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Deux ans après la parution de son troisième album "Some Kind of Trouble", James Blunt annonce sur Facebook qu'il débute l'écriture de son successeur. Une bonne nouvelle pour les aficionados qui sont tombés sous le charme des titres "Stay the Night", "Dangerous", "If Time Is All I Have" et "So Far Gone", exploités comme single et chacun régulièrement diffusés sur les radios, tout comme leur clip sur le petit écran. Une promotion intensive qui a permis au Britannique d'écouler 230.000 exemplaires de son disque dans l'Hexagone. Un franc succès, doublé d'une réédition incluant plusieurs pistes bonus parue à l'occasion des fêtes de Noël l'an dernier. James Blunt avait réussi le tour de force de se réinventer avec un rythme plus enjoué et des textes plus lumineux, sans pour autant délaisser la mélancolie et la nostalgie des titres "Goobye My Lover" (2005) et "No Bravery" (2006), qui l'ont rendu populaire et lui ont permis de triompher avec l'album "Back to Bedlam" en 2005.

Sur sa page Facebook le chanteur a posté un message a destination de ses 4,5 millions d'abonnés : « Il est temps que je me remette à l’écriture d'un nouvel album ». Ainsi, il met fin aux rumeurs qui ont circulé fin octobre sur Internet, suite à ses propos issus d'une interview accordée au Daily Mail, mal-interprétés et qui laissaient croire qu'il prenait sa retraite musicale. L'artiste avait simplement expliqué qu'il souhaitait prendre un peu de temps avant de plancher sur un nouveau projet, évoquant une longue tournée juste terminée.

Il faut dire que James Blunt ne fait pas les choses à moitié. Pour défendre l'album "Some Kind of Trouble", le chanteur, auteur-compositeur, britannique, était passé plusieurs fois en France pour deux séries de concerts dans plusieurs Zénith, à Paris et en province. Des concerts qui ont tous été sold out, témoignant de la popularité du chanteur dans l'Hexagone. A ce propos, James Blunt avait confié à Pure Charts qu'il estimait que c'était à lui de se déplacer pour venir à la rencontre de son public : « Je pense que je pourrais effectivement venir à Paris plusieurs fois plutôt que de visiter la France comme on le fait. Mais je préfère partir voir mon public pour communier avec lui, chez lui ou le plus près possible pour qu'on partage véritablement un moment intense ».