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Calogero continue de séduire le public. Sorti en décembre dernier et entré à la première place des charts français, son nouvel album "Centre ville" a été certifié disque de platine pour plus de 100.000 ventes. Une nouvelle preuve de la jolie popularité dont jouit l'artiste depuis une vingtaine d'années. « Je suis tellement heureux de sortir cet album que je n'ai pas d'angoisse particulière. Je suis juste content, je vis mon époque, il y a de nouvelles choses, des nouveaux artistes, ça me rend heureux de faire découvrir des chansons. Il y a beaucoup de joie dans cet album, d'inquiétude aussi, avec des réflexions sur le monde qu'on vit actuellement » confiait d'ailleurs Calogero en interview pour Pure Charts. Véritable retour à ses racines pop-rock, ce nouvel album a d'ores et déjà été défendu par l'électrique "La rumeur", le plus langoureux "Celui d'en bas" ou encore "On fait comme si", sorti en avril dernier au profit de la Fondation Hôpitaux de Paris - Hôpitaux de France.

Calogero dans la chaleur de la nuit

Désormais, Calogero rebranche les guitares en proposant désormais "Centre ville" comme nouvel extrait de son album éponyme. Un nouveau single énergique et sautillant, co-signé par Benjamin Biolay ! En effet, les deux artistes ont associé leurs talents pour donner naissance à deux titres sur ce disque, dont celui-ci, exploité donc en single. « Ça a été une collaboration explosive qui s'est faite hyper naturellement, on a créé 5 ou 6 titres ensemble. On en a gardé deux sur l'album parce que les autres sont encore en cours de finition. On a pris notre pied à travailler ensemble, vraiment. Je pense que notre association a encore des choses à raconter. On est de la même génération. On est très provinciaux tous les deux » analysait Calogero à notre micro.

Regardez le clip "Centre ville" de Calogero :




Et qui dit nouveau single dit forcément nouveau clip ! Pour celui de "Centre ville", Calogero nous emmène en virée dans la nuit parisienne, chose devenue quasiment impossible depuis l'instauration du couvre-feu. A l'arrière d'une voiture aux côtés de deux femmes, Calogero nous amène par la suite dans la moiteur d'une boîte de nuit et sur une piste de danse où les clubbers se déhanchent comme jamais ! « Tandis que moi, je sors quand la ville dort / Et que j'embrasse des filles qui parlent fort / Que nous levons nos verres à la lumière / Que nous dansons jusqu'à la petite mort » lance Calogero, armé de sa basse, sous les lumières stroboscopiques du club. Une façon de célébrer la vie nocturne et les discothèques, alors que celles-ci sont fermées depuis un an. Let's dance !