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Le dernier album de Johnny Hallyday, "Jamais seul", certifié triple platine par sa maison de disques sur les mises en places en magasin, est loin d'en être un, puisque seules 150 000 copies ont trouvé preneurs. Pas un succès donc, les précédents albums du taulier dépassant en général allégrement les 500 000 passages en caisse (près d'un million en 1999 pour "Sang pour sang" réalisé notamment par David Hallyday). A titre de comparaison, puisque le marché du disque a évolué, on peut se référer aux classements de son précédent album "Ca n'finira jamais", lui aussi entré directement n°1 en 2008. Celui-ci est resté plus de deux mois dans le top ten avant d'en sortir, contre seulement un pour "Jamais seul".

"Jamais seul" a été concocté par -M-. Beaucoup s'accordent à dire qu'il s'agit d'un disque de -M-, et pas du rockeur. Matthieu Chédid s'en défend par ailleurs, précisant que « cet album est trop bien pour qu'il marche ». Et selon nos confrères du "Figaro", c'est déjà sur son successeur, que Johnny Hallyday plancherait actuellement, afin de faire oublier ce flop. Rien ne précise encore avec quelle équipe.

Visionnez le clip de Johnny Hallyday, "La douceur de vivre" :

Vieille m..., pauvre m...

Par ailleurs, une vive altercation a opposé Johnny Hallyday

" Va plutôt remplir tes stades ! "

et son ancien producteur de scène, Jean-Claude Camus, mercredi dernier dans les coulisses d'un concert de Line Renaud à l'Olympia. Line Renaud qui avait parrainé Johnny lorsque ce dernier débutait sa carrière dans les années 60. L'interprète de "Jamais seul" s'est vu refuser l'accès à la loge de l'artiste par son ancien producteur de scène. Selon nos informations, un duo avec la chanteuse avait déjà été annulé en dernière minute à cause des différents opposant les deux hommes.

Johnny Hallyday tente malgré tout d'accéder en force à la loge, bouscule son ancien complice qui résiste pour lui barrer la route, lui demande de ne pas déranger Line Renaud… et déclenche les insultes. « Vieille m…, pauvre m… » lance Johnny. « Va plutôt remplir tes stades ! » réplique immédiatement Camus.