Aller au contenu

Messages recommandés

Il y a 9 heures, €cho'cO a dit :

Ah, il a vraisemblablement embauché ses gosses pour les dédicaces... :lol: 

 

J'ai vu sur insta qu'il avait pris plusieurs jours en usine pour aller signer lui même 20.000 copies... 

si il y a une édition signée à 20000 exemplaires et qu'elles ont toute été vendu, il risque de se retrouver avec sa meilleure premiere semaine (hors claude francois)

Lien vers le commentaire
Il y a 4 heures, BoomBoom a dit :

 

J'ai vu sur insta qu'il avait pris plusieurs jours en usine pour aller signer lui même 20.000 copies... 

si il y a une édition signée à 20000 exemplaires et qu'elles ont toute été vendu, il risque de se retrouver avec sa meilleure premiere semaine (hors claude francois)

 

Elles n'ont pas toutes été vendues. Il en reste partout. 

Lien vers le commentaire


 

Révélation

Matt Pokora dévoile l’album «Épicentre» : «C’est mon premier disque en tant que papa»

Depuis la sortie de son précédent opus, en 2019, le chanteur de 37 ans a épousé Christina Milian et eu deux enfants. Un chamboulement personnel qui se ressent dans ses nouvelles chansons et la direction donnée à sa carrière.

Par Kevin Boucher 

Le 3 novembre 2022 à 06h42

Lorsqu’on le retrouve dans un hôtel parisien du IXe arrondissement, M. Pokora affiche un grand sourire. Le chanteur de 37 ans attend avec impatience les premiers retours sur son neuvième album, « Épicentre », disponible ce vendredi. Un disque partagé entre belles ballades et chansons plus rythmées, marqué par des changements importants dans sa vie, entre son mariage avec la comédienne et chanteuse américaine Christina Milian en décembre 2020 et la naissance de leurs enfants Isaiah, en 2020, et Kenna, un an plus tard.

Dans cet album, vous vous livrez comme rarement sur l’amour, sur vos enfants… À 37 ans, c’était le bon moment ?

MATT POKORA. C’est surtout mon premier album en tant que papa. Et ce changement fait que je n’ai plus les mêmes envies. Auparavant, dans mes chansons, j’étais dans une position de séducteur, qui ne correspond plus forcément à ce que je souhaite montrer. Aujourd’hui, en tant que père et mari, il y a des messages que je souhaite faire passer.

Le premier single, « Qui on est », est une ballade. Le M. Pokora showman, c’est fini ?

 

Ce titre s’est imposé assez naturellement. Il correspond parfaitement à ce que je suis en ce moment, avec le message d’aimer qui on est, de profiter de l’instant présent sans oublier de continuer de rêver. Mais il n’y a pas que des chansons douces. En préparant l’album, je pensais forcément à la scène. Et il me faut mon quota de titres plus rythmés, qui me permettent de groover. Même si j’avoue avoir plutôt tendance à faire des ballades un peu chaloupées, comme « Les planètes », « Le monde » ou encore « Déjà volé » sur cet album.

 

C’est aussi une manière de ménager votre public, avec à la fois des jeunes et des moins jeunes ?

Certes, ils n’aiment peut-être pas le même Matt, mais j’ai toujours apprécié me balader sur plusieurs registres, y compris au sein d’un même album. J’essaye aussi de faire la balance entre mon côté pop variétés, mon côté urbain… Ce doit être un savant mélange entre ce que j’aime et ce que le public aime. Pour l’instant, ça me réussit plutôt bien.

Vous dédiez « Avant vous » à votre famille. Vous y chantez « Avant vous, je n’étais pas un homme ».

Je me livre rarement comme ça. Mais c’était un sujet incontournable. Mon « Épicentre », c’est ma famille. Je ne peux pas faire un disque qui porte ce titre sans parler de ce raz de marée et ce tremblement de terre qu’il y a eu dans ma vie avec l’arrivée de mes deux enfants. Ça a eu un impact important sur ma vie personnelle.

Et sur votre carrière ?

Bien sûr. Cela vous fait vous interroger sur la manière de vous organiser, d’enchaîner les albums ou pas, de gérer les tournées… Cela prend du temps et il faut se poser les bonnes questions.

Vous partagez votre temps entre la France et les États-Unis. Pourtant, vous n’avez pas souhaité travailler avec des producteurs américains. Pourquoi ?

Les Américains n’ont pas la même approche ni le même son que les Français. Je l’ai fait une fois (sur l’album « MP3 », en 2008), j’ai compris que ça ne servait à rien d’essayer. De plus, aujourd’hui, on s’aperçoit qu’ils viennent de plus en plus regarder ce qui se passe en Europe et en Afrique. Et j’aime faire appel à de nouveaux producteurs ici, comme c’est le cas avec Nazim sur cet album. L’influence américaine, je ne l’utilise que pour la scène.

 

Votre épouse, Christina Milian, est aussi chanteuse. Vous n’avez pas eu envie de faire un duo ?

Elle a un peu laissé la musique de côté pour se concentrer sur sa carrière d’actrice. Et je ne veux pas trop mélanger le perso et le pro. Il faut qu’on garde chacun notre petit monde. Elle a évidemment suivi la préparation de l’album, m’a conseillé sur certaines choses, mais ce n’est pas à l’ordre du jour.

Vous allez partir en tournée, avec une première date, le 10 juin 2023, à La Défense Arena et ses 40 000 places. Un pari fou ?

Ce sont les concerts des vingt ans de carrière, donc il fallait frapper fort d’emblée. Et quand tu vois que les billets sont presque tous vendus un an avant la tournée, sans même avoir sorti l’album, c’est magnifique. J’ai envie de retrouver cette proximité avec les gens que j’ai en concert. C’est pour cela que la scène sera en longueur, afin d’aller au plus près du public.

Dans la vidéo d’annonce, on vous voit gravir une montagne représentant ces vingt ans. On y revoit des images d’archives et on y entend… le discours de Jean Castex, annonçant la fermeture des salles de spectacle pendant le Covid. Pourquoi ?

C’est une étape importante de ma carrière. J’ai été coupé en plein vol dans mon plus gros succès. L’album « Pyramide » aurait pu être disque de diamant, la tournée devait continuer et se terminer par une diffusion en direct à la télévision… Et tout a été stoppé net. La crise sanitaire a été une vraie épreuve que nous avons tous traversée. Et j’ai un esprit revanchard, donc j’ai envie de vite retrouver le public.

Ces dernières années, on vous a vu dans le téléfilm « le Premier Oublié » sur TF1 et dans la pièce de théâtre « les Grandes Ambitions ». Refaire de la comédie, ça vous travaille ?

C’est la prochaine étape, c’est sûr. Après la tournée, je vais me consacrer à cela. J’ai envie de développer des fictions, films ou séries, et ne pas forcément attendre qu’on me fasse des propositions. Il y a déjà des choses concrètes. On risque d’attendre longtemps avant le prochain album (Sourires).

La note de la rédaction :
4/5
« Épicentre », M. Pokora, TF1 Musique, 18,99 euros ; en tournée à partir de juin 2023, le 10 juin 2023 à La Défense Arena de Nanterre, le 17 juin au stade Pierre-Mauroy de Villeneuve-d’Ascq…
 
 

 

 

Lien vers le commentaire
  • Membres qui parcourent ce sujet   0 membres

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...