Aller au contenu

Martin Rappeneau - 1800 Désirs


Messages recommandés

Oui... enfin !

 

Plus qu'une semaine avant la sortie de "1800 désirs" :

1)1800 Désirs

2)Elle disait elle disait

3)Après l’orage

4)Julie & Sarah

5)Sans Armure

6)Pas ce regard là

7)Ce n’était pas moi

8)On n'a pas fini de s’aimer

9)Le vrai malheur

10)Et solitaire et solitude

11)Je me tais

12)A l’Ouest

 

Il y a une interview de Martin Rappeneau : "Rencontre à l'occasion de la sortie de l'album 1800 Désirs" sur le site de VirginMega.fr :

http://www.virginmega.fr/artiste/martin-ra...10,-1,page1.htm

Lien vers le commentaire
MUSIQUES

Martin Rappeneau, mélodiste hors pair

 

Sans bruit, assez discrètement, il construit une oeuvre sûre et cohérente.

Avec « 1800 désirs », son troisième album, Martin Rappeneau continue de s’imposer comme l’un des plus grands mélodistes de sa génération.

 

Il n’a pas de copains dans le show-biz, se sent bien incapable de citer le nom d’un chanteur de sa génération qu’il fréquenterait ou dont il serait juste plus proche musicalement. Il aime beaucoup les musiques de Calogero et avoue avoir le soutien régulier de Julien Clerc, qui l’invite parfois dans des émissions de télévision. Et ce n’est d’ailleurs sûrement pas un hasard si les noms de Duguet-Grasser (Une Jupe en laine) et Jean-Loup Dabadie font leur apparition dans la liste des crédits des chansons du dernier album de Martin Rappeneau. Ces deux auteurs étant justement de fidèles auteurs de Julien Clerc.

Des nouveaux textes bienvenus, car même s’il écrit parfois, et plutôt bien pour ce qui concerne les titres 1800 désirs et Ce n’était pas moi, Martin Rappeneau est avant tout un mélodiste.

À seize ans, il se met au piano, et comme certains pigent d’un coup les mathématiques, lui comprend presque instantanément le fonctionnement de cet instrument. Alors s’enchaînent les essais de compositions. D’abord dans un groupe, puis seul, il utilise toutes les gammes de son piano, jusqu’à ce premier album remarqué, en 2003, La moitié des choses, produit par Sinclair qui craque pour lui.

Nous aussi, justement, on craque pour lui, pour cette voix unique au timbre à la fois clair, léger et profond, singulier, pour cette amplitude dans les octaves qui n’est effectivement pas sans rappeler les exploits vocaux de Calogero, pour ces mélodies qui réveillent, qui se fredonnent sous la douche, qui font lalala, et rappellent les meilleures années de Michel Berger.

Martin Rappeneau prend surtout les Beatles pour bible et en France, il a vénéré Véronique Sanson toutes ses jeunes années. Mais quel bonheur que ces chansons qui se chantent, qui s’écoutent en boucle !

Dans la vie, ce qu’il connaît le mieux, c’est la musique et le cinéma. On s’en doute avec un père cinéaste. Il voit tous les films qui sortent, sans exception. Dans la vie, il habite un appartement, plutôt ancien. Et il a plus de copines que de copains. Sa sensibilité féminine ? lui souffle-t-on. « Il paraît », reconnaît-il.

Son troisième album révèle encore une fois sa fibre profondément soul, une âme sentimentale et un état d’esprit solaire, mais aussi une grande subtilité. « J’aime trouver une quatrième note que l’on n’attend pas… ». Rien n’est de trop chez lui, rien n’est prétentieux. Il assume la ligne claire de ses chansons, et le titre On n’a pas fini de s’aimer en est juste un exemple parfait, sur lequel on mise volontiers.

Mine de rien, Martin Rappeneau vient s’imposer dans le paysage de la chanson française, sans faux-semblant. Un garçon juste égal à lui-même, qui avance sûrement, avec la musique pour seul leitmotiv, dans une époque où les chansons à textes ont pris de la place. Lui ressuscite la mélodie.

1800 désirs, Martin Rappeneau. AZ. 15,50 E. Sortie le 23 février.

Lien vers le commentaire

J'ai acheté l'album en fin d'après midi. J'attends de l'écouter plusieurs fois avant de me prononcer vraiment. Mais c'est en tout cas du très bon, des paroles toujours amoureusement matures. Bravo.

J'espère vraiment que cet album se classera top 20 en première semaine, ce serait une belle surprise. Je serai en revanche déçu s'il n'atteint pas le top 50.

 

Ps: Le livret et la pochette sont d'un très bon style.

Lien vers le commentaire

A propos du concert de Martin Rappeneau le lundi 2 mars à l'Alhambra avec Alexis Rault en première partie :

Il est moins funk qu'hier, s'émancipant de l'ombre de Sinclair et penche vers des balades romantiques, au ton très "variété".

On lui reconnaîtra une fort jolie voix, claire et juste.

Le fils du cinéaste Jean-Paul Rappeneau, Martin, continue de tracer son sillon dans la chanson avec un nouvel album "1800 désirs" mixé à New York par Michael Brauer (James Morrison, Coldplay) et réalisé par Régis Ceccarelli.

Douze chansons subtiles et élégantes qu'il devrait présenter sur scène accompagné d'un quatuor à cordes.

Lien vers le commentaire
Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
  • Membres qui parcourent ce sujet   0 membres

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...