFire

En etant fan de Mylene que j adore j aime ce nouvel album ... rien a dire de + si ce n est vivement Janvier 2006 :cheesy: :aurevoir

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Avant que l'ombre... =

 

 

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Ca y est, c'est parti, je me jette à l'eau pour enfin rédiger cette critique du nouvel album, tant attendu par certains, de Mylène Farmer, Avant que l’ombre… et sortis en singles ne m'avaient en effet pas vraiment convaincu et me laissaient augurer des chansons un peu plates et sans saveur pour l’avenir.

Avant que l'ombre… a-t-il réussi à me faire à nouveau apprécier Mylène comme au premier jour ? La réponse tout de suite !

 

 

1- Avant que l'ombre... :

Pour débuter un album intitulé Avant que l’ombre… est une chanson "positive", puisque le message semble être en substance qu’affronter la mort est plus facile quand on a eu une vie avec un sens. A moins que Mylène ne veuille en fait nous signifier que mourir est encore plus pénible lorsque durant sa vie on a aimé : est-on alors prêt à laisser derrière soi toutes ces personnes auxquelles on s'est attaché toute une vie durant ? Le fait de mourir n'est-il alors pas encore plus cruel, car nous obligeant à abandonner l’équilibre fragile que l'on a tenté de construire durant toute son existence, en tissant notamment des relations avec ces "autres" (amis, amants, parents), qui ont rendu la vie terrestre finalement attachante et chère à nos yeux, bien que passablement compliquée et semée d'embûches ?

A moitié optimiste ou à moitié torturée, selon la sensibilité de chacun, cette chanson ouvre en tout cas l’album de façon magistrale et nous montre une Mylène peut-être moins hantée par la mort, même si celle-ci continue de l’inquiéter (ou de l'intriguer, simplement ?). Le final instrumental, avec en fond les gémissements d’une Mylène semble-t-il agonisante, où les percussions se font sombres et menaçantes (et rappellent un peu l'intro de Vertige de l'album Anamorphosée), tout comme les cordes, est de toute beauté. Difficile d'accès lors des premières écoutes, l’élégante et quelque peu inquiétante mélodie de ce titre ne fait ensuite que s'insinuer dans l'esprit pour y rester. Du très grand et beau Farmer/Boutonnat.

 

2- Fuck them all :

Sur ce titre, tout ou presque a été dit. C'est en effet la chanson qui a été choisie comme single pour annoncer la sortie imminente de l'album ici passé en revue. Ce qu'il ne réussit qu'à moitié, puisque de tous les textes de l'album, celui de Fuck them all, pour ceux qui ne suivraient pas !), comme elle le scande dans le refrain d’une voix trafiquée de manière à évoquer un cri de révolte collectif. En leur nom donc, Mylène incite les femmes (tout en s’incluant elle-même parmi elles, par l’emploi du "nous") à rentrer sur le devant de la scène et prendre le pouvoir aux hommes en inversant les rôles généralement dévolus à chaque sexe ("Nos vies à l’envers"), en reléguant donc les hommes à un simple rôle de "reproducteurs" ("Faites l’amour") et en confiant aux femmes la fonction traditionnellement masculine consistant à faire la guerre. Je passe sur le pont d'injures dans la langue de Shakespeare qu'elle nous a concocté et qui a pu faire couler de l’encre ici et là…

Un titre auquel j'ai eu personnellement un peu de mal à accrocher au début, mais qui finalement s'impose de plus en plus. La présence des guitares sur les refrains et le pont offre au titre une belle énergie. Dommage que le clip n'ait pas mieux exploité le texte qui aurait pu donner lieu à, pourquoi pas, ça ne coûte rien de rêver, une sorte de suite à Désenchantée, où cette fois les "prisonniers" auraient été des femmes se rebellant contre leurs bourreaux, les hommes ! C'est peut-être un peu "primaire" comme idée de départ, mais ça aurait sans doute été plus efficace que le clip réel qui, mis à part le fait d'employer des références appuyées à ses clips les plus inspirés (essentiellement des années 80, donc) et des symboles difficiles à décrypter, n'offre pas de réel scénario à se mettre sous la dent. Alors que le clip scénarisé est quand même l'une des marques de fabrique de Mylène !

 

3- Dans les rues de Londres :

Il s’agit de la première ballade de l’album qui évoque dans le refrain une certaine Virginia… En fait, il est question de l’écrivaine Virginia Woolf, qui, lassée de ses névroses, s’est suicidée par noyade en fixant des pierres à ses pieds dans une rivière. C'est à cette fin tragique que le second couplet fait référence ("Des lambeaux de terre me regardaient disparaître/Et parmi les pierres, je vivais et j'espérais, tu sais..."). Il n’est finalement pas étonnant que Mylène ait écrit une chanson qui semble dédiée à ce personnage : le funèbre destin de cette femme dépressive ne pouvait qu’intéresser celle qui n’a (eu ?) de cesse d'exorciser ses démons en confiant ses tourment(e)s intérieur(e)s et sa peur de la vie dans ses chansons.

C’est un morceau somme toute simple, mais agréable et plein de grâce, notamment grâce la présence de chœurs éthérés.

 

4- Q.I. :

Dans cette chanson qui a été choisie pour succéder à Fuck them all qui déjà était consacré au postérieur...

Il s’agit assurément de l’un des morceaux les plus efficaces de l’album : les couplets et les bridges chantés avant les refrains sont un délice grâce à la voix grave de Mylène qui se fait tour à tour blasée, enfantine ou sensuelle. Le seul bémol pour moi est le refrain qui est un peu "mou" et alourdit un peu la chanson (serait-ce dû au chant aigu de Mylène ?), là où les couplets sont entraînants et légers.

 

5- Redonne-moi :

Pour faire court, Redonne-moi est une ballade qui rappelle un peu Nous souviendrons nous (de l’album L’autre…) pour la voix aiguë de Mylène sur les couplets, la simplicité de la production (présence quasi unique du piano, avec en plus ici quelques cordes et de la clarinette, qui fait une courte apparition sur le pont instrumental).

C'est une jolie chanson, agréable à écouter, mais qui ne me bouleverse pas outre mesure.

 

6- Porno graphique :

Après s’être intéressée au Q.I. de son amant, Mylène examine à présent dans le détail son c*l dans Porno graphique. Il n’y a pas que les "plaisirs sémantiques" dans la vie, après tout ! Que dire qui n’ait déjà été dit ? Outre son thème, c’est effectivement une chanson pour le moins originale qui débute par ce qui pourrait être des rires de sorcière, à moins qu’il ne s’agisse du démon du sexe qui convulse l’esprit et le corps de notre Mylène, plus libertine que jamais... C’est donc un texte sexuellement incorrect et plutôt explicite ("Je veux savoir où naît le vent") qui a aussi le mérite de bousculer (tout comme Avant que l’ombre…) la structure habituelle (parfois répétitive) des chansons de Mylène (à savoir : couplet 1-refrain-couplet 2-refrain-pont-refrains) puisqu’ici le refrain n’est pas aussi "repérable" que d’habitude et il y a deux ponts instrumentaux : le premier évoque Psychiatric présent sur l’album L’autre… de Madonna, comme l’avait justement souligné quelqu'un, je crois. La voix de Mylène, grave et "détachée" sur la majeure partie de la chanson, s’accorde très bien à son ambiance grivoise et est aussi à certains endroits déformée, maltraitée comme jamais, puisque l’on a droit aux rires inquiétants de l’intro, puis à des voix gouailleuses qui ourlent sa voix "normale" vers la fin, sans oublier le rire déjanté au bord de l’étouffement qui conclut le morceau. Dans l'outro, Mylène conclut en demandant à l’heureux possesseur du postérieur au plus profond duquel elle aime à réfugier sa langue (!), s’il n’a pas un petit mojito, qui est un coktail apparemment. Pour se rincer la langue, peut-être ?

Un titre intéressant à plus d’un titre donc, mais qui aurait du mal à être exploité en single, je pense, du fait que son refrain n’est pas aussi "catchy" que d’habitude, sans parler du thème... Et surtout, sa structure même est déroutante. Une jolie surprise politiquement incorrecte de la part de Mylène, même si ce sont plus les "gadgets" du titre (la voix de Mylène et certaines paroles pour le moins truculentes comme "Je dis qu’il n’y a pas de porno chic/Mais bien que des porcs au sens strict"), qui me séduisent, que la chanson dans sa globalité, qui, parfois, a un petit goût de too much, dans la production notamment (les clochettes tout droit sorties de L’instant X n’étaient pas indispensables je trouve, par exemple). Bon, je chipote un peu, vous l’aurez compris.

 

7- Derrière les fenêtres :

C’est un des titres que j’écoute le moins pour l’instant, je n’ai donc pas grand-chose à dire dessus. Je ne vois pas trop ce qu’elle évoque en fait… Le refrain n’est pas désagréable, avec la superposition des voix grave et aiguë de Mylène, mais l’ensemble ne me séduit pas plus que ça, en tout cas pour le moment.

 

8- Aime :

Il s’agit du fameux titre qui apparemment fut un temps envisagé pour être le premier single de l’album à la place de Fuck them all parsèment également le titre. Ce n'est pas mauvais, plutôt entraînant et léger (en apparence en tout cas, le texte pourrait bien être plus en demi-teinte en fait, si l'on s’attarde sur les paroles), mais il n’y a pas de quoi crier au génie, en ce qui me concerne. Pour tout dire, je trouve le refrain un peu bêta (les "Aiiime" ont tendance à me hérisser le poil) et certains jeux de mots sont un peu limite ("Soutenir le monde "Aimer"/A la force de nos poignets... d’amour", "Moi j’aime les "je" de l’amour").

Bon, je m’habitue doucement à ce morceau, mais franchement (et au risque de me répéter) la première fois que je l’ai écouté, je n’ai pu m’empêcher de penser que ça aurait été un single de lancement très moyen au vu de la relative banalité de la chanson. Je la trouve fade et tiède en fait : c’est vraiment l’opposé d’un Porno graphique par exemple, qui a le mérite de prendre des risques sur le fond comme sur la forme, et d’apporter un renouveau à Mylène aussi bien du point de vue des paroles, de la production, que de la musique même. Je ne vois pas ce qui aurait vraiment permis à Aime de se faire remarquer, outre le fait qu’il aurait été le single annonçant le nouvel album de Mylène, là où Fuck them all avait au moins l’avantage de proposer un thème original et a fait parler de lui ne serait-ce que grâce à son titre provocateur (pour qui comprend l’anglais). Certains vont dire que je m’acharne sur ce titre, mais je ne le vois pas trop sortir en single par la suite, d’autres méritent autrement davantage ce privilège…

 

9- Tous ces combats :

Avec une intro à la Rêver, la chanson évoque le fait que le "désir d’aimer" permet à Mylène de combattre ses démons intérieurs ("J’ai dans mon autre moi/Un désir d’aimer comme un bouclier").

Dans le même ordre d’idées de ce que je pense de Redonne-moi ou Aime, je trouve ce titre agréable à écouter, mais rien de plus, car pas vraiment original et un peu mièvre. Il ne me paraît pas non plus indispensable à l’album, même si l’ensemble est comme toujours bien ficelé : le refrain se retient très bien une fois que l’on a écouté la chanson deux ou trois fois et que l'on parvient à la distinguer de la masse des autres ballades de l’album, et le très joli pont instrumental lui donne tout son intérêt, pour moi.

 

10- Ange, parle-moi :

Pour beaucoup, il s’agit apparemment du vilain petit canard de l’album. Eh bien en ce qui me concerne, je trouve cette chanson plus intéressante que Tous ces combats ou Redonne-moi, dans le genre ballade. De par le champ sémantique choisi, elle pourrait évoquer la visite de l’Ange Gabriel à Marie, thème déjà abordé, mais de façon bien plus explicite, dans L’annonciation, la face B de On est tous des imbéciles, présente sur l’album éponyme.

Un titre simple et efficace, qui, tout en évoquant l’ambiance ou l'interprétation de titres antérieurs, est intéressant grâce à l’opposition entre la voix grave adoptée par Mylène sur les couplets, et la voix aiguë du refrain.

 

11- L’amour n’est rien… :

Après nous avoir confiés que son "désir d’aimer" était un rempart contre sa mélancolie dans Tous ces combats, Mylène fait écho à cela en affirmant ici que bien que de nature sombre et réservée ("Obsédée du pire/Et pas très prolixe"), elle n’en a pas moins envie de jouir de la vie et de tous ses plaisirs ("L'envie de frémir est pharaonique !", "Sans sexe, je m'exsangue !"). C'est vraiment la chanson qui décrit le mieux le nouvel état d’esprit de Mylène sur cet album, soit résolument positif et tourné vers l’amour et le sexe, voire même le bonheur. Le point fort du morceau est sans conteste son refrain irrésistible, chanté par Mylène avec une voix délicieusement évanescente, qui colle parfaitement bien avec le thème du titre, puisqu’il s’agit en fait de ne pas prendre l'existence trop au sérieux en quelque sorte (un comble pour Mylène, en somme !), en vivant sa vie et ses désirs à fond, d’aimer comme on l’entend aussi bien sentimentalement que sexuellement, car pour elle, vivre sa vie ou un amour à demi conduit à la tiédeur et à l’ennui, comme elle le démontre ici de façon très convaincante. La vie est faite pour être vécue à fond, nous dit-elle donc en substance, et c’est plus facile si l'on s’affranchit du politiquement et du "sexuellement correct(s)".

Avec une production alternant guitares sèche et électrique, L'amour n'est rien... est un titre efficace dans la simplicité, porté par un refrain euphorisant, qui nous fait découvrir une Mylène plus hédoniste que jamais et invite, comme on l’aura compris, à ne pas hésiter à mettre du piquant dans sa vie. J'espère vraiment qu'il sortira en single, car il serait sans doute à même de conquérir un public large avec son ambiance légère et joyeuse, ainsi que son refrain vraiment imparable.

 

12- J’attends :

Pour moi, il s’agit de la meilleure ballade de l’album, soutenue par un refrain efficace légèrement pop-rock. Le thème de la chanson est romantique s’il en est, puisque Mylène clame dans le refrain qu’elle attend d’être emportée par l’amour. On le sait désormais, pour conquérir Mylène, il faut avoir un Q.I. élevé, un beau c*l qu’elle aura envie d’explorer dans ses moindres coins et recoins, et donc éviter le "sexuellement correct" . En plus de cela, il faudra aussi lui ravir le cœur, si vous comptez la séduire prochainement : elle a beau aimer les c*ls, elle n’en attend pas moins que l’amour "frappe à (sa) porte", "près d’un mur de lierre". Ce titre est donc un peu le J’attends l’amour (!) de Mylène en quelque sorte. C’est avéré à présent, Jenifer est l'une de ses inspirations, qui l’eut cru !

Trêve de plaisanterie, c’est une très belle chanson qui exploite en plus de cela très bien la voix de Mylène, puisque sur les refrains après le pont, les chœurs que l’on jurerait appartenir à des femmes africaines (les sublimes "wa na na na wa na na ne oh" ) sont en fait assurés par elle-même (dixit le livret). La fin, toute de guitares électriques saturées, rappelle le final de L’instant X, et laisse augurer une jolie prestation live de ce titre. Assurément un autre morceau à exploiter en single : dans le genre "ballade pop-rock", il pourrait tout à fait fonctionner auprès des radios adultes.

 

13- Peut-être toi :

L’amour qu’elle attend dans le titre précédent, Mylène l’a peut-être trouvé et elle le dit clairement à la personne concernée. Si J’attends était plutôt d'inspiration acoustique/pop-rock avec des guitares, on retrouve ici les programmations électroniques chères à Boutonnat avec cette chanson qui se veut ouvertement techno et offre à l’album son morceau le plus dansant et sans doute le plus efficace, d’un point de vue commercial. La rythmique de Peut-être toi en fait un peu le petit frère du tout aussi remuant L’âme-stram-gram. Sa vocation est de toute façon de faire se remuer sur le dance-floor sans trop cogiter, et de ce point de vue-là, le titre est tout à fait réussi.

Il s’agit donc d'une bonne chanson en résumé, qui offre enfin à l’album son tube en puissance, même si elle risque de s’avérer lassante rapidement, si on l’écoute trop souvent. Et les "Shut up" que l’on entend à la fin du titre ne sont pas étrangers à ce phénomène pour moi.

 

14- Et pourtant… :

Retour à un titre d’inspiration mélancolique pour clore l’album et à une voix un peu suraiguë sur le refrain. Entre cordes et guitare acoustique, il s’agit d’une chanson très suave qui rappelle un peu la douceur nostalgique de Laisse le vent emporter tout, qui était le titre de conclusion sur Anamorphosée. Les paroles sont très poétiques et évoquent l’amour et les ombres vers lesquelles il peut parfois vous mener. Le morceau offre donc en quelque sorte une suite au titre d’ouverture de l’album, par sa mélancolie et son côté sombre. L’ombre vous arrache à l’amour, autant que celui-ci peut vous y mener, en quelque sorte. C.Q.F.D.

C’est donc par une jolie ballade éthérée, dont seule Mylène a le secret, et qui s’apprécie un peu plus à chaque écoute, que s'achève normalement l'album...

 

(15- Nobody knows :)

Chose inédite chez Mylène, elle nous offre là un titre supplémentaire caché. Situé à une minute de la fin de ce qui est normalement le 14ème et dernier morceau de l’album, celui-ci évoque les mystères de l’aube et de la Lune. C’est un peu ce que j’appelle personnellement, une "chanson-trip" comme Effets secondaires (titre inédit présent sur le single Je te rends ton amour.

J’apprécie donc beaucoup cette chanson, au même titre que d’autres chansons expérimentales de Mylène comme Effets secondaires donc, Psychiatric ou même Porno graphique, dans la mesure où Mylène et Laurent semblent alors davantage se "lâcher" que sur les titres plus traditionnels, et innovent ainsi davantage, à mon sens.

 

 

CONCLUSION =

A la première écoute, je dois dire que j’ai trouvé l’album un peu "mou". J’ai d'abord imputé cela au fait qu’il y avait beaucoup de ballades par rapport aux albums précédents, mais à bien y regarder (et écouter), le dosage est le même que sur des albums comme Innamoramento. Dernier point, la voix de Mylène est sur beaucoup de titres enfin audible (elle articule, si, si !) et la lecture du livret n’est plus (totalement) obligatoire pour parvenir à comprendre ce qu’elle chante.

En résumé donc, Avant que l'ombre...

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Tu n'as pas tord quand tu dis qu'on peut reconnaitre certaines parties de "Rever" et des Mots" dans le titre "tous ces combats " !

Comme ces deux chansons sont mes préférées de Mylene, je ne m'etonne donc pas d'avoir flashé sur "tous ces combats" !

 

N'etant pas un grand fan de Farmer, je n'ai pas encore completement "apprivoisé" ce nouvel album, mais je pense que ca viendra avec le temps, la suite de la promo et les prochains clips ...

 

(J'adore ton avatar Likeadream)

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Cette "critique" est vraiment très longue... :shock:

 

J'offre un bon point à ceux qui la liront (peut-être) jusqu'au bout. :cheesy:

 

Ca valait le coup de l'attendre cette critique. Cette lecture personnelle de l'album est très plaisante à lire.

 

Je conseille donc aux CIFeurs qui fréquentent ce topic de ne pas avoir peur de la longueur du post et de la lire jusqu'au bout !

 

Pour ma part' date=' j'ai beaucoup aimé certaines remarques pertinentes de cette critique, notamment le fait [b']Fuck them all [/b]était la seule chanson chanson de l'album à ne pas comporter de "je". Je n'y avais pas fait attention :mrgreen:

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Invité Popika

Critique lue jusqu'au bout, j'ai droit à un bon point ! :cheesy: La longueur n'est pas un frein à la lecture, vraiment du beau travail !

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Invité AQL

dans "Tous ces combats".aux environ de 2'21,on peut entendre le public crier "Mylène on t'aime" et Mylène de répondre "moi aussi" qui vient de Dernier sourire lors du Mylénium tour.

 

pour bien l'entendre,il faut écouter la chanson dans les aigus.

 

excusez-moi si cette anecdote a déjà été dit par quelqu'un :D

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dans "Tous ces combats".aux environ de 2'21' date='on peut entendre le public crier "Mylène on t'aime" et Mylène de répondre "moi aussi" qui vient de Dernier sourire lors du Mylénium tour.

 

pour bien l'entendre,il faut écouter la chanson dans les aigus.

 

excusez-moi si cette anecdote a déjà été dit par quelqu'un :D[/quote']

 

J'ai tendu l'oreille mais n'ai rien entendu de tel :shock:

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