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La semaine dernière, la nouvelle a fait l'effet d'une bombe chez les fans : Demi Lovato a été hospitalisée d'urgence après avoir été victime d'une overdose, potentiellement d'héroïne. C'est le site TMZ qui a révélé l'information, mettant en émoi les internautes et les célébrités qui ont multiplié les messages de soutien et d'émotion à travers le hashtag #PrayForDemi. Parmi eux, Nick Jonas, Ariana Grande, Luis Fonsi, qui partage avec elle le tube "Echamé la Culpa" ou encore Katy Perry et même Charlie Puth, qui lui a rendu hommage sur scène. Alors que les proches de Demi Lovato se veulent rassurants, le site people américain rapporte désormais que l'état de santé de la chanteuse, en plein sevrage, est encore préoccupant. L'interprète de "Sorry Not Sorry" est toujours hospitalisée à la clinique privée du Cedars-Sinai à Los Angeles.

"Il n'y a pas de honte à avoir"

Et pour Sean Paul, ce qui arrive à Demi Lovato est une conséquence directe du fonctionnement de l'industrie musicale. « Je veux juste envoyer mon amour à Demi. C'est une belle femme et une super artiste » a-t-il d'abord confié lors d'une interview au Daily Star, avant de pointer du doigt les responsables : « L'industrie de la musique en elle-même est très excessive. Nous sommes toujours en studio, nous nous produisons sur scène, nous voyageons et parfois nous ressentons le besoin de faire une pause, et cette pause est d'aller vers des choses qui ne reposent pas ». Pour lui, il ne faut pas culpabiliser les artistes : « Il n'y a pas de honte à avoir. C'est juste que certains sont capables de comprendre qu'ils sont entrés dans une spirale infernale avant qu'il ne soit trop tard. L'aide n'arrive pas toujours quand on en a besoin ».

S'il confie trop fumer, Sean Paul a révélé ce qui l'aidait « à garder les pieds sur Terre » : « Ma femme, mon fils, mon frère et ma famille. Penser à eux m'aide dans toutes les situations ». Ses proches sont d'ailleurs son pilier pour ne pas lâcher prise : « Si je ne me sens pas bien, ou triste, ou déprimé, ils m'aident à me relever ».