Huit ans après le succès relatif de "L'écho des étoiles" (Top 28 en 2000), Maxime Le Forestier est revenu l'an dernier avec un nouvel album, "Restons amants" (Top 2 en 2008), avec des participations signées -M-, Thomas Bloch, Patrice Renson, Frédéric Lo, Albin de la Simone, Stanislas, ou Manu Glavin. En ce printemps 2009, le chanteur a choisi de proposer à nos radios un nouvel extrait de son disque, son duo avec Emmanuelle Béart, "Hymne à la soie", assorti d'un clip signé Jean-Paul Rouve, ex-Robins des Bois.

Découvrez le clip de M. Le Forestier et E. Béart, "Hymne à la soie" :


Par ailleurs, invité la semaine dernière de Marc-Olivier Fogiel pour développer la lettre ouverte remplie de contradictions qu'il avait co-signée à l'attention de Martine Aubry, Maxime Le Forestier avait estimé que laisser faire le piratage était une attitude «pétainiste», comparant alors les internautes aux nazis sous l'occupation.
«Ce que je voulais dire : ce n'est pas parce que beaucoup de gens font quelque chose que ce quelque chose devient légitime, autrement dit, ce n'est pas parce que beaucoup de gens téléchargent gratuitement qu'il faut le faire. Se coucher devant le fait accompli, c'est capituler» a-t-il repris depuis.
«N'ayant pas trouvé les mots justes dans mon cerveau embrumé du matin, c'est le mot Pétain qui est arrivé le premier. Je le regrette».

Maxime Le Forestier, aligne les tubes, pour la plupart devenus des classiques de notre patrimoine musical depuis "San Francisco" en 1971 : "Mon frère", l'année suivante, mais aussi, dès 1987 réalisant un come-back saisissant avec les succès "Né quelque part", "Ambalaba", puis "Passer ma route", "Chienne d'idée" dans les années 90, ou "L'homme au bouquet de fleurs", bénéficiant ainsi de la reconnaissance du métier.