Crédits photo : Pochette du single
Le retour de Juliette Armanet ? Il s'annonce chaud comme la braise ! Après s'être révélée en 2017 avec les chansons pop de "Petite amie", vendues à 200.000 exemplaires, l'artiste va signer son grand retour dans les bacs le 19 novembre prochain avec son deuxième album "Brûler le feu". Si elle fera face à l'énorme concurrence des nouveaux opus d'Adele, Orelsan ou Sting prévus le même jour, Juliette Armanet compte bien faire danser son public, à l'instar du premier single, l'enivrant "Le dernier jour du disco". « Cette chanson elle vient d'un désir profond de faire la fête. (...) Sur mon premier album, j'avais une chanson qui s'appelait "L'indien" qui était disco, sur scène j'avais une énorme boule disco géante avec un gros rideau à paillettes... Donc pour moi le disco a toujours été là dans ma musique, il a toujours été présent. C'est un genre, c'est un phénix le disco, ça meurt jamais, on arrive jamais à l'enterrer » explique l'artiste de 37 ans au micro de RFM.
"Cette blessure est à toi..."
Et le succès est d'ores et déjà au rendez-vous : alors que le clip "Le dernier jour du disco" vient de dépasser le cap du million de vues et que ses dates à l'Olympia ont affiché complet en quelques heures, la chanteuse jouera les prolongations sur la scène du Zénith de Paris le 23 novembre 2022. En attendant ses retrouvailles live avec le public, Juliette Armanet continue d'effeuiller son deuxième album. Ainsi, sur sa nouvelle chanson "L'épine", l'artiste ralentit et retrouve l'univers des ballades pop/variété française qui ont fait son succès il y a quelques années.
Ecoutez "L'épine" de Juliette Armanet :
Si elle évoquait le rouge du coquelicot sur "Le dernier jour du disco", Juliette Armanet se frotte cette fois-ci à "L'épine" sur cette ballade langoureuse évoquant un amour contrarié : « Tout mon amour est là / Planqué sous la peau / Un petit bout de bois / Qui en dit trop / Cette blessure est à toi / Et toi tu ne la vois même pas ». « Je la voulais simple, fine, tendre » confie-t-elle dans une note d'intention à propos de cette « love song très soul, qui évoque autant les ballades seventies que les pop tracks des années 90, et qui donne à voir un autre visage, slow-enflammé, de l'album à venir » : « Il y a souvent, dans nos vies, une blessure qu'on ne voit plus mais qui vit avec nous. Cachée sous la peau. Plantée dans la chair. Presque familière. Cette chanson-là, c'est un hymne intime dédié à nos fidèles blessures, qu'on finit toujours par chanter ». Ne cherchez plus le slow de vos prochaines soirées, "L'épine" est là pour remplir parfaitement ce rôle !