Crédits photo : Capture d'écran YouTube
Julie Zenatti se lance un nouveau défi : celui de faire voyager ses fans à travers "Méditerranéennes", un album de reprises qui bourgeonnera au printemps. L'idée ? Célébrer la diversité et offrir un beau message de tolérance en partant à la découverte des cultures musicales qui peuplent le bassin méditerranée. D'origine italo-algérienne, l'interprète de "Là où nous sommes" parle d'un retour aux sources pour ce projet personnel. « Je m'appelle Julie Zenatti. Toutes mes origines sont là : un prénom français, le nom de la tribu berbère des Zénètes, une terminaison italienne… La Méditerranée, c’est la seule réponse que je peux faire quand on me demande d’où je viens » explique Julie Zennati au Parisien.

"Emmène avec toi, la liberté dans tes bras"...

Une multitude d'artistes ont accepté de l'accompagner dans cette aventure. « Les voix se mélangent en plusieurs langues, quelles que soient les histoires, et qu'importe les origines. C'est important dans le contexte actuel d'avoir un message de vivre ensemble à travers la musique » renchérit l'artiste, qui a fait venir en studio Chimène Badi, Nawel Ben Kraiem, Sofia Essaidi, Samira Brahmia, Rose, Isulatine, Cabra Casey, Elisa Tovati et Lina El Arabi ainsi que trois hommes : Enrico Macias, Claudio Capeo et Slimane. « Nous avons puisé dans les répertoires des deux bords de la Méditerranée, du Maroc à l’Algérie, l’Espagne à l’Italie, de la Grèce à l’Égypte, et nous le partageons en arabe, en hébreu, en grec, en italien, en espagnol, en espéranto, en français » ajoute Julie Zenatti, très enthousiaste.

Pour le premier extrait "Zina (Ici ou là-bas)", une chanson du groupe algérien Babylone interprétée en français et en arabe, Julie Zenatti a demandé à Chimène Badi de lui prêter main forte. Les deux chanteuses, pleine de complicité, retournent à l'école pour partir à la rencontre de jeunes filles de toutes origines dans une vidéo remplie de bienveillance. Une bonne humeur communicative !

Découvrez "Zina", le nouveau clip de Julie Zenatti et Chimène Badi :