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Quel succès ! Stromae a conquis la France avec son deuxième album "Racine carrée", numéro un durant 25 semaines et qui s'est écoulé à plus de 1,5 million d'exemplaires depuis sa sortie en août dernier. Un engouement incroyable, beaucoup plus impressionnant qu'en 2010 où il avait signé le tube "Alors on danse". Grâce aux singles "Papaoutai", "Formidable" et "Tous les mêmes", Stromae a explosé toutes les attentes, décroché deux NRJ Music Awards et trois Victoires de la Musique, et s'est encore une fois exporté à l'international. Son disque a d'ailleurs franchi la barre des deux millions de ventes dans le monde, tandis que l'artiste a commencé à s'attaquer aux marchés britannique et américain.

Au fil des mois, Stromae a su imposer un univers musical original et une identité visuelle forte, notamment dans le clip "Papaoutai". Et justement, l'artiste belge, pourtant effrayé à l'idée de « dégoûter les gens », a décidé de surfer sur le succès pour percer dans l'univers de la mode. Comme M Pokora ou Shy'm avant lui, Stromae vient de lancer sa première collection de prêt-à-porter sous le nom de son collectif Mosaert, autre anagramme de Maestro. C'est aujourd'hui que les polos et chaussettes colorés de l'artiste sont disponibles à la vente, et le public reconnaîtra les produits, très graphiques, portés par Stromae, sur tous les plateaux ou dans le clip de "Papaoutai". Notamment le célèbre polo vert ! Une ligne pour les hommes, les femmes et les enfants qui « veulent porter des couleurs sans préjugés ».

90 euros pour le polo de "Papaoutai"

Les fans de Stromae vont donc désormais pouvoir se perdre dans les perspectives isométriques qui recouvrent les polos et chaussettes chics, signés par l'interprète de "Bâtard", désigné directeur artistique, et ses camarades de Mosaert (Coralie Barbier, Boldatwork, Luc Junior Tam, Thomas Van Cottom, Dimitri Borrey). « C'est une histoire de rencontres. On a mis sur la table nos influences, nos références, et on a mixé tout ça ensemble » ont-ils confié à Elle Belgique. En boutique ou en ligne, le public devra débourser 90 euros pour un polo, fabriqué au Portugal, et 17 euros pour une paire de chaussettes, fabriquée en France. Dès aujourd'hui, la collection est en vente en Belgique, chez Hunting and Collecting, à Bruxelles, chez Colette, à Paris, et sur le site officiel de Mosaert.