Gaston Posté(e) 22 septembre 2014 Share Posté(e) 22 septembre 2014 La Canaille « n’écrit pas pour rimer, mais pour exprimer. Et l’enjeu réside à le faire de la manière la plus sincère. Pour que ça touche, que ça perfore. Avec le mot le plus tranchant, le mot le plus précis (…) le mot debout de l’oppressé, du rescapé, du fugitif. (…) Construction implacable magistralement calibrée. Y’a pas à dire, c’est de la qualité. (…) c’est bien produit et le public l’applaudit. (…) Décalé » ! Un résumé de mon avis sur ce 3ème album "La Nausée" par... les mots même de La Canaille sur le titre "Décalé". Le premier extrait est un texte engagé, mais c'est pas franchement ce genre de texte politique qui me parle : Jamais Nationale. Pour des extraits un peu différents (et qui me parlent beaucoup plus), c'est par ici : http://lesondegaston.com/2014/09/19/la-canaille-album-decale-la-nausee/ Extrait choisi (NSFles jeunes oreilles) de Pornoland pour vous mettre l'eau à la bouche (ou pas) : Le pantalon aux chevilles regard rivé sur son écran. Un rouleau d’essuie-tout à portée de main pour s’essuyer le gland. Devant sa vidéo, il se caresse machinalement. Il tue le temps, se tend comme tous les jours machinalement. Petit branleur se paluche, s’astique le manche. Se fait dégorger le poireau, s’épanche d’une façon étrange. Drôle d’époque du streaming aphrodisiaque. Comment faire pleurer le cyclope afin de border l’insomniaque ? Lien vers le commentaire
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