Robin Thicke - Paula (01/07/2014)

[Adkins]

Take It Easy On Me est un single évident .

C'est le prochain single

[Jonath.]

Ah c'est le troisième après Give It 2 you ?

[Sluthanna]

Malgré mon aversion pour la dance, je trouve les titres Give It 2 U, Feel Good (& Take It Easy On Me dans une moindre mesure) de bon titres ! Ils passent très bien dans l'album je trouve.

[Jonath.]

Je suis définitivement dingue de Take it easy on me !

[Narada]

Je suis définitivement dingue de Take it easy on me !

 

OMG j'allais le dire l'autre jour.

 

Tu me voles tout.

"jonaaaaaath♥"

 

 

 

C'est ma chanson.

 

Moi j'adore SURTOUT les vibes de la fin.

**essaie de faire pareil et fait pitié♥**

 

 

 

"Take It Easy On Me" >>>> "Take Back The Night" de Justin Timberlake

 

 

Par contre je préfère ne pas comprendre les paroles.

Je sens que ça va me décevoir. ^^'

[Saxon]

 

C'est ce qui s'appelle se faire défoncer. ♥

 

L'album a pour le moment une moyenne de 43/100 sur Metacritic.

[Placid]

Il se fait défoncer de partout GOSH!!

Le score de metacritic : 43/100 (Basé sur 6 critiques pour l'instant)

 

Les critiques se mettent des œillères dans les yeux, ça pue le SEUM quand même.

[promiscuous-boy]

Ils sont plutôt rudes. L'album est vraiment pas mauvais. C'est sûr que c'est bien plus commercial que ce qu'il a sorti auparavant, mais je préfère de loin son album à celui de Justin Timberlake (puisqu'ils sont sans cesse comparés).

 

Top Of The World / Take It Easy On Me & Ooo La La se doivent d'être exploitées. Concernant les paroles, je préfère ne pas trop m'y attarder, toujours la même chose et toujours aussi bas.

[Shiva*]

La critique postée ci dessus ne parle quasi que de la mysoginie de Blurred Lines.

Tu parles d'une critique musicale.

[Invité Disco Grenouille]

Je suis faible.

 

Malgré mon aversion pour Blurred lines, son texte honteusement sexiste, macho et dégradant pour la femme, son clip tout autant irrespectueux et vulgaire, quelque chose m'a poussé à acheter l'album de Robin Thicke les yeux fermés. Je ne sais pas trop d'où ça m'est venu.

 

Je ne vais pas mentir, je prends beaucoup de plaisir à écouter cet album en une telle période.

 

Certes, ce n'est pas très bon, les textes sont plus que risibles et les compositions pseudo old-school-Soul respirent le déjà-vu cent fois. Mais il n'empêche que le tout fonctionne plutôt bien, ça groove et fait shaker son booty, et ça reste la première chose qu'on attend d'un album estival. J'ai été étonné de constater que les productions sont plutôt réussies (à l'exception évidemment de Feel good et de l'ignoble chose de will.i.am - chanson sur laquelle Kendrick Lamar n'a surement jamais été aussi mauvais, au passage), mention spéciale pour Take it easy on me, où il a dû me falloir moins de 10 secondes pour réaliser que Timbaland était aux commandes, tant sa patte est reconnaissable. J'ai aimé le boulot qu'il a fait avec Timberlake et Furtado, et ça marche une fois encore. Je trouve ce mec assez doué, et plus subtil qu'il ne paraît.

 

Les dix chansons défilent rapidement, malgré le léger manque de liaison entre elles, on appuie sans se forcer une deuxième fois sur play, et on passe un agréable moment.

C'est déjà largement plus que ce à quoi peut prétendre la plupart des albums estivaux de cet acabit.

 

 

(Par contre please, stop les comparaisons avec Justin. Ne confondons pas l'appréciation qu'on peut avoir d'un instant musical avec la portée et la postérité de l'oeuvre.)

[Shiva*]

Malgré mon aversion pour Blurred lines, son texte honteusement sexiste, macho et dégradant pour la femme, son clip tout autant irrespectueux et vulgaire, quelque chose m'a poussé à acheter l'album de Robin Thicke les yeux fermés. Je ne sais pas trop d'où ça m'est venu.

 

En gros t'as adoré Blurred Lines comme tout le monde quoi.

 

[Invité Disco Grenouille]

En toute honnêteté, j'ai réalisé que j'aimais la chanson après avoir acheté l'album.

Bref, chut, si ma mère me lit un jour, faut qu'elle voie que je suis un gentil garçon qui n'aime pas les machos. ^^

[In Rainbows]

Je me demande bien si les critiques auraient été aussi mauvaises si c'était Timberlake qui sortait le même opus. Quoiqu'il en soit, le mec se fait carrément bizuter.

[Shiva*]

Je me demande bien si les critiques auraient été aussi mauvaises si c'était Timberlake qui sortait le même opus.

 

On sait tous que non, personne ne touche à sieur Timberlake.

[Invité Disco Grenouille]

Autant je déplore l'avalanche de mauvaises critiques "de principe" autour de cet album, autant je vous trouve de plutôt mauvaise foi concernant Timberlake.

Le refus de comparer Thicke et Timberlake ne vient pas d'un culte particulier pour le second, mais d'une certaine prise de recul.

 

Car si l'album de Thicke est un bon album estival, il ne joue clairement pas dans la même cour que celui de Timberlake.

On peut reprocher à ce dernier de vouloir compliquer, tordre et allonger tout ce qu'il touche, de se prendre pour l'intellectuel qu'il n'est pas, de perdre son auditoire au passage, il n'empêche que le travail de composition, d'interprétation et surtout de production de The 20/20 Experience est largement remarquable. Ce serait malhonnête de ne pas lui reconnaître la passion qu'il a mis dans cet album et que Thicke, malgré son indéniable sens du groove et de la séduction, est très loin d'avoir mis.