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  1. PIERRE GARNIER GRAND GAGNANT DE LA STAR ACADEMY PROMO 2023 PREMIÈRE PETITE BIOGRAPHIE : Pierre, 21 ans, grandit à Villedieu-les-Poêles (Normandie) et se passionne très tôt pour la musique. Tout jeune, il prend des cours de batterie et de guitare (son instrument de prédilection). Vrai passionné, il poursuivra sa lancée en autodidacte, du chant, du piano, tout l’intéresse ! Il aménagera chez lui par la suite un petit studio où il composera ses propres morceaux. SES RÉSEAUX : INSTAGRAM / TIKTOK L’envie de rencontrer des gens qui ont la même passion que lui, le pousse à s’inscrire à la Star Academy, télé-crochet musical diffusé sur TF1, qui a fait son grand retour en 2022. Il passe le casting, le réussi et intégrera la promo légendaire de 2023. C’est donc le 4 Novembre 2023 que l’on découvre Pierre Garnier sur nos écrans. Il chantera, accompagné de la belle et talentueuse Héléna, son futur binôme de l’aventure, le cultissime et tendre Shallow. Le candidat se caractérise et séduit d’entrée de jeu par son timbre unique, la chaleur de sa voix, cassée, mélodieuse et toute en puissance. De prime en prime, il survolera une multitude de registres passant de Piaf, Celine Dion, Mc Solaar, Yseult, Raphael, Michel Jonasz, James Arthur, Véronique Sanson, Adjani, Ed Sheeran, Lomepal ou encore avec Woodkid sur le puissant « Run Boy Run », jugé pour beaucoup comme une des meilleures si ce n’est la meilleure prestation de la saison ! Au-delà des primes, on découvre au château ses talents de musicien, Pierre s’abandonne à pianoter, à gratter sa guitare… et à pousser la chansonnette H24, nous offrant un stock de covers complètement éclectiques pour toute l’année ! (Fast Car de Tracy Chapman, La fille de bus de Lonepsi, No scrubs de TLC, Soleil Soleil de Novembre Ultra/Voyou….) Mais ce n’est pas tout, puisqu'il s’improvise tout au long de l’aventure et d’une facilité déconcertante à composer des morceaux, au stade yaourt mais qui donne tellement envie. Pierre partagera également au tout début de l’émission un bout d’un de ses titres, une triste et poignante ballade au piano ! La chanson plait instantanément et buzz sans qu’il ne le sache sur les réseaux sociaux. Il la rechantera en toute fin d’aventure, lors de la toute dernière évaluation, et cette fois-ci à la guitare ! L’occasion pour le public et les professeurs de découvrir le titre en entier et d’accessoirement de chialer toutes les larmes de son corps. La chanson se nomme « Ceux qu’on était » et le monde entier réclame le titre en premier single, une évidence. ET GROS GROS MOMENT DE TÉLÉ à la finale de la star ac, Dadju censé chanter sa chanson "Compliqué" avec Pierre, décide de tout stopper en direct pour laisser place à ce que Pierre puisse chanter "Ceux qu'on était". Les invités, le deuxième finaliste ainsi que le reste des candidats viendront le chanter tous en cœur avec lui sur scène. Sans oublier LE PUBLIC qui connait déjà la chanson par cœur GROS MOMENT DE TÉLÉ, DU JAMAIS VU POUR UN GAGNANT. VITE la version studio. Et impossible de parler de Pierre sans parler de sa personne. Il aura comme toute cette promo légendaire marqué la saison par sa gentillesse, sa bonté, son altruisme, sa bonne humeur, son immense humilité, son sourire… Bref ses deux parents peuvent être très fiers. Pierre est sacré vainqueur de la Star Academy le 03 Février 2024 ! Et on peut le dire, cette fois-ci TOUS LES FEUX SEMBLENT ÊTRE AU VERT, chouchou du public, adulé par le corps professoral, ses compos semblent plaire, il est télégénique (bouille d'acteur hollywoodien), la personnalité plait, musicien, chanteur, THE VOICE, compositeur... + un fort engouement médiatique et positif autour de l’émission. Un tas de facteurs qui donnent envie de croire qu’il pourrait inverser la malédiction des gagnants de télé-crochet qui perdure depuis un bout de temps maintenant, particulièrement ceux de la Star Academy. Du moins c'est absolument tout ce qu'on lui souhaite. Que brille son immense musicalité Pour résumer un peu tout ça, je citerais Djébril, camarade de l’aventure : « Pierre c’est un amoureux de la musique et ça se voit, je n’ai jamais vu quelqu’un qui chante autant que Pierre. Il est investi dans ce qu’il fait, tellement qu’il amène tout le monde avec lui »
    63 points
  2. Bénis soit ceux qui regardent.
    63 points
  3. Comment on dit "menteur" en breton déjà ?
    60 points
  4. 52 points
  5. Moi aussi j’ai trouvé une version écourtée (0 min) et c’est vrai que ça passe bien mieux.
    52 points
  6. Message à l'attention de @Clément, l'administrateur. L'éditeur du forum ne fonctionne plus. Plus personne peut poster de message.
    49 points
  7. Spotify #01 France 1.001.105 #01 Belgique 126.946 #02 Suisse 45.184
    49 points
  8. « My book’s purpose was not to offend anyone by any means »
    49 points
  9. Est-ce qu'on sait où était Natasha St-Pier au moment des faits ?
    48 points
  10. Spotify - Semaine du 9 février au 15 février (en cours) pour le prochain classement Top Titres France : (3/7 jours comptabilisés) #01 Pierre Garnier - Ceux qu'on était / 2.295.688 streams #02 Booba & SDM - Dolce Camara / 1.424.217 streams #03 Jungeli, Imen Es, Alonzo, Abou Debeing & Lossa - Petit génie / 1.306.899 streams iTunes France : #01 (=) Pierre Garnier - Ceux qu'on était / 1.0000 #07 (=) Jungeli, Imen Es, Alonzo, Abou Debeing & Lossa - Petit génie / 0.2933 #19 (+18) Booba & SDM - Dolce Camara / 0.1752 Deezer France : #01 (=) Pierre Garnier - Ceux qu'on était #02 (=) Jungeli, Imen Es, Alonzo, Abou Debeing & Lossa - Petit génie #03 (=) Booba & SDM - Dolce Camara Pierre creuse l'écart sur iTunes où il écrase littéralement la concurrence, très loin devant Jungeli et Booba. Il creuse l'écart également en streaming, sur Spotify notamment où il cumule déjà près d'un million de streams en plus que le titre de Jungeli et que le titre de Booba. D'ailleurs, à ce rythme, Booba qui était considéré comme une grosse menace au #01 est plutôt parti pour se faire devancer par Jungeli, et pourrait bien terminer sa course en entrant à la #03ème place. A ce stade, hormis une grosse surprise, on peut déjà affirmer que notre Pierre Garnier sera bien #01 au classement du Top Titres France dévoilé lundi prochain
    46 points
  11. En 5 jours, il cumule déjà plus de streams que le dernier single de Vitaa sorti en septembre dernier. Bisous la marraine.
    44 points
  12. Spotify France #01 avec 871.900 streams
    43 points
  13. Nous sommes en 2089, Taylor Swift vient de gagner son 41e Album of the Year pour "How I Stole the Awards Shows" aux Grammys, renommés en Taylor Swift Academy à l'occasion du centième anniversaire de sa naissance. Pendant ce temps en France, Emmanuel Macron est toujours président de la République et s'est remarié avec Léna Situations, tandis que le peuple attend toujours le vote de la loi fin de vie pour être délivré de cet enfer.
    43 points
  14. @Red Lipstick est une star...
    42 points
  15. Je venais juste vous dire que c'est moi qui ai créé le tissu de la cape or argent de Sara Forever, qu'elle porte à la fin de la prestation de sa chanson originale. Je suis fier Et magnifique finale, le duo final était exceptionnel.
    42 points
  16. Spotify France #01 avec 1.001.105 streams
    40 points
  17. elle est trop chiante on n'arrive même plus à savoir si c'est une légende pour la photo ou le titre d'un nouvel album
    40 points
  18. Baisse logique du nombres de streams le week-end mais Pierre est toujours #1 avec 785,831 hier. Le deuxième est à 491,055
    39 points
  19. Il garde le #1 sur Spotify avec 930,959. Booba est à 632,677
    39 points
  20. Bug de la page 1 enfin résolu
    39 points
  21. Woodkid à Julien : "il paraît que tu fais de bonnes tisanes" Julien : "super c'est tout ce qu'on retient de moi" Woodkid : "non, il y a les cathédrales"
    39 points
  22. CHIFFRES BILLBOARD: 1,653,000 !!! 1,359,000 ventes pures donc elle explose 1989 juste en ventes pures !!! L'album détient le record absolu en vinyles: 693,000, Midnights avait fait 575,000.
    38 points
  23. PANDEMIC QUEEN DULA PEEP IS BACK ! On ne présente plus Miss Dua Lipa ! 28 ans, 6 Brit Awards, 3 Grammys et une artiste au sommet de sa gloire. Il y'a 8 ans lors de ses débuts qui aurait imaginer tout le chemin parcouru depuis ? Petit récap ! Nous commencions à la découvrir avec ses premiers hits comme Be The One qui lui ont permis une belle exposition notamment aux UK et en Europe, New Rules et IDGAF, qui ont fait danser le monde entier, ont permis à son premier album studio 'Dua Lipa' de sortir et d'obtenir pas moins de 8 singles exploités (dont Hotter Than Hell et One Kiss..) sur une durée d'exploitation de 2 ans et demi. Elle en profita pour sortir une édition complete de l'album qui lui permis d'y inclure tout les titres sortit depuis et notamment ses featurings avec Calvin Harris et Sean Paul entre autres. Ce premier album aux diverses influences lui à permis de se faire un véritable nom, et de pouvoir commencer à travailler sur la suite de sa carrière, et donc sur son second album studio. Son statut de nouvelle star de la pop bâtit mois après mois grâce aux nombreux succès dans les charts l'emmena jusqu'à l'avènement avec la sortie de Don't Start Now, qui a été un vrai raz de marée dans les charts. Ce single aux influences disco à permis d'obtenir les prémices de ce que l'album serait, à savoir un disque principalement disco et pop. 2020 fut une année assez folle pour elle, ce n'est pas pour rien qu'elle à obtenu (de ma part ^^) le titre de reine incontestée de nos confinements pendant l'ère covid. C'est simple on ne voyait qu'elle, de partout, et ce n'était que le début de ce qui fut son règne. Future Nostalgia, son second album studio qui est sortit fin mars 2020 contient entre autres les pépites que sont les singles suivants de l'ère : Physical, Break My Heart et Levitating qui ont matraqué nos ondes durant deux ans. D’ailleurs Levitating reste son plus gros succès à ce jour. Ce large succès la propulsa comme jamais sur le devant de la scène pop, ce qui lui a valu de remporter le Pop Vocal Album lors des Grammy's 2021 pour Future Nostalgia. Fever en duo avec Angèle, permis à Dua de conquérir encore plus la France ou le titre à obtenu le #1 pendant 6 semaines au Top Singles. Plus récemment elle sortit Dance The Night, issu de la bande originale du film Barbie, qui culmine déjà à 500 millions de streams. Bref, après 2 albums studios, 34 clips, et + de 10 millions d'albums vendus, la voila de retour promettant plusieurs nouvelles choses: Houdini. Belle référence au magicien Harry Houdini. Après un gros tri de ses publications Instagram ces dernières semaines, Dua Lipa n'a cessé de teaser son retour. Le nouveau son de la belle qui sert de lead single pour son nouvel album à paraître prochainement s'oriente vers un style plus synthé/pop 70's, qui se veut différent de l'ère précédente. ''Ce titre représente pour Dua les moments les plus légers de son célibat. Houdini explore avec une certaine ironie l’idée de savoir si oui ou non quelqu'un vaut la peine que je m’intéresse à lui ou s’il faut au contraire l'ignorer. On ne sait jamais exactement où les choses vous mènent, mais c’est cela qui est beau, être ouverte à tout ce que la vie met sur votre chemin. J’ai vraiment hâte de partager ce sentiment avec mes fans.'' Les influences de ce nouveau single produit par Tame Impala sont folles, ce dernier sera aussi producteur du nouveau disque, Danny L Harle sera aussi de la partie à la production pour un album qui s'annonce psychédélique, avec un mélange entre synthé-pop et éléctro-pop, mais qui restera toujours principalement pop selon les dires de Dua. «L'album est différent, c'est toujours de la pop, mais c'est différent sur le plan sonore, ce sera plus lyrique. Si je vous disais le titre, tout prendrait sens, mais je pense qu’il faut encore attendre». L'album est attendu pour 2024. A vos claviers pour cette nouvelle ère ! P.S : M'en veuillez pas pour la présentation rapide, j'ai du faire ça en quatrième vitesse pour la sortie du single.
    37 points
  24. 12e meilleur démarrage sur Spotify France depuis le lancement de la plate-forme : #1. Au DD, PNL — 1,541 million #2. Jefe, Ninho — 1,280 million #3. Autre Monde, PNL — 1,154 million #4. Bxl zoo, Damso — 1,148 million #5. Deux étoiles de mer, Damso — 1,140 million #6. Lettre à une femme, Ninho — 1,112 million #7. Deux frères, PNL — 1,111 million #8. Tricheur, Nekfeu — 1,094 million #9. Chang, PNL — 1,072 million #10. VVS, Ninho — 1,050 million #11. Morose, Damso — 1,040 million #12. Ceux qu'on était, Pierre Garnier — 1,001 million
    37 points
  25. Taylor Swift’s ‘Cruel Summer’ Hits No. 1 on Billboard Hot 100, Becoming Her 10th Leader https://www.billboard.com/music/chart-beat/taylor-swift-cruel-summer-number-one-hot-100-1235452093/ Et voilà, c'est officiel, Cruel Summer est #1 (+8) au Hot 100 ! Plus de 4 ans après sa sortie et des mois à lutter contre la malchance et l'absence d'efforts frustrants de la part de son équipe, il l'a enfin fait ! Le titre aura fait preuve d'une longévité époustouflante puisqu'il était déjà dans les prétendants à la première place il y a plus de deux mois. La symbolique est d'autant plus forte qu'il marque son dixième #1. Elle a donc au moins un #1 par album sur ses 7 derniers albums: Red - We Are Never Ever Getting Back Together 1989 - Shake It Off, Blank Space, Bad Blood reputation - Look What You Made Me Do Lover - Cruel Summer folklore - cardigan evermore - willow Midnights - Anti-Hero En résumé, depuis son premier #1 en 2012, elle a réussi à en avoir au moins un par ère. Pour le détail, c'est également son 27ème #1 au Hot Digital Songs avec 41,000 téléchargements. En 2023, et après la malchance de ses deux premiers singles niveau timing, Lover est enfin vengé et il prouve, avec cette année de folie, qu'il aura bien eu le dernier mot.
    37 points
  26. Bon sinon allons-y pour ma petite revue plus en détail du show ! Je vais essayer de faire un commentaire chronologique puis un récap des points positifs et négatifs. Intro - Déroutante mais très efficace, Bob sert d'introduction au show et nous raconte ses débuts et quelques moments marquants de sa carrière avec une vidéo qui tourne en fond. Ça change de la traditionnelle vidéo d'intro et c'est assez cool même si pour l'instant un peu brouillon le temps qu'il trouve ses marques. Les instrus qui passent en fond sont kiffantes, ça fait le job et ça permet de mettre la trame du show en place. Nothing Really Matters - Ça s'enchaîne très très vite une fois que Bob a crié "It's a Celebration bitches!", Madonna apparaît avec la plus belle tenue du show et certainement une de ses plus belles tenues de scène ever. L'intro est propre, léchée, le titre et la version choisie sont incroyables, l'interprétation également (même si la bande son couvre un peu trop sa voix). Un sans faute. Everybody / Into the Groove - Tous les danseurs arrivent alors qu'on commence à remonter le temps, Madonna réapparaît sous une forme plus "humaine" et avec une tenue plus basique, le show peut commencer. Pas grand chose à dire sur cet enchaînement, ça fonctionne très très bien. Jusqu'à maintenant c'est parfait. Burning Up - Premier ventre mou du show, la mise en scène n'est pas très spectaculaire et surtout bouche la vue de la moitié de la salle. Son discours avant de chanter est fun cela dit et la première apparition d'une "ancienne Madonna" nous immerge un peu plus dans l'histoire qu'elle tente de raconter. Pas grand chose à dire de plus, le titre est cool mais n'emporte pas la foule. Open Your Heart / Holiday - Retour sur un excellent segment, la mise en scène d'Open en hommage au Who's That Girl Tour fonctionne très bien ; la partie jouée de l'accès à la boîte de nuit avec Bob en videur est un peu longuette mais Holiday met très rapidement le feu derrière (l'interpolation avec I Want Your Love est sympa également même si je trouve que ça n'apporte pas grand chose). La fin de la séquence est très émouvante et surtout on comprend ce qu'il se passe et où elle veut en venir - ce qui ne sera plus souvent le cas ensuite - la fête est marquée par la mort d'un de ses amis des suites du SIDA, c'est un beau moment. The Storm / Live to Tell - LE moment émotion du show pour moi, ça m'a vraiment pris aux tripes le premier soir. C'est beau, c'est sobre, la chanson est parfaitement interprétée et l'hommage est sincère en plus de véhiculer un message malheureusement toujours d'actualité. Bob déambule sur scène en tenue de clown triste avec un ballon dans les airs. C'est indéniablement un des temps forts du spectacle. The Ritual / Like a Prayer - Interlude un peu longue sans qu'il ne se passe grand chose à part une marche religieuse mais les danseurs sur la scène principale font le job, visuellement c'est très cool. Dommage de perdre autant de temps à traverser la salle cela dit, car on se retrouve ensuite avec une version assez (trop) courte de Like a Prayer, sans la partie chorale qui personnellement m'embarque à chaque fois. La mise en scène est intéressante cependant - elle doit penser avoir fait le tour des possibilités avec cette chanson et ne souhaite pas s'attarder dessus. Le mashup avec Unholy est plus qu'anecdotique et donc n'est pas dérangeant. The Sacrifice / Erotica / Justify My Love / Fever - Jusqu'à maintenant on est pour moi sur un quasi sans-faute, aussi bien dans la setlist qu'en termes de mise en scène et d'histoire racontée ; c'est à partir de là que ça se gâte. L'outro avec David en Prince est un très bel hommage mais s'ensuit un premier interlude dansé sur quelques notes de Living For Love qui n'a pas vraiment de sens. L'interlude suivant - avec l'instru de Fever - est très cool et introduit les années 90, qu'on comprend concentrées sur le cul dans un premier temps. Des rings de boxe sur scène, Madonna en robe de chambre avec une perruque courte et bouclée se présente comme étant Dita puis les trois titres s'enchaînent assez bien. La mise en scène est belle même si personnellement elle ne m'évoque pas grand chose et me donne une impression de déjà vu : la boxe, l'orgie... On est en terrain connu et même si ce n'est pas dérangeant ce n'est pas ce qu'il y a de plus excitant. Erotica et JML sont en playback complet (avec une voix modifiée comme sur les versions studio), elle ne le maîtrisait pas vraiment sur les deux premiers soirs et c'était assez flagrant même si ce n'est pas vraiment quelque chose qui m'importe dans un show comme celui-là. La transition entre les deux titres avec le lit du BAT et l'instru de Papa Don't Preach est évidemment iconique mais surtout frustrante, on a envie qu'elle chante la chanson. En termes d'histoire je ne vois pas trop ce qu'elle cherche à raconter (à part le cul, le cul et le cul) et une fois la robe de chambre enlevée, elle se retrouve en nuisette rouge à dentelle - certainement l'un des costumes les plus moches qu'elle ait pu porter sur scène. Hung Up (on Tokischa) - La transition n'a aucun sens, elle sort de l'orgie en chantant fever d'une voix lascive puis Tokischa l'appelle sur son téléphone à clapet, on lui bande les yeux, elle ballade une danseuse sur scène pendant que le remix déroule puis une fois arrivée sur l'avancée la chanson démarre vraiment et la chorée (qu'elle fait donc en nuisette) également. Évidemment c'est un très bon moment et la salle est survoltée, mais ça n'a vraiment aucun sens dans le déroulé du show, à tel point que je me demande si ce n'est pas un changement de dernière minute. Bad Girl - Mercy James apparaît au piano, Madonna revient vers la première partie de l'avancée centrale en se dérobant d'un voile noire que les danseuses lui ont posé sur la tête, démarche lente et assez sexy, ambiance bar lounge. Comme vous pouvez le constater, il n'y a absolument aucun lien avec ce qu'il vient de se passer et pour moi il est clair que c'est la suite directe de Fever, Hung Up a juste été foutu là au chausse-pied pour éviter un segment trop lent. Vous connaissez mon avis sur Bad Girl, c'est un moment agréable mais sans plus, les gens s'en foutent globalement et vont au bar ou faire pipi. Beau moment sur le final cela dit, avec Madonna assise sur le piano qui chante les yeux droit dans ceux de sa fille en train de jouer. Une autre chanson aurait eu toute sa place ici quitte à faire une ballade plus ou moins rare (Promise to Try, This Used to Be My Playground...). Le piano s'enfonce sous la scène. Ballroom / Vogue / Ball - Un autre très grand moment du show à mon sens. La scène commence avec Esther qui fait mime de mixer dans un club et les danseurs qui arrivent tous un à un dans des tenues inspirée soit de sa carrière soit de la scène ballroom, Bob arrive et prend les rennes du segment. Vogue joue son rôle à merveille, la version est parfaite et fidèle à l'originale. S'ensuit un véritable ball utilisant l'avancée comme catwalk et les danseurs sont tous aussi génialement fierce les uns que les autres, mention spéciale à sa fille qui vogue like there's no tomorrow. Le segment est assez long mais c'est une pure explosion de joie. Incroyable. Human Nature / Crazy For You - Encore une transition étrange ; les flics arrivent à la fin du ball pour l'emmener sur la partie droite de la scène et l'attacher / la menotter. Référence j'imagine aux diverses censures et scandales qu'elle a pu connaître à la fin des 90's, Human Nature fait sens et depuis le temps on a bien compris qu'il s'agissait de la chanson censée le mieux représenter sa philosophie. L'enchaînement avec Crazy For You pose cependant question, je ne comprends pas où elle veut en venir, moment mignon cela dit. The Beast Within / Die Another Day / Don't Tell Me / Mother and Father - Madonna jette une allumette sur le centre de la scène qui prend feu, l'effet est incroyable et l'interlude du RIT commence. Un peu dommage de le réutiliser en entier alors qu'elle vient à peine d'interpréter Justify My Love mais soit, la référence est cool et on comprend aisément qu'on entre dans les années 2000. Les danseurs sont incroyables mais l'interlude est vraiment très long, c'est beau mais on se fait un peu chier. Heureusement l'enchaînement Die / DTM / M&F arrive et nous fait oublier tout ça ; encore un moment fort du show, un sans faute pour moi : la mise en scène de Die est sophistiquée et inédite, une des rares mise en scène qui exploite l'ensemble de l'espace disponible ; Don't Tell Me est parfaitement exécutée dans une très belle tenue (sauf le passage ridicule avec Bob en clown) et Mother and Father me procure un plaisir proche de l'orgasme (tout en rendant un très bel hommage à sa mère, à celle de David et à leur père respectif). I Will Survive - C'est à partir de là que patatra tout s'écroule de mon point de vue. La reprise bien qu'anecdotique est mignonne et le message est assez beau - c'est son moment prêcheuse de la paix dans le monde mais aussi réflexion sur sa carrière, son récent passage à l'hôpital et sa joie d'être toujours là et de rester sur le devant de la scène, ça pourrait être une très belle introduction à la suite des 2000's et aux années 2010, sauf que... La Isla Bonita / Don't Cry For Me Argentina - La Isla Bonita ? Qu'est-ce que... Pourquoi ? On est sortis de toute chronologie et cohérence d'un coup d'un seul. Soit. Au-delà de ça, évidement ça fonctionne et la version jouée est très sympa, avec David à la guitare dans les airs. DCFMA est rentrée au forceps sur une instru dégueulasse et dans une version rapide dont même Ava Max ne voudrait pas, c'est dommage. Le segment se clot avec le message NO FEAR, inscrit sur le dos d'une de ses danseuses et répété longuement par l'assemblée. Madonna / Bedtime Story - L'interlude suivant comprend donc Bob seul sur scène et naviguant à travers la carrière de Madonna sur les écrans au son de I Don't Search I Find. On a donc l'impression que le show est fini et qu'on nous fait un récup de tout ce qu'on vient de voir, c'est assez étrange sachant qu'on s'est arrêté en... 2003, il y a vingt ans. Au-delà de ça c'est assez drôle, avec pas mal de séquences pépites d'interviews d'époque et autres. L'interlude se termine je ne sais plus trop comment et elle apparaît au milieu de la salle dans sa tenue Alien Superstar entonnant Bedtime Story, sans trop qu'on comprenne pourquoi. On est visiblement dans le futur (ou dans celui qu'elle imagine), avec des visuels d'elfes en 3D très moches sur les écrans et sur le cube qui s'élève dans les airs alors qu'elle est allongée dessus et qu'elle est filmée par une caméra au dessus d'elle - glamour et sensualité garantis. Je n'ai rien contre la chanson mais ça ne fonctionne clairement pas en live, on se fait chier (et surtout on ne comprend rien). Ray of Light - La plateforme volante revient la chercher avec un danseur à son bord et commence Ray of Light dans une version bien entière et survitaminée, c'est un très bon moment et au diable la chronologie et la cohérence. Très futuriste, la mise en scène de La Horde pour les danseurs sur la scène principale envoie du lourd, c'est de très haut niveau et les gens sont réceptifs. Mention spéciales aux lumières aussi, vraiment léchées sur ce titre. Rain - Madonna descend de la plateforme alors que les images du clip de Frozen apparaissent à l'écran. Je perds mon sang froid et commence à hurler puis cette conne se met à chanter Rain avec un drap noir sur les épaules et un ventilateur pour le faire bouger. Connasse. Beau moment et très bon titre cela dit mais quand même, Frozen quoi, merde. Il va sans dire qu'il n'est plus question ni de chronologie ni d'histoire à ce stade, on sait plus trop ce qu'on nous raconte. Like a Virgin / Billie Jean - Certainement l'interlude le plus étrange du spectacle. Les ombres de madonna et MJ apparaissent l'une après l'autre sur la toile devant la scène centrale et on les voit performer tour à tour LAV et Billie Jean. L'hommage est fun mais l'exécution laisse un peu à désirer et laisse à penser qu'elle souhaitait se débarrasser du titre. Bitch I'm Madonna / Celebration / Final - Tous les danseurs envahissent les scènes au son de l'intro de GMAYL, chacun vêtu d'une tenue emblématique de la carrière de la reine. madonna apparaît dans une tenue pour le moins... Un choix, disons. Une sorte de body/corset bleu et noir avec un voile de mariée dans les cheveux. Pourquoi pas après tout, mais surtout pourquoi. Bitch I'm Madonna résonne dans la salle et on ne nous épargnera même pas le couplet de Nicki, qui apparaît sur les écrans pour effrayer même les plus courageux d'entre nous. Le tout est cependant très fun et colle au message du show (outre l'errance du dernier acte), in fine bitch, she's madonna. On enchaîne très rapidement sur une minute de Celebration, on sent Madonna irritée puisqu'elle lance à la régie "too early!" après avoir tenté de nous faire chanter mais en avoir été empêchée par l'instru relancée trop vite. Quelques phrases de Music à peine audibles, un merci à Bob puis au public, bonne nuit et tout le monde disparaît en moins de temps qu'il n'en faut pour dire gros cul. Meh, un peu étrange, on sent que ce n'est pas trop ce qui était prévu. Les points positifs : - Une Madonna en forme, rayonnante et heureuse d'être là et à fond dans le show, même si elle se donne moins physiquement. - Énormément de références à sa carrière et ça fait plaisir de la voir, pour une fois, regarder dans le rétroviseur. - La scène est très grande et surtout très bien utilisée, que ce soit par elle ou par les danseurs. - Les danseurs ainsi que leurs tenues sont incroyables. - Toute la première partie du show, jusqu'à LAP, est parfaite. - Il y a des moments très forts qui nous rappellent pourquoi la reine, c'est elle. - Une setlist remplie de tubes et de certaines raretés qu'on a vraiment plaisir à entendre. Les points plus négatifs : - Bordel de merde, Music, Frozen, Express Yourself, Papa Don't Preach, Sorry... Il y a des manquements dans la setlist qui sont pour moi impardonnables. - Bad Girl et Bedtime Story n'apportent rien au show voire le ralentissent et ce dans le mauvais sens du terme. - Certains passages font un peu vides et on aurait pu attendre une mise en scène globalement plus audacieuse / innovante. - Le parti pris de raconter une histoire qui n'est tenu que jusqu'à Mother and Father (et encore) puis qui s'écroule totalement ensuite. L'après M&F est d'ailleurs la partie la plus faible du show, un comble pour le dernier acte. - L'impasse quasi totale faite sur l'après 2003 avec Hung Up et Bitch comme seuls représentants de sa carrière depuis 20 ans. - Les tenues qu'elle porte ne sont pas très marquantes voire très laides pour certaines. Je ne sauve que celui de l'intro, de Vogue et du segment cowgirl. - Le final n'a ni queue ni tête et semble totalement bâclé - j'attends la première date hors de Londres pour voir s'il ne s'agit pas là que d'une question de couvre-feu. En conclusion : Je suis très heureux d'avoir pu assister à ces deux premiers shows et ça fait vraiment plaisir de la revoir à ce niveau après les frayeurs de 2020 et les horreurs de ces deux dernières années. Elle ne déçoit pas, même si elle ne satisfera pas tout le monde. Le nom de la tournée est parfaitement choisi en ce qu'il reflète très fidèlement son contenu : on est sur une célébration totale de sa (ou plutôt sa première partie de) carrière ; les références sont nombreuses et chaque fan y trouvera des clins d'oeil qui lui feront plaisir, que ce soit au niveau des looks, des chorégraphies, des interviews, des interludes... Tout y passe. Organiser la setlist d'un tel show a dû être un casse-tête sans nom car il est impossible de tout caser et de contenter tout le monde ; je comprends donc certains choix, beaucoup moins pour d'autres. Si les rumeurs sont vraies et que l'acte entier contenant Music et Express a été cut pendant la seconde période de répétitions, c'est une décision que je ne m'explique pas, surtout pour conserver des titres qui parlent beaucoup moins au grand public - cible prioritaire d'une tournée de ce genre. J'aurais aimé que le show soit plus long, quitte à ce qu'elle en fasse encore un peu moins en termes de mouvements. Hâte nonobstant de voir comment le spectacle va évoluer durant les 6 prochains mois et surtout très reconnaissant d'avoir pu être témoin de cette ode à la carrière d'une des plus grandes artistes pop de tous les temps ! Bitch, she's Madonna.
    37 points
  27. MAJ de certains totaux UK par Music Week Golden = 167,701 exemplaires (ventes + streaming) Disco = 179,658 exemplaires Step Back In Time - The Definitive Collection = 227,709 exemplaires Padam Padam = 293,388 exemplaires
    36 points
  28. Après Witness à part sa coupe de cheveux que vous aimiez pas (...) c'était globalement cool quand même : les clips étaient stylés, la tournée était incroyable et il y avait pas mal de titres à sauver, notamment les singles. Vous êtes un peu overdramatic sur cette ère, simplement parce qu'elle représente le début de son déclin. Si l'album avait été un succès commercial, vous banderiez tous dessus.
    36 points
  29. Pierre Garnier est un artiste normand âgé de 21 ans. Gagnant de l'édition 2023 de la Star Academy, il sort le 7 février son premier single, "Ceux qu'on était", après plusieurs semaines de buzz sur les réseaux. CEUX QU'ON ETAIT - SINGLE BELGIQUE : 01-01-01-01-01-02-02-03-03-EC FRANCE : 02-01-02-01-01-01-02-02-02-03-EC > 41,15 millions de streams > Certifié Disque de Platine Top Radios : 162-29-12-07-04-03-02-01-01-02-EC SUISSE : 25-05-24-14-42-62-68-83-OUT
    35 points
  30. Je trouve facile le fait de critiquer le choix de La Zarra a posteriori. La meuf gère en live, a une prestance indéniable et avait la bonne "densité de carrière" (un petit tube avec Tu t'en iras, mais assez verte pour avoir envie de se lancer dans l'aventure)... Le pari ne semblait pas si déconnant sur le papier et les réactions de CIF à l'annonce de la candidate allaient d'ailleurs dans ce sens, si je me souviens bien.
    35 points
  31. Cette manie de parler de flop dès qu’une chanson n’a pas le parcours de Flowers sur Spotify ça devient maladif, faites soigner vos tocs.
    34 points
  32. Et 125,466 streams sur Spotify ! A HIT. Plus d'un million quand même pour Etchenne. Tiens d'ailleurs, je n'avais pas fait gaffe que l'album Paris Hollywood avait été mis en ligne l'an dernier. L'occasion d'éditer la pochette évidemment Pochette originale : Pochette Spotify :
    34 points
  33. C'est pas Twitter ici, casse-toi.
    34 points
  34. Mylène, quand elle est arrivée à Saint-Denis :
    34 points
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