
Phil Pace et Jil Caplan adorent Johny Cash, le folk/rock et les “Seeger Sessions” de Bruce Springsteen. Une rencontre via le label Daruma va sceller le début d'une collaboration artistique sur l'album de Phil. Le single "I Won't Go Back" est le premier extrait d'un disque aux couleurs chaudes et acoustiques intitulé "Letters Memory" (près de quatre ans après son prédécesseur "There's A Place" paru en 2007). Avec Jean Christophe Urbain (ex-Innocents) aux guitares, Phil et Jil entameront par ailleurs une série de dates communes en Chine et au Japon en mai prochain.
Fin des années 80, le public tombe sous le charme de la voix suave de Jil Caplan, "Oh ! Tous les soirs" (Top 36 en 1987) ; un titre suffira pour imposer son album "A peine 21" (en rapport à son âge de l'époque). Une poignée de jolies pépites grimperont ensuite une à une les échelons du Top 50 : "Comme sur une balançoire", "Cette fille n'est pas pour toi", "Tard dans la nuit"... Trois ans plus tard, "La charmeuse de serpents" (son deuxième opus, double disque d'or) envahit les ondes avec "Tout c'qui nous sépare" (Top 6 en 1991) ; Jay Alanski écrit, compose, arrange et produit la majeure partie du disque. "Natalie Wood" (Top 13 en 1991), le follow-up, continue d'installer la toute jeune Jil, 24 ans au compteur. En 1992, forte de ce succès public, Jil Caplan est consacrée "Révélation féminine de l'année" aux Victoires de la Musique.