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Lana Del Rey - Chemtrails Over The Country Club


Marceau

Chemtrails Over The Country Club  

67 membres ont voté

  1. 1. Vos titres favoris ?

    • White Dress
    • Chemtrails Over The Country Club
    • Tulsa Jesus Freak
    • Let Me Love You Like A Woman
    • Wild At Heart
    • Dark But Just A Game
    • Not All Who Wander Are Lost
    • Yosemite
    • Breaking Up Slowly (feat. Nikki Lane)
    • Dance Till We Die
    • For Free (feat. Zella Day & Weyes Blood)
  2. 2. Comment trouvez-vous l'album ?

    • Sublime !
    • Beau, agréable, bon.
    • Y'a du bon...et du moins bon.
    • J'ai du mal à accrocher.
    • Je n'y arrive pas du tout.
  3. 3. Par pure curiosité...

    • Team Norman Fucking Rockwell ! #indétrônable
    • Team du petit nouveau. #lafraîcheurducountryclub
    • Pourquoi choisir ? J'aime les deux !


Messages recommandés

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1. White Dress (5:33)

2. Chemtrails Over The Country Club (4:31)

3. Tulsa Jesus Freak (3:35)

4. Let Me Love You Like A Woman (3:21)

5. Wild At Heart (4:06)

6. Dark But Just A Game (3:55)

7. Not All Who Wander Are Lost (4:07)

8. Yosemite (5:04)

9. Breaking Up Slowly (featuring Nikki Lane) [2:57]

10. Dance Till We Die (4:03)

11. For Free (featuring Zella Day & Weyes Blood) [4:11]

 

Le 6e album de Lana Del Rey est arrivé, mais plus tôt que prévu. Prévu pour le 19 Mars, Chemtrails Over The Country Club, annoncé par les singles Let Me Love You Like A Woman et son titre éponyme, se retrouve sur le net dès aujourd'hui, le 9 Mars, soit 10 jours avant. Malgré cette mésaventure, les quelques premiers retours (des pro de la toile et de ses leaks cachés) semblent positifs, après un début plutôt en demi-teinte suite aux 2 premiers singles. On retrouve sur cette galette Jack Antonoff à la co-écriture et aux productions des titres, ainsi qu'un petit intrus ! Rick Nowels (oui oui), aux manettes de Yosemite. Mais ceci est peu surprenant, étant donné que ce morceau date de l'album Lust For Life (à l'époque co-produit en partie par Rick Nowels). Que vaut ce nouvel opus de la ténébreuse chanteuse ? Moins de 2 ans après Norman Fucking Rockwell!, album encensé de tous les côtés, réussi-t-elle à réitérer le coup ?

 

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:throb:

  • Like 22
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Cela fait plusieurs années que j’ai arrêté d’écouter ses unrealesed en sachant qu’elle aime piocher dans ses anciens titres pour les incorporer dans ses albums.

De fait je n’avais pas écouté Yosemite et what a fucking surprise, il est d’une tellement beauté. ?

 

Je vais attendre la sortie officielle pour réellement saigner ce Chemtrails, la qualité du leak ne rend pas justice à sa voix et à tous les détails de la production. L’album a l’air très solide, elle ne se rate jamais. 

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Quand il y a leak, j'aime n'écouter une fois l'album, pour me faire une idée, emmagasiner des sensations sur lesquels je reste jusqu'à la sortie officielle. C'est alors que je me plonge vraiment dans les détails, que j'écoute en boucle.

Cet album m'a laissé un grand sentiment de complexité. Il ne serait donc absolument pas juste pour moi de répondre au sondage. Il est clair que certains titres méritent bien plus d'une écoute pour être saisis dans leur beauté réelle.

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il y a 44 minutes, мυѕнυ a dit :

 

Il a leak en FLAC mdr


Pourtant il y a clairement une saturation excessive et quelques accros au début de certains sons. Mais c’est peut-être parce que j’ai téléchargé directement depuis l’iPhone.

Je vais patienter jusqu’à la sortie pour lui donner toutes mes écoutes. 

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Après une première journée d'écoute attentive, je ne sais pas quoi penser de cet album. Ce n'est clairement pas un coup de coeur. Je serais même tenté de penser que c’est l’album de Lana que j’aime le moins à ce jour - mais je n’ai, bien sûr, pas le recul nécessaire pour l’affirmer.

 

Je reconnais cependant, que, contrairement à ce à que j'avais imaginé, l'album a une véritable direction musicale. On retrouve certes des influences de NFR, mais ces influences sont amenées dans un registre beaucoup plus folk, voire country, plus brut, et moins immédiat. Les mélodies ciselées de NFR font ici place à des démonstrations vocales plus trainantes et des prises de voix moins précises. On assiste à certains endroits à un empilement de pistes vocales qui s’entremêlent à l’aveuglette et qui s’avèrent carrément crispantes. Là où, sur NFR, une seule piste vocale suffisait la plupart du temps.

 

La production est également plus dépouillée, l’instrument principal étant la voix de Lana qui se tortionne dans des registres souvent suraigus, parfois hésitants. A certains égards, ces changements de registres donnent l’impression de palier un certain manque de renouvellement mélodique. 

 

C’est d'ailleurs assez frappant sur Wild At Heart, triplement influencé par HTD, Love Song et hope. Aussi, si le titre a de beaux moments, notamment lors des pré-refrains, ces inspirations un peu grossières m'empêche d’entrer pleinement dedans. (Et le passage avec 50 syllabes à la seconde aussi, i can't).

C'est d'ailleurs un problème assez récurrent au fil de l'album. Beaucoup de jolis moments sont ainsi disséminés au gré de plages sonores inanimées. 

 

White Dress possède une très belle mélodie, la plus belle de l'album probablement. Cela dit, si je ne suis pas réfractaire à l’utilisation assez inédite de sa voix, je ne peux m'empêcher de penser que le titre aurait été bien plus percutant interprété de manière plus conventionnelle. Ou a minima sur le dernier refrain afin de lui donner davantage de puissance. 

 

Dark But Just A Game est le titre qui se rapproche le plus d'un potentiel coup de coeur. Musicalement la production tend vers des influences 90s et une ambiance moite, presque sexy. L'enchainement couplet / refrain très déstructuré n'est pas sans rappeler les derniers travaux d'Antonoff pour Taylor (Mirrorball et Gold Rush). Le dernier refrain est particulièrement réussi et a le mérite d'insuffler un peu d'énergie à l’album.

 

Tulsa Jesus Freak sonne un retour à des influences plus hip hop. Je n'attendais pas spécialement ce titre n'ayant pas apprécié le snippet dévoilé. Pour autant il s'avère sympathique, avec une jolie progression jusqu'aux "White Hot Forever" portés en choeur sur la fin.

 

Yosemite est un très joli moment. L'interprétation de Lana et le loop à la guitare sèche qui file le titre dégagent un vaste sentiment de plénitude. Impossible de ne pas penser à The Next Best American Record, tant il est clair que les deux chansons sont issues du même moule (You did it all for fame / We did it for fun). 

 

Not All Who Wander Are Lost est un petit filler. Difficile d'en penser quoi que ce soit pour l'instant. A la fois je trouve ça joli, à la fois avec un si beau titre j'en attendais bien plus (notamment en terme de paroles). Les couplets sont réussis, mais les refrains sont assez dispensables. 

 

Même son de cloche pour Dance Till We Die, qui, en-dehors de son bridge, ne brille pas particulièrement par son originalité. Le pont a le mérite de s'illustrer comme quelque chose d'assez novateur. Très blues, la voix enlevée... avant que tout ne retombe sur le dernier refrain. 

 

Les deux featuring n'offrent, eux, pas énormément d'intérêt, d’autant que Lana me semble étrangement absente sur ces deux titres. 

Breaking Up Slowly est une ballade aux accents country qui me rappelle par certains égards Tomorrow Never Came. Le titre est mignon mais tourne rapidement en rond alors qu’un bridge aurait été bienvenu. La voix de Nikki et de Lana se marient bien, même si le titre sied davantage la voix de Nikki.

 

Enfin, For Free est sympathique mais ce qui aurait pu être une véritable rencontre entre les trois artistes n'est qu'une succession d’apparitions vocales sans franche alchimie (en-dehors des For Free entonnés en choeur qui tombent comme un cheveu sur la soupe). Je retiens particulièrement la voix de Weyes Blood, qui est juste divine (Zella s’en sort aussi très bien). La reprise reste cependant très convenue.  Je trouve dommage de clôturer l’album sur ça (même si je commence à avoir l’habitude de ses conclusions foireuses). 

 

En somme la découverte de COTC n'est pour l’instant pas très concluante. Pas de catastrophes, ni de coup de coeur, mais surtout beaucoup de tiédeur.

 

Malgré tout, je pense que l'album peut potentiellement grandir en moi au fil des écoutes. Je l'espère en tout cas. 

 

Et sans surprise, NFR! n'est pas détrôné. 

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Je l'ai écouté hier. J'avoue que ce moment n'était pas désagréable mais ne m'a pas vraiment marqué. C'est bien produit comme d'habitude mais ce trop d'homogénéité crée quelque chose d'ennuyeux, de redondant et sans réelle surprise. Je ne retiens vraiment pas grand chose mis à part "White dress" et "Yosemite". À voir au fil des écoutes mais je pense qu'il s'agit là de son album le moins bon. NFR ne m'avait déjà pas marqué mis à part 4 ou 5 très bons morceaux, là.... puis c'est lent, qu'est-ce que c'est lent... 

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Bon moi je l'écoute en boucle. Et y'a aucune pistes qui me lasse, ou que je skip. Même Let me love you like a woman prend parfaitement sa place, déploie toute sa force, et devient terriblement addictive au sein de la tracklist. 

 

Vraiment j'aime beaucoup tout. Pour l'instant c'est un sans fautes pour moi. A voir avec la durée. En tout cas ll s'écoute facilement, il m'embarque c'est pleins de détails c'est cohérent de bout en bout. Plus j'avance dans les écoutes et plus la comparaison avec NFR me semble anecdotique. Et j'adore wild at heart le clin d'œil ne me gêne pas du tout. 

 

C'est son album le plus dépouillé, le grand point fort sa voix, son interprétation, elle nous raconte une histoire. Y'a une simplicité une justesse dans les arrangements, tout est équilibré. 

 

Dark but just a game, est un peu ma fav des fav. 

 

J'adore aussi for  free, très bonne piste pour clôturer l'album. Qui pour moi était un peu le défaut de NFR où Hop is dangerous thing... était un peu lourde pour terminer l'album, je m'arrêtais souvent avant. (même si j'aime cette chanson quand même) 

 

Comme ses prédécesseurs je sent qu'il va avoir une très longue durée de vie chez moi.

 

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Heureusement que White Dress et Tulsa Jesus Freak sont là pour apporter un poil de "nouveauté"...

Je vais une fois de plus devoir insister lourdement pour arriver à accrocher à une poignée de titres ? L'ennui profond reste le sentiment dominant après 3 écoutes. 

La chanson éponyme sera mon seul gros coup de coeur (en passant outre son côté très réchauffé).

 

Encore un album très élégant mais pour moi elle se complait trop dans son style, et surtout je ne retrouve pas l'étincelle côté mélodie donc la magie n'opère pas.

 

Je garde en tête qu'elle sort ses albums à un rythme très soutenu, ce qui l'excuse aussi de ne pas taper dans le mille à chaque fois (contrairement à l'avis général ?)

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