Crédits photo : Capture CSTAR
Indochine est au sommet de sa gloire. Depuis le raz de marée qu'a été "J'ai demandé à la lune" en 2002, le groupe français a, à chaque fois, retrouvé le grand public comme à l'époque de "L'aventurier" ou "3ème sexe". Désormais, le succès est toujours là, à chaque sortie d'album comme à chaque tournée. La bande emmenée par Nicola Sirkis vient d'ailleurs de sortir "13", un disque résolument taillé pour la scène porté par le single "La vie est belle" qui a eu droit à un clip vertigineux réalisé par Asia Argento. Dans la foulée, une grande tournée française, "Le 13 Tour", a été lancé avec là encore un plébiscite incroyable : plus de 100.000 places ont été vendues en une journée.

"J'écrivais des poèmes nuls"

Pourtant, rien n'était évident au début d'Indochine. Surtout pour Nicola Sirkis qui était complètement novice et pas du tout préparé à se lancer dans cette incroyable épopée. « J'avais aucune vision. C'était de l'inconscience la plus totale » confie-t-il dans le documentaire "La story d'Indochine : l'aventure continue" sur CSTAR ce soir à 20h50. Car le leader du groupe le plus populaire de France n'a pas toujours été cette bête de scène, loin de là. A l'origine, Nicola Sirkis était « quelqu'un qui ne sait absolument pas jouer de musique, qui n'a jamais chanté pratiquement » : « Même s'il adorait la musique, il se lance à écrire de la musique car il ne savait pas jouer d'instruments. Ça a commencé comme ça ».

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Mais, en secret, Nicolas Sirkis rêvait d'être celui qu'il est devenu : « Depuis très longtemps, j'écrivais des poèmes nuls dans ma chambre. J'ai toujours voulu écrire, j'étais passionné par l'écriture. J'étais injustement mal noté par ma prof de français à l'époque. Je regardais dans ses yeux et je disais : "Tu vas voir, plus tard" ». Pari relevé haut la main !

Regardez Nicola Sirkis raconter ses débuts difficiles avec Indochine :