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Triste constat, encore une fois. La cocaïne, la marijuana et tout un tas d'autres substances retrouvées dans le sang de Whitney Houston mènent à la conclusion suivante : un décès certes « accidentel », mais pas étranger à la prise de différentes drogues. Ce sont les résultats de l'autopsie qui viennent d'être révélés par Craig Harvey, le porte-parole du bureau du médecin légiste de Los Angeles, en charge de l'affaire. Il ajoute par ailleurs que Whitney Houston était atteinte d'une maladie cardiaque, qui, conjuguée à la prise de ces différentes substances, ont provoqué la noyade : Whitney « avait une maladie cardiaque qui a été amplifiée par la consommation de cocaïne. La combinaison des deux a engendré sa noyade » indique-t-il avant d'ajouter : « Nous pensons que la crise cardiaque a été compliquée par la consommation de cocaïne ». Le bureau du médecin légiste insiste sur le caractère « accidentelle » du décès de la chanteuse, écartant la piste du « meurtre » selon "Le Point". L'analyse a permis de retrouver les traces d'un médicament contre l'anxiété, d'un relaxant musculaire et d'un antihistaminique. Visiblement, Whitney Houston n'était pas dans un état normal lorsqu'elle est entrée dans la baignoire de sa chambre d'hôtel le 11 février dernier.

Celle qui restera "The Voice", laissera quoi qu'il en soit une empreinte immuable sur la chanson. Collectionnant les trophées dans les années 90 et écoulant les disques par paquets durant la même période, Whitney Houston laissera comme meilleur souvenir celui d'une femme ouvrant grand la bouche pour exprimer toutes ses émotions dans la chanson "I Will Always Love You", tube figurant sur la bande originale de "Bodyguard".