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Aya Nakamura n'a plus à prouver son statut de star de la musique. A 27 ans, la chanteuse a enchaîné les tubes entre "Djadja", "Pookie" ou "Dégaine", explosé à l'international et vendu plus d'un million d'exemplaires de son album "Nakamura" dans le monde, tout en générant plus de 6 milliards de streams. Pour couronner le tout, l'artiste a rempli trois concerts à l'Accor Arena en quelques minutes seulement. Tous les signaux sont donc au vert pour la sortie événement de son quatrième album "DNK", en écho à son nom de famille Dianoko, emmené par les singles "SMS" et "Baby". « Je trouvais ça stylé, du coup je voulais mettre ça en nom d'album. Je me sentais plus Aya Dianoko dans la vie réelle quand j'ai fait cet album qu'Aya Nakamura. Je me suis dit pourquoi ne pas l'appeler tout simplement Dianoko plutôt que ramener la starification dans cet album-là. En plus, j'ai vraiment été moi-même quand je l'ai fait » explique-t-elle sur RTL, alors que le disque est empreint de sa rupture avec son producteur Vladimir Boudnikoff : « C'est important de dévoiler ses faiblesses et ses peurs, peu importe l'émotion, la laisser sortir en studio ».

"Il faut te calmer, c'est que toi mon bébé"

Depuis la sortie de l'album ce matin, les fans se réjouissent de pouvoir découvrir ses 15 nouvelles chansons, dont plusieurs collaborations avec Tiakola, Kim, le rappeur portoricain Myke Towers ou encore SDM. Mis en avant sur les plateformes de streaming, ce dernier duo avec la révélation rap du 92, découvert par Booba, "Daddy", a toutes les chances de devenir l'un des prochains succès d'Aya Nakamura. Co-produit par Vladimir Boudnikoff, le titre s'inscrit dans la lignée des hits de la chanteuse, en mêlant afropop, R&B et zouk, et met en lumière leur relation faite de hauts et de bas, avec de nombreux doutes sur la confiance et la fidélité.

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« Il me dit : "Comment, comment tu parles bébé ? / Il faut te calmer, c'est que toi mon bébé / C'est pas comme ça, faut te calmer un peu / Il faut croire en moi" / Mmh, daddy m'a dit : "Aya, Aya tu m'écoutes pas" / Mais mmh daddy, toi aussi tu m'écoutes pas / Pourtant c'est nécessaire, nécessaire, ouais / Nous deux c'est nécessaire, nécessaire » lance-t-elle sur son refrain enivrant et dansant, avant que SDM donne le point de vue masculin sur la situation. Un tube en devenir !